France : TousAntiCovid, une révision de StopCovid est disponible avec des nouveautés mineures
Qui n'apportent pas solution à l'incompatibilité de l'appli. française avec celle des autres pays d'UE
Le 2020-10-22 20:57:42, par Patrick Ruiz, Chroniqueur Actualités
Le gouvernement français annonce la disponibilité de TousAntiCovid. Il s’agit d’une mise à jour de l’application StopCovid de par le nom, mais en sus via l’ajout d’un certain nombre de fonctionnalités. Si la nouvelle version de l’application de suivi des contacts de France est devenue plus pédagogue, le débat technique de fond demeure le même : pourquoi maintenir l’architecture centralisée qui introduit une incompatibilité avec les applications d’autres pays de l’UE ?
Exit StopCovid et place à TousAntiCovid avec la liste d’évolutions ci-dessous :
Grosso modo, c’est comme qui dirait un nouvel emballage pour un produit dont la recette n’a pas fait l’objet de révision dans le fond. En effet, l’un des problèmes majeurs demeure : TousAntiCovid, comme son prédécesseur, sera inutile dans les autres pays d’Europe. Et pour cause la France est le seul pays de cet espace à avoir opté pour une architecture centralisée. En raison de cet état de choses, l’application française se retrouve donc isolée des applications des autres pays. Ceux-ci ont opté pour l’architecture dite décentralisée. Celle-ci leur permet de greffer à leurs applications respectives une interface développée de façon conjointe par Google et Apple. Elle est destinée à faciliter la communication Bluetooth entre les smartphones dotés d’une de ces applications de suivi des contacts à architecture décentralisée. La passerelle d’interopérabilité de l’Union européenne pour applications de suivi des contacts à architecture décentralisée est disponible depuis peu. Elle ôte la nécessité de changer de suivi des contacts lors de la traversée d’une frontière d’un pays à un autre. Ainsi, un tiers qui a procédé à l’installation de l’application allemande corona-warn-app n’a pas besoin d’installer une nouvelle lorsqu’il se rend dans les autres pays de l’UE qui se sont alignés sur l’architecture décentralisée.
Modèle centralisé ou décentralisé ? Le gouvernement français explique les raisons de son choix :
Un débat existe au sein de la communauté scientifique entre un modèle dit centralisé et un modèle dit décentralisé : quel choix faisons-nous et pourquoi ? Quels choix feront les autres pays et est-ce que les applications pourront être interopérables ?
Il est normal et souhaitable qu’il y ait un débat scientifique sur la meilleure façon de concevoir une telle application, en offrant toutes les garanties de sécurité et de protection de la vie privée. En revanche, ce débat doit être indépendant des partis pris des grands acteurs du numérique et le choix doit in fine revenir aux États, qui doivent arbitrer entre des solutions qui présentent, chacune, des avantages et des inconvénients propres à chaque pays.
Concernant les avantages et inconvénients des deux architectures :
Approche de suivi de la propagation du coronavirus : un bide général ?
C’est ce que suggèrent des chiffres du mois de juillet d'après lesquels les pourcentages d’installation des applications sont très en deçà de ceux requis pour que les applications de suivi soient efficaces.
Les pays où ces dispositifs de suivi (de la propagation du virus via smartphones) ont du succès sont ceux qui ont mis en place des politiques de gestion qui s’écartent de celles mises en œuvre dans des espaces comme l’UE sur un point principal : celui en lien à la question de volontariat. « L’installation de l’application TousAntiCovid se fait sur la base du volontariat. Toute personne est prise en charge même si elle choisit de ne pas utiliser l’application », rappelle le gouvernement français.
Dans le cas de Singapour, les personnes susceptibles d'avoir été exposées au nouveau coronavirus (en particulier celles qui revenaient de l'étranger) ont été soumises à des périodes d'isolement à domicile de 14 jours. Les patients confirmés pour leur part ont été hospitalisés. Pour faire respecter les périodes d'isolement à domicile, les fonctionnaires demandaient aux citoyens d'activer les services de géolocalisation sur leur smartphone et de cliquer de façon périodique sur un lien envoyé par SMS. Ce lien signalait leur position, confirmant qu'ils restaient effectivement chez eux. Ces derniers devaient répondre aux messages dans un court laps de temps pour empêcher que des tiers ne trichent en laissant leur téléphone pendant qu’ils s’aventurent à l’extérieur. En sus, les autorités ont procédé à des descentes sur le terrain pour confirmer la localisation des personnes placées en quarantaine.
