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Best of Trolldi : quels ont été vos trolldi préférés en 2018 ?
Voici les 10 trolldi les plus lus de 2018

Le , par Stéphane le calme

208PARTAGES

19  0 
Quels ont été vos trolldi préférés en 2018 ?
Comment écrire du code non maintenable et qui vous assurera un travail à vie ?
64 %
Une brève histoire totalement exacte des langages de programmation
32 %
Enfin une licence pour le code spaghetti ?
23 %
Comment devenir un gourou du développement Web ?
18 %
Comment certains auteurs et développeurs voient-ils les langages de programmation ?
18 %
Un hacker éthique met en ligne un site parodique de Cambridge Analytica
14 %
Les pires excuses pour refuser le passage à l'IPv6 ?
14 %
Et si vous engagiez un chef ?
9 %
Une blague de Richard Stallman sur l'avortement crée la polémique
9 %
Qu'auriez-vous aimé savoir avant de vous lancer dans une carrière de développeur ?
5 %
Autres (à préciser en commentaire)
5 %
Voter 22 votants
Trolldi : comment écrire du code non maintenable et qui vous assurera un travail à vie ?

Sur un ton satirique, le développeur Roedy Green s’est proposé de transmettre son savoir dans l’écriture d’un code qui donnerait des sueurs froides au développeur qui viendra faire la maintenance. Son illustration est axée sur la programmation Java.

« Je vous transmets les conseils des maîtres sur la façon d'écrire du code si difficile à gérer, qu’il faudra des années aux personnes qui vont en assurer la maintenance pour effectuer les changements les plus simples », promet-il.

Et de poursuivre en disant « De plus, si vous respectez toutes ces règles religieusement, vous vous garantissez même une vie d’emploi, car personne, sauf vous, ne pourra espérer maintenir le code. D’ailleurs, si vous suiviez toutes ces règles religieusement, vous même ne seriez pas en mesure de maintenir le code ! »

Bien entendu, cela doit rester un art. Votre code ne doit pas sembler impossible à maintenir de prime abord, sinon il risque simplement d’être réécrit.

Principes généraux

Pour mystifier le développeur qui va effectuer la maintenance, vous devez comprendre comment il pense. Face à lui se tient votre programme géant. Il n'a pas le temps de le lire en entier, encore moins de le comprendre. Il veut rapidement trouver l’endroit où effectuer une modification, la faire et s’en aller tout en espérant ne pas avoir d’effets secondaires inattendus.

Il est donc question de l’empêcher d’avoir une vision d’ensemble. Vous voulez donc qu’il soit plus difficile pour lui de trouver le code qu'il recherche. Mais plus important encore, il faut que ce soit tellement difficile qu’il ne puisse pas ignorer quoique ce soit.

Pour réussir cet exercice, il donne quelques conseils : « Les développeurs sont plongés dans la complaisance par les conventions. Mais de temps en temps, en violant subtilement la convention, vous les forcez à lire chaque ligne de votre code avec une loupe ».

Vous pourriez avoir l’idée que toutes les fonctionnalités de langage rendent le code impossible à maintenir, ce qui n’est pas le cas si elles sont mal utilisées.


Trolldi : comment certains auteurs et développeurs voient-ils les langages de programmation ?

En littérature, les citations peuvent servir de phares dans l’obscurité ; certains auteurs partagent les leçons qu’ils ont tiré des expériences, d’autres viennent exposer des constats, etc. En somme, les citations servent différents buts et ne sont pas forcément perçues de la même façon. Pour rester dans l’esprit du Trolldi, voici une liste de citations proposées par des personnes plus ou moins célèbre dans l’industrie IT. Attention, un/des intrus s’est/se sont glissé(s) parmi elles, saurez-vous le(s) reconnaître ?

