SpaceX d'Elon Musk demande l'autorisation pour le lancement de 30 000 satellites Starlink supplémentaires,
Mais ses motivations ne seraient pas assez claires
Le 2019-10-17 10:14:28, par Bruno, Chroniqueur Actualités
SpaceX, officiellement Space Exploration Technologies Corporation, est une entreprise américaine travaillant dans le domaine de l'astronautique et du vol spatial. Fondée le 6 mai 2002 par l'entrepreneur milliardaire Elon Musk, SpaceX est l'un des deux prestataires privés à qui la NASA a confié un contrat de transport de fret vers la Station spatiale internationale (ISS) dans le cadre du programme COTS.
SpaceX cherche à obtenir l'autorisation de l'Union internationale des télécommunications pour l’exploitation de 30 000 satellites supplémentaires à une fréquence, à un niveau de puissance et à une position spécifiques dans l’espace. L’annonce a été faite le mardi 15 octobre par SpaceNews (publication imprimée et numérique qui couvre l'actualité économique et politique de l'industrie spatiale et des satellites). Ce nombre s’ajoute aux 12 000 satellites déjà approuvés par la US Federal Communications Commission.
Selon les documents déposés le 7 octobre à l'Union internationale des télécommunications, qui attribue le spectre radio et les orbites des satellites, les 30 000 satellites supplémentaires fonctionneraient « à des altitudes comprises entre 328 km et 580 km. » Un porte-parole de SpaceX a déclaré dans un communiqué que la société prenait des mesures pour « dimensionner de manière responsable » la capacité totale du réseau et la densité de données afin de répondre à la croissance des besoins des utilisateurs. Par ailleurs, l'entreprise a annoncé son intention de fournir des vitesses gigabit et une latence de 25 ms, mais elle n’a pas révélé le coût du service.
Toutefois, la société doit faire face à des défis techniques de grande envergure pour construire des composants à haute technologie de ce satellite à un coût abordable pour les utilisateurs, avec un niveau de fiabilité pouvant le placer au-dessus de la concurrence au sol et dans les airs. L’entreprise qui tire ses revenus du lancement des satellites pour des clients commerciaux et gouvernementaux doit faire face à la concurrence sur le marché naissant du haut débit par satellite et à faible altitude de OneWeb , Space Norway, Telesat et Amazon.
« SpaceX compte sur Starlink pour augmenter son revenu », a déclaré Laura Forczyk, propriétaire de la société de conseil en espace Astralytical. « Ils ont beaucoup de projets ambitieux en cours pour lesquels ils ont besoin de financement », « plus la couverture mondiale est grande, plus leur marché est vaste », a indiqué Forczyk. « Pour pouvoir augmenter leurs profits avec Starlink, SpaceX devrait augmenter sa couverture. » La large bande fournie par ce type de satellites devrait offrir des vitesses plus rapides et des temps de latence inférieurs à ceux des satellites traditionnels, qui gravitent à de très hautes altitudes. Musk a déclaré en mai que SpaceX n'avait pas encore engagé de client, car il souhaitait attendre que le système fonctionne correctement, mais que la société était intéressée par un partenariat avec des gouvernements ou des sociétés de télécommunications. L'entrepreneur a ajouté qu'il ne pense pas que Starlink remplacerait les entreprises de télécommunications.
Pour utiliser les 30 000 satellites supplémentaires, SpaceX devrait demander l’autorisation de la FCC et fournir plus de détails techniques, notamment des plans visant à réduire au minimum les débris et à prévenir les collisions. En janvier 2019, environ 8 950 satellites avaient été placés sur orbite terrestre depuis 1957, et environ 5 000 d'entre eux étaient toujours dans l'espace, selon l'Agence spatiale européenne (ESA). Seulement 1 950 d'entre eux fonctionnent encore. Une couverture mondiale pourrait suivre peu après si les prédictions de SpaceX s'avèrent exactes. En effet, la société a rappelé cette semaine qu'elle pouvait assurer une couverture complète du monde juste après 24 lancements et qu'elle pourrait effectuer 24 lancements de Starlink en2020.