À Taïwan, les porteurs potentiels du virus sont dotés d'un smartphone équipé d'un GPS et d’une application de pistage. Ces dispositifs font office de « barrière électronique » et permettent de garantir que les personnes en quarantaine restent chez elles en prévenant les forces de l’ordre si ces dernières sortent de quarantaine, s’éloignent de leur domicile ou éteignent leur téléphone. La police locale appelle jusqu’à deux fois par jour pour s’assurer que les personnes en isolement se trouvent là où ils devraient être.
Source : Gouvernement
Et vous ?
Quels sont les aspects sur lesquels l’argumentaire des autorités françaises tient la route ? Quels sont ceux sur lesquels ce n’est pas le cas ?
Suivi de la propagation du coronavirus par smartphones : qu’est-ce qui n’a pas marché selon vous ? Quels sont les facteurs qui expliquent cet échec ?
Droits individuels ou intérêt général (santé publique) : de quel bord êtes-vous ?
Voir aussi :
Immuni, l'application italienne de suivi des contacts, est développée en open source sous la version 3 de la licence GNU Affero General Public
StopCovid : l'application de contact tracing est enfin disponible sur iOS et Android, les utilisateurs avaient d'abord téléchargé en grand nombre une app catalane qui porte pratiquement le même nom
Un restaurant aux Pays-Bas fait appel à des robots serveurs comme moyen pour réduire les contacts interhumains et faire respecter la distance sociale
Covid-19 : la première application mobile de traçage de contacts au monde utilisant l'API Google-Apple est lancée, SwissCovid étant testée à grande échelle en tant que projet pilote
Exit StopCovid et place à TousAntiCovid avec la liste d’évolutions ci-dessous :
- un environnement visuel et une ergonomie optimisés avec un accès instantané à toutes les fonctionnalités de l’application ;
- un centre d’informations, qui vous propose des informations sur la situation épidémiologique en France ainsi que des actualités en lien avec la lutte contre l’épidémie (exemple : mesures mises en place par les autorités nationales et locales) ;
- une plus grande transparence avec la publication automatique et régulière des chiffres l’utilisation de l’application ;
- l’accès à DépistageCovid, la carte des centres de dépistages actualisée et avec des informations sur les temps d’attentes remontées par les utilisateurs ;
- l’accès à MesConseilsCovid pour avoir des conseils personnalisés ;
- l’accès facilité à l’attestation dérogatoire de déplacement pour les zones concernées par le couvre-feu.
Grosso modo, c’est comme qui dirait un nouvel emballage pour un produit dont la recette n’a pas fait l’objet de révision dans le fond. En effet, l’un des problèmes majeurs demeure : TousAntiCovid, comme son prédécesseur, sera inutile dans les autres pays d’Europe. Et pour cause la France est le seul pays de cet espace à avoir opté pour une architecture centralisée. En raison de cet état de choses, l’application française se retrouve donc isolée des applications des autres pays. Ceux-ci ont opté pour l’architecture dite décentralisée. Celle-ci leur permet de greffer à leurs applications respectives une interface développée de façon conjointe par Google et Apple. Elle est destinée à faciliter la communication Bluetooth entre les smartphones dotés d’une de ces applications de suivi des contacts à architecture décentralisée. La passerelle d’interopérabilité de l’Union européenne pour applications de suivi des contacts à architecture décentralisée est disponible depuis peu. Elle ôte la nécessité de changer de suivi des contacts lors de la traversée d’une frontière d’un pays à un autre. Ainsi, un tiers qui a procédé à l’installation de l’application allemande corona-warn-app n’a pas besoin d’installer une nouvelle lorsqu’il se rend dans les autres pays de l’UE qui se sont alignés sur l’architecture décentralisée.
Modèle centralisé ou décentralisé ? Le gouvernement français explique les raisons de son choix :
Un débat existe au sein de la communauté scientifique entre un modèle dit centralisé et un modèle dit décentralisé : quel choix faisons-nous et pourquoi ? Quels choix feront les autres pays et est-ce que les applications pourront être interopérables ?
Il est normal et souhaitable qu’il y ait un débat scientifique sur la meilleure façon de concevoir une telle application, en offrant toutes les garanties de sécurité et de protection de la vie privée. En revanche, ce débat doit être indépendant des partis pris des grands acteurs du numérique et le choix doit in fine revenir aux États, qui doivent arbitrer entre des solutions qui présentent, chacune, des avantages et des inconvénients propres à chaque pays.