Citation Envoyé par Charles Antony Richard Hoare, conférence ACM Turing Award 1980
Il y a deux façons de faire la conception d'un logiciel. Une façon est de le rendre si simple qu'il n'y a selon toute apparence aucun défaut. Et l'autre est de le faire si compliqué qu'il n'y a pas de défaut apparent.
Citation Envoyé par Robin Rosenberg
Une fois, j'ai eu un cauchemar dans lequel j'avais convaincu un ami à quel point C ++ était merveilleux. Un moment plus tard, il est revenu. Et il était fou. [Sic]
Citation Envoyé par John Johnson
Tout d'abord, résolvez le problème. Ensuite, écrivez le code.
Citation Envoyé par Roberto Di Cosmo dans le Hold-up planétaire
Revenons à Microsoft. La comparaison avec le mythique « Big Brother » d’Orwell est-elle pertinente ? [...] Dans 1984, les caméras de Big Brother espionnaient les gens, mais ceux-ci restaient libres de dissimuler leurs pensées. Et surtout, ils savaient qu’ils étaient espionnés [...] Les entreprises, elles, confient tous leurs secrets stratégiques aux réseaux informatiques. Or, il est techniquement possible de garder trace de toutes ces informations, à votre insu et sans avoir recours à des caméras bien visibles. Il est facile de savoir, par exemple, qui Dominique Nora a appelé sur son portable à 3 heures du matin, cette nuit, où elle se trouvait, quelles notes elle a ensuite tapées sur son ordinateur, quelle est la teneur de l’e-mail envoyé à son interlocuteur. Ces données cernent évidemment de plus près votre vie privée que le simple fait de vous espionner chez vous, à l’aide d’une caméra aisément repérable... Surtout si ces informations tombent entre les mains d’une seule entreprise. À côté de ça, croyez-moi, le Big Brother d’Orwell n’est qu’un enfant de chœur.
Citation Envoyé par Léonard de Vinci
La simplicité est la sophistication ultime.
Citation Envoyé par Linus Torvalds
Personne ne devrait commencer à entreprendre un grand projet. Vous commencez avec un petit projet trivial et vous ne devez jamais vous attendre à ce qu'il prenne de l'ampleur. Si vous le faites, vous allez simplement sur-concevoir et penser en général qu’il est plus important qu'en réalité à ce stade. Ou pire, vous pourriez être effrayé par la taille du travail que vous envisagez. Commencez donc petit et pensez aux détails. Ne pensez pas à une grande image ni à un design sophistiqué. Si cela ne résout pas certains besoins assez immédiats, il est certainement trop conçu. Et ne vous attendez pas à ce que les gens interviennent et vous aident. Ce n’est pas comme ça que ça marche. Vous devez d’abord obtenir quelque chose qui est à mi-chemin de l'utile, puis les autres diront « hé, ça marche presque pour moi », et ils participeront au projet.
Vous êtes un indépendant et vous avez du mal à atteindre vos objectifs ? Et si vous engagiez un chef ?

Être indépendant peut vous offrir certains avantages comme la flexibilité dans votre emploi du temps. Mais cela demande également de la discipline que certains trouvent difficile à maintenir lorsqu’ils n’ont pas de compte à rendre à un supérieur hiérarchique. C’est à cette catégorie de personnes que le Boss-as-a-Service s’adresse.

L’idée part d’un constat : « Avez-vous remarqué que lorsque vous êtes supervisé par une personne, vous travaillez toujours, presque en pilote automatique ? Vous ne manquez jamais une échéance client ou une échéance au travail. Et pourtant, vous semblez toujours manquer vos propres échéances. Alors, que pouvez-vous faire pour créer le même genre de pression que vous auriez au travail ? Si vous n'avez pas de chef, engagez-en un ».

Une plateforme qui n’est pas faite pour tout le monde

Comme expliqué dans sa FàQ, Boss as a Service n'est certainement pas indiqué pour tout le monde. Certaines personnes travaillent bien sans que personne ne les surveille. Certains d'entre nous, cependant, ont besoin d'un « coup de pied dans le derrière ».

Si l'un des scénarios suivants vous est familier et que vous avez hoché la tête en disant « Ouais, je m’y reconnais », alors vous êtes un client potentiel :
  • Vous êtes un procrastinateur chronique, mais vous travaillez bien lorsqu'il y a une échéance imminente. Travailler toute la nuit avant un examen ou une échéance importante est ce que vous feriez ;
  • Vous avez remarqué que vous êtes plus productif lorsque vous devez rendre compte à une équipe ou à un superviseur, mais en tant que pigiste, fondateur ou étudiant, vous devez effectuer beaucoup de travail indépendant.
  • Vous luttez avec du temps non structuré, et la loi de Parkinson est votre triste réalité.



« Boss en tant que service n’est pas pour vous si vous ne souhaitez pas vraiment augmenter votre productivité. Si vous ne vous y engagez pas, nos suivis et nos questions vous ennuieront probablement. Nous vous obligeons à faire face à vos mauvaises habitudes de travail et à vos manquements. Cela peut parfois être un peu désagréable - personne n'aime se faire rappeler qu'il a sauté la salle de gym au cours des 2 dernières semaines - mais il est nécessaire que nous le fassions ! Si ce n'est pas ce que vous attendez de nous, alors vous n'aimerez pas cela », prévient l’équipe.