Avant cette annonce, SpaceX faisait déjà l'objet d'un examen visant à déterminer s'il lui fallait vraiment une méga-constellation composée de milliers de satellites pour faire fonctionner Starlink. « Le besoin d'un plus grand nombre de satellites dépend de ce que vous essayez de faire et de ce dont vos satellites ont besoin, de la capacité dont vous disposez et de votre cas d'utilisation », explique Ted Muelhaupt, de la société à but non lucratif Aerospace. Chaque satellite Starlink est optimisé pour desservir un nombre défini d’utilisateurs.
Source : Spacenews
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SpaceX cherche à obtenir l'autorisation de l'Union internationale des télécommunications pour l’exploitation de 30 000 satellites supplémentaires à une fréquence, à un niveau de puissance et à une position spécifiques dans l’espace. L’annonce a été faite le mardi 15 octobre par SpaceNews (publication imprimée et numérique qui couvre l'actualité économique et politique de l'industrie spatiale et des satellites). Ce nombre s’ajoute aux 12 000 satellites déjà approuvés par la US Federal Communications Commission.
Selon les documents déposés le 7 octobre à l'Union internationale des télécommunications, qui attribue le spectre radio et les orbites des satellites, les 30 000 satellites supplémentaires fonctionneraient « à des altitudes comprises entre 328 km et 580 km. » Un porte-parole de SpaceX a déclaré dans un communiqué que la société prenait des mesures pour « dimensionner de manière responsable » la capacité totale du réseau et la densité de données afin de répondre à la croissance des besoins des utilisateurs. Par ailleurs, l'entreprise a annoncé son intention de fournir des vitesses gigabit et une latence de 25 ms, mais elle n’a pas révélé le coût du service.
Toutefois, la société doit faire face à des défis techniques de grande envergure pour construire des composants à haute technologie de ce satellite à un coût abordable pour les utilisateurs, avec un niveau de fiabilité pouvant le placer au-dessus de la concurrence au sol et dans les airs. L’entreprise qui tire ses revenus du lancement des satellites pour des clients commerciaux et gouvernementaux doit faire face à la concurrence sur le marché naissant du haut débit par satellite et à faible altitude de OneWeb , Space Norway, Telesat et Amazon.
« SpaceX compte sur Starlink pour augmenter son revenu », a déclaré Laura Forczyk, propriétaire de la société de conseil en espace Astralytical. « Ils ont beaucoup de projets ambitieux en cours pour lesquels ils ont besoin de financement », « plus la couverture mondiale est grande, plus leur marché est vaste », a indiqué Forczyk. « Pour pouvoir augmenter leurs profits avec Starlink, SpaceX devrait augmenter sa couverture. » La large bande fournie par ce type de satellites devrait offrir des vitesses plus rapides et des temps de latence inférieurs à ceux des satellites traditionnels, qui gravitent à de très hautes altitudes. Musk a déclaré en mai que SpaceX n'avait pas encore engagé de client, car il souhaitait attendre que le système fonctionne correctement, mais que la société était intéressée par un partenariat avec des gouvernements ou des sociétés de télécommunications. L'entrepreneur a ajouté qu'il ne pense pas que Starlink remplacerait les entreprises de télécommunications.
Pour utiliser les 30 000 satellites supplémentaires, SpaceX devrait demander l’autorisation de la FCC et fournir plus de détails techniques, notamment des plans visant à réduire au minimum les débris et à prévenir les collisions. En janvier 2019, environ 8 950 satellites avaient été placés sur orbite terrestre depuis 1957, et environ 5 000 d'entre eux étaient toujours dans l'espace, selon l'Agence spatiale européenne (ESA). Seulement 1 950 d'entre eux fonctionnent encore. Une couverture mondiale pourrait suivre peu après si les prédictions de SpaceX s'avèrent exactes. En effet, la société a rappelé cette semaine qu'elle pouvait assurer une couverture complète du monde juste après 24 lancements et qu'elle pourrait effectuer 24 lancements de Starlink en2020.