Concernant les avantages et inconvénients des deux architectures :
- Toutes les architectures comprennent des éléments centralisés (serveurs, dispachers) et décentralisés (les smartphones). Dans tous les projets, en tous cas ceux qui visent à s’inscrire dans le cadre européen de protection des données, les informations échangées et stockées sont des « crypto-identifiants » éphémères.
- La différence entre les deux modèles vient du circuit d’informations : dans un cas (modèle dit décentralisé), ce sont les « crypto identifiants » des personnes testées positives qui sont envoyés dans tous les téléphones via un serveur ; dans l’autre (modèle dit centralisé) ce sont les historiques de proximité qui sont échangés entre l’utilisateur et un serveur.
- Le Gouvernement considère, en l’état des connaissances et du contexte national, que l’architecture dite centralisée, offre davantage de garanties et de sécurité. Elle permet d’éviter qu’un serveur ne collecte la liste des personnes testées positives (même de façon anonyme) et que cette liste ne circule, ou ne soit stockée, sur un serveur ou sur des téléphones.
Approche de suivi de la propagation du coronavirus : un bide général ?
C’est ce que suggèrent des chiffres du mois de juillet d'après lesquels les pourcentages d’installation des applications sont très en deçà de ceux requis pour que les applications de suivi soient efficaces.
Les pays où ces dispositifs de suivi (de la propagation du virus via smartphones) ont du succès sont ceux qui ont mis en place des politiques de gestion qui s’écartent de celles mises en œuvre dans des espaces comme l’UE sur un point principal : celui en lien à la question de volontariat. « L’installation de l’application TousAntiCovid se fait sur la base du volontariat. Toute personne est prise en charge même si elle choisit de ne pas utiliser l’application », rappelle le gouvernement français.
Dans le cas de Singapour, les personnes susceptibles d'avoir été exposées au nouveau coronavirus (en particulier celles qui revenaient de l'étranger) ont été soumises à des périodes d'isolement à domicile de 14 jours. Les patients confirmés pour leur part ont été hospitalisés. Pour faire respecter les périodes d'isolement à domicile, les fonctionnaires demandaient aux citoyens d'activer les services de géolocalisation sur leur smartphone et de cliquer de façon périodique sur un lien envoyé par SMS. Ce lien signalait leur position, confirmant qu'ils restaient effectivement chez eux. Ces derniers devaient répondre aux messages dans un court laps de temps pour empêcher que des tiers ne trichent en laissant leur téléphone pendant qu’ils s’aventurent à l’extérieur. En sus, les autorités ont procédé à des descentes sur le terrain pour confirmer la localisation des personnes placées en quarantaine.
À Taïwan, les porteurs potentiels du virus sont dotés d'un smartphone équipé d'un GPS et d’une application de pistage. Ces dispositifs font office de « barrière électronique » et permettent de garantir que les personnes en quarantaine restent chez elles en prévenant les forces de l’ordre si ces dernières sortent de quarantaine, s’éloignent de leur domicile ou éteignent leur téléphone. La police locale appelle jusqu’à deux fois par jour pour s’assurer que les personnes en isolement se trouvent là où ils devraient être.
Source : Gouvernement
Et vous ?
Voir aussi :
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escartefigueModérateurJ'ai le sentiment pour avoir passé toute ma carrière dans le privé, que les grandes entreprises privées n'ont rien à envier à l'administration sur ce chapitre.
Plutôt que tomber dans le stéréotype public/privé, je crois que c'est surtout la taille des organisations qui provoque les lourdeurs, les lenteurs et la complexité.le 05/08/2021 à 10:42 -
Matthieu VergneExpert éminentSi tu lis mon analyse, ne serais-ce que sa conclusion pour ne prendre qu'une minute, tu te contrediras tout seul : il y a de très bonnes raisons de se faire vacciner. Juste que ces raisons ne sont pas absolues. Une réponse à géométrie variable est encore nécessaire, et je ne cautionne pas l'absolutisme prôné par nos dirigeants qui ne voient que tout noir (non vacciné =
) ou tout blanc (vacciné = ). Pour rappel, être vacciné ne fait que, a priori, diminuer la probabilité de contaminer ou de développer des formes graves du COVID. Pour autant, il y a des effets secondaires connus, et pour l'instant on n'a qu'un recul de moins d'un an en phase de pharmacovigilance (phase finale où on applique à la population tout en vérifiant les observations de laboratoire).