Qu'auriez-vous aimé savoir avant de vous lancer dans une carrière de développeur ?

Il arrive que nos aspirations pour le futur nous vienne de notre environnement (le papa qui travaille en tant que médecin par exemple), d'un film (Chloé O'Brian est tellement forte qu'elle peut taper le code pour lancer les missiles nucléaires du monde entier en tapant son code avec ses orteils tout en prenant son café) ou autres. Mais à quel point sommes-nous préparés ?

Dans un billet humoristique, l'ingénieure logiciel Ana Ulin s'est essayée à l'exercice de relever les différences entre les attentes qu'elle avait et la réalité qu'elle a découverte dans le monde professionnel :

« Mon père a commencé à m'enseigner le Basic à l'âge de 7 ans et je savais que je voulais créer un logiciel pour gagner ma vie. C'était évidemment une chose amusante et utile à faire, et quelque chose que je pourrais bien faire. Mais il y a une grande différence - et je veux dire grande à l'échelle du Grand Canyon - entre la "programmation" et le travail d'ingénieur en logiciel professionnel. »


Voici une liste, sans ordre particulier, de certaines choses dont personne ne lui a parlé au sujet du travail dans la technologie en tant qu'ingénieur logiciel:
  • Il est normal d'avoir plus de lignes de tests que de code de production.
  • Ne pas avoir d'autre choix que d'utiliser vi tôt dans ma carrière signifierait que je ne pourrai jamais oublier ces raccourcis clavier.
  • Nous passons un temps ridicule à configurer des builds, des versions et des outils généraux. Parfois, autant ou plus de temps que vous passez à coder.
  • Que mon sexe ou mon âge ou mon appartenance ethnique ou mon orientation sexuelle ou mon poids ou mes vêtements puisse avoir un impact sur la qualité perçue du logiciel que je développe (Ou, en d'autres termes, que ce n'est pas vraiment une méritocratie, et faire un bon travail ne suffit pas.)
  • Qu'écrire du code n'est qu'une petite partie de ce qui entre en compte dans la livraison des logiciels en production.
  • Le fait qu'une grande partie de ma vie professionnelle soit subordonnée aux choix de capital-risque à peine informés et de fondateurs primitifs débordés sans expérience du secteur.
  • Que tout ce qui est ancien soit constamment renouvelé, de MySpace à Facebook, d'IRC à Slack. PHP est cool à nouveau, et la programmation fonctionnelle est revenue à la mode.
  • Le fait d’avoir des compétences humaines décentes rend mes compétences techniques suspectes, aux yeux de certains.
  • Apprendre à gérer ma propre énergie et mon propre état d'esprit est la compétence la plus importante aussi bien pendant un débogage effroyable que pendant la révision de codes très pointus.
  • Vous pouvez avoir plus de 100% de différence de salaire de base en faisant le même travail, selon que vous travaillez dans une petite startup ou dans une grande enseignes.


Trolldi : comment devenir un gourou du développement Web ?

Casper Beyer, un développeur, note avec une pointe d'humour les différentes conceptions Web qu'il a pu rencontrer et qui ne l'ont pas marqué positivement. « De temps en temps, je vois une page qui n'a pas sauté dans le train. C'est simplement inadmissible, alors il faut revoir ensemble les meilleures pratiques adaptées au Web moderne. Ces pratiques sont immuables, vous devez les suivre car je suis un developer advocate. Elles sont également en vigueur sur un certain nombre des meilleurs sites Web classés par Alexa, mais gardez surtout à l'esprit que je suis un developer advocate ».

Pour la petite précision, un developer advocate est une personne dont la principale responsabilité est de faciliter l’utilisation d’une plateforme par les développeurs.

Parlez de la version mobile de votre application

La première chose que vous devez faire lorsqu'un utilisateur visite votre site Web est de lui montrer une grande boîte de dialogue lui indiquant qu'il doit simplement installer l'application mobile à la place.


Une petite astuce consiste à mettre un lien proposant d’aller directement sur le site et le placer très près du lien qui permet à l'utilisateur d'installer l'application. Cela rendra les utilisateurs beaucoup plus heureux car il est si facile d'installer l'application et de ne pas fermer accidentellement la boîte de dialogue !