Avant cette annonce, SpaceX faisait déjà l'objet d'un examen visant à déterminer s'il lui fallait vraiment une méga-constellation composée de milliers de satellites pour faire fonctionner Starlink. « Le besoin d'un plus grand nombre de satellites dépend de ce que vous essayez de faire et de ce dont vos satellites ont besoin, de la capacité dont vous disposez et de votre cas d'utilisation », explique Ted Muelhaupt, de la société à but non lucratif Aerospace. Chaque satellite Starlink est optimisé pour desservir un nombre défini d’utilisateurs.
Source : Spacenews
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pmithrandirExpert éminentPour ma part, je suis plutôt opposé au principe de starlink.
Je trouve l'idée géniale, très inventive, etc... mais le bénéfice ne vaut pas le cout(avoir des satellites en masse dans le ciel).
Les buts du projets sont louables, avoir internet partout, même peut etre bientot dan les bateaux, dans les avions, etc... a des tarifs abordables.
Mais je pense que la nature mérite un certain respect, surtout quand ces décisions sont irréversibles.
Et oui, je pense que c'es les petits pas qui font les grands refus. Si un pays comme la France refuse, pour des raisons valables, le projet, il est proable qu'a un moment la question se pose en Europe.
Vous imaginez vraiment le projet starlink déployés sans :
la Russie
la Chine,
l’Europe
...
A un moment, on réduit tellement la cible des clients potentiels que le projet n'est plus rentable.
Après, je me fais assez peu d'illusion. Le progrés va nous amener a toute vitesse dans cette direction et on commencera a se poser la question a 35 000 satellites déployés... et le mal sera fait.
Ensuite d'autres puissances feront des réseaux concurrents, et cette idée aura mis en l'air 200 000 satellites avant 10 ans. Donc la moitié seront inutilisés car leur maison mère fera faillite.le 10/03/2021 à 10:59 -
JipétéExpert éminent séniorAh, ça c'est de l'écologie bien maîtrisée et du développement durable de haut vol, bravo les gars !
Et pas un seul Vert pour monter au créneau et gueuler contre ?
Et tout ça pour quoi ? Pour échanger des vidéos de chats ?
Lamentable…le 12/11/2019 à 8:38 -
eldran64Membre extrêmement actifC'est le pot de terre contre le pot de fleur.
Je ne suis pas partisan de l'internet via les satellites.
Si on oublie le coût monstrueux d'autant de lancement, c'est surtout la pollution environnementale générée pour le lancement de tout ces satellites qui me préoccupe le plus.
Pour la partie pollution lumineuse, elle aura probablement des impacts sur les animaux diurnes (il faudrait faire des études là dessus).
Bref l'environnement d'un côté et le fric de l'autre pour moi la messe est dite.le 06/02/2020 à 8:44 -
UtherExpert éminent séniorOu peut-être que certains sont très concernés par l'état de la terre, ce qui fait qu'ils préfèrent une vraie réflexion sur les problèmes plutôt qu'on mélange tout n'importe comment dans un petit message d'indignation générique convenu.
Les enjeux de la pollution terrestre et spatiale sont très différents. De même, ça n'a pas de sens de ramener un projet de télécommunication privé à une problématique de santé, c'est des moyens, des recherches et des personnes différentes. Parmi les autres choses que Starlink ne fait pas, on aurait aussi pu citer la paix au Moyen-Orient, trouver un sens a la vie et le retour de l'être aimé.
Visiblement tu n'habites pas dans une zone mal desservie, tant mieux pour toi, mais je t'assure que une bonne connexion haut-débit c'est un rêve pour beaucoup de personnes en environnement rural pour qui la fibre n'est pas envisageable et pour qui l'ADSL et la 4G peuvent être très mauvais.