C'est précisément le discours absolutiste que je condamne. Certes les vaccins COVID ont montré des avantages, mais aussi des inconvénients. Et dans tous les cas, on ne peut pas se prononcer sur les effets à long terme de par le nouveau type de vaccin dont il est question. Préserver mes libertés à condition que je fasse confiance à des vaccins prônés par un gouvernement qui a démontré son incompétence en terme de gestion de crise et vendu par des grosses boîtes qui se protègent de toute responsabilité quant aux effets secondaires... désolé mais si c'est si fantastique je ne vois pas pourquoi ces grosses boites, qui ont pourtant les reins solides, ne prennent pas ces responsabilités. Dans un tel contexte de doute, je suis en prônant le doute, et donc pas de vaccination pour ceux qui n'ont pas besoin de prendre des risques.
Sur le vaccin contre la grippe ? Moi non plus, et ça tombe bien je ne critique pas le vaccin contre la grippe. Juste que la COVID est en de nombreux points comparable à la grippe, mais qu'on la traite presque comme si c'était le tétanos.
Et encore une fois, je n'ai rien contre les vaccins de manière général. Quand je suis allé au Japon je me suis fait vacciner sans y réfléchir à deux fois : il s'agit de vaccins bien connus qui ont fait leurs preuves, je n'ai pas plus de raison d'en douter que de ce que je mange tous les midi. Il s'agit là de parler des vaccins propres à la COVID, qui sont d'un tout autre genre. Les données montrant une quasi absence d'effets à long terme des vaccins déjà connus ne peut pas être utilisé comme argument pour motiver un nouveau type de vaccin.
Merci donc de ne pas appliquer un filtre aussi binaire "pro-vaccin vs anti-vaccin". Le sujet n'est pas aussi trivial et doit être nuancé.le 26/07/2021 à 21:01 -
Cpt AndersonMembre émériteJe pense qu'il n'y a aucune surprise par rapport à l'adoption de cette loi, dans le sens ou les parlementaires et les sénateurs sont totalement déconnectés de la réalité, corrompus et ne sont préoccupés que par leur réélection. Ces gens qui doivent être les représentants du peuple, nous pissent dessus, encore une fois.
Et que dire de la méthode ? qu'on fasse voter des lois pareils a 6h du mat' à la va-vite...viens me parler de démocratie après !
La prochaine étape, c'est la validation par le conseil constitutionnel et là aussi, aucun souci, ces types qui sont censés nous protéger des politiques n' y verront aucun problème.
En résumé, notre système est pire que la dictature du pire pays du monde car il te fait croire à la liberté et à la démocratie alors que c'est pas du tout le cas. C'est la pire forme de totalitarisme.le 27/07/2021 à 9:51 -
DannyKInactifTellement vrai ... pendant que je garais ma soucoupe volante hier, les illuminatis me l'ont confirmésle 06/07/2022 à 23:46
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jacjacMembre avertiC'est dingue comment l'administration Française peut être rapide quand elle veut absolument faire passer quelque chose
On pourrait en profiter pour faire une refonte de notre système judiciaire dans la foulée, ça serait efficace vu comment ils sont bouillantsnos dictateursnos élus démocrates.le 27/07/2021 à 10:33 -
FagusMembre expertCe n'est que partiellement vrai.
Je suis le 1er à dénoncer cet autre problème, mais on peut faire une comparaison.
Quand il neige beaucoup dans un pays tempéré ou chaud, c'est la catastrophe : plus rien ne marche. La même chose au Canada est juste la normale saisonnière et ça se passe très bien.
En temps normaux, la réanimation est à flux tendu. Parfois il manque des places en effet et c'est un peu juste. Parfois elle est sous utilisée.
Si on a une croissance exponentielle des patients ayant besoin de réanimation à cause du covid, que fait-on ?
Si on en a 2x plus, 4x plus. On arrête toute l'activité chirurgicale (dont les patients finissent parfois en réanimation) et on demande à tous les anesthésistes de prendre un costume de réanimateur et on surcharge de travail tout le monde notamment les infirmières, infirmiers spécialisés et on met dans les soins intensifs de neurologie, cardiologie, etc, des gens qui normalement seraient en réa (et donc auront une prise en charge un peu juste)
Si on en a 5x plus, on fait du tri +++
Si on en a 10x plus, le système explose et les gens meurent dans les couloirs.