Parlez aux utilisateurs des cookies

Si l'utilisateur continue et insiste pour utiliser la version Web, nous devons lui faire savoir que nous utilisons des cookies pour le suivre.

Trolldi : quelles sont les pires excuses que les entreprises pourraient avancer pour refuser le passage à l'IPv6 ?

Ci-dessous, une liste d’excuses qui peuvent avoir été utilisées pour justifier le refus du passage à l'IPv6 :
  • Android ne prend pas en charge DHCPv6 ;
  • Les en-têtes plus grands sont moins efficaces ;
  • Notre DNS dynamique ne le supporte pas ;
  • Nous avons IPv6, mais nous voulons que les choses restent simples ;
  • Hexadécimale, qu’est-ce que c’est difficile ;
  • Les adresses IPv6 sont trop longues à retenir ;
  • Voulez-vous dire IPTV?
  • Bogues du vendeur ;
  • Ce n'est pas assez mature ;
  • IPv6 n’est qu’un phénomène de mode ;
  • IPv6 est plus lent que IPv4 ;
  • IPv6 n'est tout simplement pas une priorité ;
  • Il n'y a pas de piste de certification ;
  • Nous déploierons IPv6 juste après le déploiement de DNSSEC ;
  • Ne pouvons-nous pas simplement acheter plus d'adresses IPv4 ?
  • Je ne veux pas perdre la sécurité fournie par NAT ;
  • Notre équipe de veille stratégique ne peut même pas analyser les fichiers journaux IPv4.


Trolldi : Good Luck With That, enfin une licence pour le code spaghetti ?

Un développeur s’est amusé à proposer une licence publique GLWT (Good Luck With That) en expliquant que si vous avez le sentiment que lorsque vous écriviez votre code « seuls Dieu et vous compreniez ce que vous faisiez » et que désormais « seul Dieu le sait », alors vous ne devriez plus hésiter et incorporer la licence à votre projet :

« Licence publique GLWT
« Copyright (c) [année] [nom complet]

« L'auteur n'a aucune idée de ce que fait le code dans ce projet. Cela pourrait fonctionner ou pas, il n'y a pas de troisième option.

« Tout le monde est autorisé à copier, distribuer, modifier, fusionner, vendre, publier, sous-licence ou ce que vous voulez avec ce logiciel, mais à votre propre risque.

« BONNE CHANCE AVEC CETTE LICENCE PUBLIQUE
« TERMES ET CONDITIONS DE COPIE, DE DISTRIBUTION ET DE MODIFICATION

« 0. Vous faites juste CE QUE VOUS VOULEZ tant que vous ne LAISSEZ PAS UNE PISTE POUR SUIVRE L'AUTEUR du produit original.

« EN AUCUN CAS LES AUTEURS OU LES DÉTENTEURS DE COPYRIGHT NE POURRONT ÊTRE TENUS RESPONSABLES DE TOUTE RÉCLAMATION, DOMMAGES-INTÉRÊTS OU AUTRE RESPONSABILITÉ, QUE CE SOIT DANS UNE ACTION CONTRACTUELLE, DÉLICTUELLE OU AUTRE, DÉCOULANT DE OU EN RELATION AVEC LE LOGICIEL OU L'UTILISATION OU AUTRE ACTIONS DANS LE LOGICIEL.

« Bonne chance et bon vent ».


Trolldi : une blague de Richard Stallman sur l'avortement crée la polémique

Richard Matthew Stallman (RMS), s'il est souvent qualifié d'extrémiste avec sa position et ses déclarations radicales à l'égard de tout ce qu'il considère comme privateur, a aussi un sens de l'humour. Et il le cultive depuis des décennies. Mais ici en 2018, certains contributeurs du projet GNU ne semblent pas bien accueillir le sens de l'humour dont fait preuve l'initiateur du mouvement du logiciel libre et chef suprême du projet.

Pour preuve, ils ont décidé de supprimer ou « censurer » - pour utiliser les termes de RMS - une vieille blague sur l'avortement que Richard Stallman a écrite dans la documentation du projet glibc (GNU C Library), la bibliothèque standard C pour le projet GNU. Cette blague, depuis 26 ans, accompagne l'explication de la fonction abort(), qui veut dire dans le langage populaire « avorter » et qui fait en général penser à l'interruption naturelle ou par intervention d'une grossesse.