Il y a aussi un principe de réalité qui fait que certaines choses sont plus faciles à faire que d'autre. La recherche médicale est un domaine qui exige globalement bien plus de temps que l'ingénierie, l'électronique ou l'informatique. Les processus biologiques étant souvent plus lent, moins predictibles, et que les êtres vivants sont des machines variées et variable que l'on doit prendre tel que la nature nous les a données, alors que la plupart des créations humaines sont construites selon des plans que l'on maîtrise quasi parfaitement.
Et pourtant la quantité de recherche qui se fait actuellement sur le Sida ou en génétique, c'est colossal comparé a Starlink qui est juste une production en série de technologies spatiales depuis longtemps maîtrisée. Et en ce moment, s'il y a bien un sujet sur lequel la recherche ne chôme pas, c'est bien le Covid, vu que malheureusement, la Chloroquine préconisée par le prophète marseillais peine toujours à démontrer son efficacité.
Je ne dis pas que toutes les nouveautés technologiques actuelles sont nécessaires, bien au contraire, des technologies comme la 5G, l'évolution matérielle forcée des PC/smartphones actuels, le tournant du tout en ligne actuel,... sont clairement un énorme gâchis au vu des besoins de la majorité des utilisateurs. Mais pour le coup Starlink serait un vrai plus pour les personnes privées du haut débit.
Sauf que non, pour peu qu'on se renseigne sérieusement sur les contraintes de ce qu'implique un voyage vers Mars, on apprend vite que ça serait la pire idée pour améliorer ses chances de survie. L’environnement de Mars sera toujours énormément plus hostile que la Terre même si elle subit les pires niveaux de pollution humaine. Aucune colonisation de Mars n'est envisageable sans une Terre opérationnelle pour la ravitailler en quasi permanence.le 17/08/2020 à 22:03 -
UtherExpert éminent séniorBien évidemment que SpaceX n'a pas lancé des centaines de sattelites pour le bien être d'une petite tribu indienne. Bien evidement que c'est de la communication. Il n'empêche que cette tribu représente plutôt bien l'intérêt de Starlink : avoir accès a un intérêt de qualité dans les endroits où c'est difficile.
Ce qui est marrant c'est que vous associez ça au pouvoir alors que Starlink est et restera bien moins important que les opérateurs traditionnels qui desservent déjà et continueront a desservir la grande majorité de la population. Ils ne sont pas plus philanthropes que Elon Muskle 12/10/2020 à 6:16 -
AoCannailleExpert confirméIl me semble que la France est encore maitre de comment elle attribue l'usage des fréquences d'ondes sur son territoire, starlink ne peut pas arriver et dire "je prend la bande xGhz" partout dans le monde et que chaque pays ferme sa gueule...
Et puis, je trouve ça étrange, la NASAsubventionnesous-traite les projets spaciaux de musk, c'est à dire qu'on a encore les USA qui vont foutre leur merde partout avec leur législation extra-territoriale à 2 balles...
S'il n'y avait pas eu les scandale du blocage unilatéral de site en .com, des amendes à la BNP, Snowden et Assange, j'aurais pu être pour ce genre de système.
Bref, par principe de la neutralité du web, je suis plutôt contre le fait d'avoir une infrastructure de communication aux mains d'une entreprise privée, qui plus est américaine.le 10/03/2021 à 9:44 -
LeruasMembre éclairéC'est indiqué dans l'article justementle 17/01/2020 à 12:30
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JipétéExpert éminent séniorC'est effarant :
Comment ça, du gouvernement américain ? Il s'agit là d'un problème mondial qui concerne toute l'humanité, c'est à des instances internationales de gérer ça !
Communication de trouducs, de la pub, quoi...
On en est là. Un jour ça va arriver pour de bon et ce jour-là on pleurera les morts...