On ne peut même pas demander à d'autres médecins de suppléer aux réanimateurs car suite au tri, les patients qui restent en réanimation sont d'une gravité exceptionnelle par rapport à la normale et nécessitent donc des spécialistes;
Lors de la 1ère vague, le système n'a pas explosé à quelques jours près, car le confinement général a permis d'arrêter l'épidémie et de pouvoir transférer des effectifs et des patients entre les régions.
Tous ça pour dire, qu'on ne peut pas dimensionner a priori face à une épidémie exceptionnelle. On pourrait multiplier par 3 la taille des réanimations, à grand coût, , que face à une épidémie, ça ne tiendrait pas non plus sans mesures de santé publique.
Historiquement, seules les mesures de santé publiques peuvent affecter la santé de populations entières. Les médecins soignent des gens ; pour un échantillon énorme de la taille d'une population, il faut de la médecine préventive (ici des vaccins.)
Bien cordialement.le 27/07/2021 à 14:26 -
grunkModérateurLe pfizer à ARNm est apparu dans les année 90 avec premiers essais clinique en 2002-2003. Ce qui manquait principalement au développement de ces vaccins c'était la moulagua, qui tout d'un coup, c'est mise à tomber du ciel.
L'ARNm qu'on t'injectes à complètement disparu en quelques jours (demi vie de l'ordre de qlq heures) , il sert juste à entrainer tes globules blanc à reconnaitre la protéine du virus ... Tu comprendras donc bien facilement que les effets à long terme sur ce genre de vaccins c'est plus la protection contre le virus que de te transformer en robots asservi au parti politique de ton choix.
Concernant la phase IV je t'invite à consulter les documents du ministère de la santé israelien qui fait le bilan sur 650K injection. (spoiler alerte : 0.1% des répondants ont ressentie des effets secondaire de type inconfort , fiève, faiblesse , etc ...).
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Ce qui me dérange avec le pass sanitaire c'est son calendrier d'application. J'ai pris rdv pour me vacciner le premier jour ou j'avais le droit de le faire , on m'a donner mes 2 dates de vaccinations. je viens seulement aujourd'hui de valider mon pass. Ce qui veux dire que c'est quasi mission impossible pour tout le monde d'avoir un pass valide même si il le souhaite et ca c'est pas normal.le 27/07/2021 à 16:59 -
FagusMembre expertle code est secret ? Le dépôt ne serait pas là par hasard ? https://gitlab.inria.fr/stopcovid19/accueil
Il faut se souvenir que la plupart des pays ont délégué à Google et Apple le soin de créer ce service. Pour une fois que la France décide de ne pas confier la santé aux GAFAM, ET de mettre le code sur gitlab, je trouve ça cher payé de leur faire un procès d'intentions.
Le principal échec de cette application est que les gens ne l'ont pas installée, plus à mon humble avis pour des questions d'ordre sociologiques qu'informatiques. Il faut quand même se rappeler qu'à part ici, au moins 99% des gens ne s'est jamais posé la question d’auditer le code source de tous anti covid...le 08/07/2022 à 13:44 -
Matthieu VergneExpert éminentDes doutes...
Des doutes ?
Elle voit noir sur blanc que les données sont en clair et elle se contente d'émettre des doutes sur la sécurité des données ?
Elle se fout de qui là, la CNIL ?
Encore un bel exemple de son abandon de poste. Quand c'est ambiguë, elle se garde bien de dire quoi que ce soit, et se contente de relever les évidences grosses comme des maisons en les relativisant. C'est juste honteux !
C'est le gouvernement qui décide des dates. S'il n'est pas capable de fournir ce qu'il faut en temps et en heure, il recule la date. S'il ne veut pas reculer la date, alors qu'il mette les moyens nécessaires pour faire un travail de qualité en temps et en heure. Si c'est une question de sécurité sanitaire, et vu le temps qu'on a passé chez nous, on n'est plus à une semaine près. Ça fait combien de temps qu'il bosse sur cette foutue application ? Non, un tel niveau de sécurité n'a rien d'acceptable.
Gouvernement d'incompétents soutenu par des contrôleurs incompétents ! C'est juste scandaleux !le 09/06/2021 à 20:48 -
setniMembre avertiUne usine à gaz juridique plutôt qu'une licence simple, libre et transparentele 04/08/2021 à 18:51