Comme son nom l'indique et par analogie à l'avortement chez une femme, la fonction abort() « provoque une interruption anormale d'un programme ». C'est ce qu'explique d'ailleurs la documentation sur la fonction. Si dans certains cas, il peut être nécessaire d'appeler la fonction abort(), cela devrait être modéré et peut-être l'ultime recours, comme dans le cas de l'avortement naturel. Quoi donc de mieux que la blague de RMS pour expliquer cela aux développeurs :

« Préavis de modification future : Des réglementations fédérales proposées en matière de censure peuvent nous interdire de vous fournir des informations sur la possibilité d'appeler cette fonction. Nous serions obligés de dire que ce n'est pas un moyen acceptable de mettre fin à un programme », a écrit RMS dans la documentation de la fonction abort()


Trolldi : une brève histoire totalement exacte des langages de programmation

1936

Alan Turing mathématicien et cryptologue britannique, auteur de travaux qui fondent scientifiquement l'informatique. Il présente en 1936 une expérience de pensée que l'on nommera ensuite machine de Turing et des concepts de programmation et de programme, qui prendront tout leur sens avec la diffusion des ordinateurs, dans la seconde moitié du XXe siècle.

Sa récompense ? Être castré chimiquement et son métier lui avait été interdit à cause de sa libido « déviante ». 59 ans après sa mort, sur proposition du ministre de la Justice Chris Grayling qui avait évoqué un « homme exceptionnel avec un esprit brillant », la reine d’Angleterre Élisabeth II l’a gracié.

1936

Alonzo Church, un mathématicien (logicien) américain à qui l'on doit certains des fondements de l'informatique théorique. Il sera nommé président de l'Association for Symbolic Logic en 1936. Church en sera l'un des éditeurs. Il édite 15 volumes entre 1936 et 1950.

Il n’a pas été castré. Ouf !!!


1980

Alan Kay invente la programmation orientée objet et l'appelle Smalltalk, dans Smalltalk tout est un objet, même un objet est un objet. Mais qui s’est vraiment soucié de savoir ce que veut dire small talk ?

1987

Larry Wall a une expérience religieuse, devient prédicateur et fait de Perl sa doctrine.

1983

Jean Ichbiah, un ingénieur français, remarque que les programmes d'Ada Lovelace n'ont jamais fonctionné et a décidé de créer un langage avec son nom. Le langage Ada a-t-il été populaire par la suite ? L’histoire nous répond par la négative.

1986

Brac Box et Tol Move décident de créer une version illisible de C basée sur Smalltalk qu'ils appellent Objective-C, mais personne n'est alors capable d’en comprendre la syntaxe.

Un hacker éthique met en ligne un site parodique de Cambridge Analytica

Dans le sillage du scandale de Cambridge Analytica, qui est à l’origine du scandale de fuites de données qui a éclaboussé Facebook, Inti De Ceukelaire, un hacker éthique belge, a proposé le site Oilsjt Analytica, une pseudo-parodie de Cambridge Analytica qui se propose de deviner votre nom en 15 questions au maximum.

Durant quelques jours, le site a proposé à des internautes de deviner leur nom en leur posant une série de questions comme « Quel fruit mangeriez-vous maintenant ? Pomme, banane ou orange », « Avez-vous déjà eu une fracture », « Où vous trouvez-vous à l’instant ? Au travail, à la maison, dehors, autre part » ou encore « Quel est votre sport favori ? Football, basketball, tennis, natation ».

À trois reprises durant le questionnaire (après une série de cinq questions), l'application tente de deviner votre nom.

Au total, plus de 200 000 internautes se sont prêtés au jeu.

Essayer le jeu

Et vous ?

Quels ont été vos trolldi préférés en 2018 ?

Voir aussi :

Trolldi : Google et l'ONU sont parmi les pires auteurs d'erreurs liées aux MdP en 2018, d'après les résultats d'une enquête
Trolldi : le ministre japonais de la cybersécurité n'a jamais utilisé d'ordinateur, cela vous fait-il penser à votre patron ?
Trolldi : qu'avez-vous pu faire dans le passé pour détruire involontairement votre carrière en informatique ? Quelques pistes à explorer
Trolldi : les meilleurs employés ne sont pas ceux qui sont les plus agréables, selon un psychologue qui explique sa réflexion

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Avatar de droggo
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 04/01/2019 à 15:10
Bonjour,

Réponse très facile : CEUX QUI N'EXISTENT PAS !!!
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