Oui, parce que le jour où il leur faudra s'échapper, il s'échapperont dans un environnement rempli de déchets, vous voyez le truc ? Ils sont un peu comme les pompiers dans leur beau camion rouge, mais cerné par les flammes immenses d'un incendie hors de contrôle. Pauvre d'eux...
Hallucinant d'en arriver là, mais d'un autre côté, quelque part, qu'ils en envoient encore plus, qu'ils noient le ciel de ces cochonneries, elles s'autodétruiront.
Il a bon dos, le bug ! Quelle bande d'incapables, on croit rêver...
On est propres, avec des guignols pareils aux manettes.
C'est effarant...le 19/10/2020 à 11:40 -
phoebiosMembre à l'essaiOn peut voir le problème de plusieurs manière différentes. Le fait que l'on fasse brûler un satellite n'est pas forcément le "pire".
Les satellites Starlink sont conçus pour brûler à 95% dans l'atmosphère pour la première itération. Les derniers envoyés sont censés brûler à 100%. Ce choix a été fait pour ne pas encombrer les orbites avec des satellites morts (ou des débris). Starlink étant en orbite basse n'importe quel débris de la constellation brûlera en quelques semaines. On évite d'encombrer l'orbite de la terre. Ça c'est le coté "pratique" de ce choix technique.
D'un point de vue des matériaux et de la ressource, est-ce que les satellites Starlink ne sont pas moins gourmands finalement qu'un réseaux télécom en fibre optique et câbles ? Fabrication, installation et entretien avec tout le BTP que ça implique, notamment le béton, sont des activités extrêmement polluantes aussi (surtout la fabrication du béton, une des pires). Je n'ai pas la réponse à cette interrogation mais ça me semble pas évident dans un sens ou dans l'autre.
L'utilité ensuite d'un tel réseau en plus du terrestre? Plusieurs activités sont envisageables:
- Les vidéos de chat évidemment ;-)
- Décongestionner une zone géographique comme un centre urbain par exemple, en faisant passer certaines communications longues distances par l'espace au lieu de transiter par tout les intermédiaires terrestres. Créer ainsi des interconnections qui n'existent pas au sol plus directes quand c'est avantageux.
- Accès internet en zone non développée: De la zone rurale en France au désert de je ne sais quel coin du monde.
- Accès internet pour le maritime permettant plus de débit et de nouveaux usages. Idem pour l'aviation.
- Fourniture d'une couverture mondiale pour les scientifiques aussi (balises et télémétrie n'importe ou dans le monde pour leurs armées de capteurs environnementaux)
- Connectivité sans apport terrestres pour l'industrie et les collectivités publiques (feux de route connectés, radars automatiques dans des zones encore plus paumées :-/ , etc...)
Globalement fournir une connectivité la ou ce n'était pas possible ou financièrement envisageable avant.
Alors après il est clair que cramer des trucs dans l'atmosphère c'est pas bon du tout. A notre époque on préférerai ne pas le faire. Mais est-ce mieux que la situation actuelle ou pas ? Je ne sais pas mais encore une fois la réponse me semble pas si évidente.
EDIT:Typole 12/11/2019 à 12:27 -
UtherExpert éminent séniorOui une éruption solaire peut abimer les satellites, et même si c'est improbable pour la terre dans un avenir proche, souffler l’atmosphère d'une planète jusqu'à la rendre inhabitable.
Maintenant dans la réalité actuelle, on a depuis des dizaines d'années des satellites géostationnaires, qui malgré quelques nuisances, survivent plutôt bien dans l'ensemble. Starlink a beaucoup moins de risque d'être touché puisse que ces satelittes sont en orbite basse et donc mieux protégés par le champs magnétique terrestre.
Les vents solaire sont assez étudiés, il n'y a pas de grosse craintes dans l'avenir proche. Le jour où on aura des vent solaires assez forts pour griller l'intégralité d'une constellation en orbite basse, on risque d'avoir des soucis bien plus graves que l'internet haut débit ou la luminosité du ciel.le 21/01/2020 à 10:55