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L'Utah devient le premier Etat US à exiger la limitation de l'accès des adolescents aux médias sociaux :
Vers une levée de l'anonymat sur Internet à l'échelle globale ?

Le , par Patrick Ruiz

128PARTAGES

7  0 
L'Utah est devenu le premier État américain à exiger des entreprises de médias sociaux qu'elles obtiennent le consentement des parents pour l'utilisation de leurs applications par les enfants et qu'elles vérifient que les utilisateurs ont au moins 18 ans. Une proposition de loi similaire est en examen en France et prévoit que les jeunes en dessous de l’âge de 15 ans devront obtenir un accord parental pour s’inscrire sur un réseau social (Facebook, Twitter, etc.) Problème : les mesures semblent inutiles sans l’effectivité d’un contrôle des âges des internautes qui pourrait mener à une levée de l’anonymat sur Internet.

Les deux lois relatives à cette limitation dans l’État de l’Utah devraient entrer en vigueur le 1er mars 2024. La première loi, SB 152, exige que les entreprises de médias sociaux vérifient l'âge de tout résident de l'Utah possédant un compte sur leurs services. Les moins de 18 ans devront obtenir l'autorisation de leurs parents ou de leur tuteur pour ouvrir un compte et y accéder entre 22 h 30 et 6 h 30, et les entreprises de médias sociaux ne pourront pas faire de publicité ni recueillir des données sur les mineurs. La seconde, HB 311, exige des entreprises de médias sociaux qu'elles s'assurent qu'elles ne sont pas conçues pour rendre les mineurs dépendants, et donne aux mineurs de l'Utah le droit de poursuivre les entreprises de médias sociaux s'ils pensent être devenus dépendants ou avoir été lésés d'une manière ou d'une autre par une plateforme de médias sociaux sur laquelle ils ont un compte.


Envisager de contrôler les identités des internautes implique la mise à mal de leur droit d’utiliser lesdits services en ligne de façon anonyme. Le système de vérification en ligne de l’âge sur la base de pièces d’identité à fournir fait partie de ceux explorés, mais est jugé invasif et risqué. Même conclusion pour d’autres approches comme le contrôle de carte de crédit ou le recours à des opérateurs de téléphonie mobile ou des fournisseurs de services Internet.

« Après les brèches d'Optus et de Medibank, des millions de personnes sont maintenant très conscientes des dangers de la collecte et du stockage de grandes quantités d'informations personnelles. La vérification de l'âge est une combinaison terrible d'invasivité et de risque, tout en étant inefficace pour l'objectif qu'elle est censée atteindre. Les méthodes qui sont moins invasives pour la vie privée sont facilement contournées par les enfants férus de technologie, et celles qui sont plus susceptibles de fonctionner pour limiter l'accès à la pornographie créent des risques massifs et disproportionnés pour la vie privée et la sécurité numérique », déclare un responsable de Human Rights Watch.

D'autres États tentent déjà d'interdire l'utilisation des médias sociaux aux moins de 18 ans

Au cours de ces dernières années, de nombreuses études ont rapporté que l'utilisation des médias sociaux a des effets négatifs sur la santé mentale des utilisateurs, en particulier celle des plus jeunes. Malgré les nombreuses approches de solutions proposées par les plateformes comme Facebook, Instagram, TikTok, etc., les experts continuent d'affirmer que la santé mentale des enfants, ainsi que leur sécurité en ligne, reste un défi majeur pour les entreprises de médias sociaux. Pour répondre à ces préoccupations, un législateur américain vient de proposer une approche différente de la plupart de celles qui ont été proposées par le passé.

Le représentant républicain de l'État du Texas, Jared Patterson, a présenté le projet de loi HB 896 qui exigerait que les utilisateurs de médias sociaux soient âgés d'au moins 18 ans pour pouvoir ouvrir un compte de médias sociaux. « Alors qu'on pensait autrefois que les utilisateurs étaient parfaitement sûrs, l'accès des mineurs aux médias sociaux a entraîné une augmentation remarquable des cas d'automutilation, de suicide et de problèmes de santé mentale », a déclaré Patterson, comparant les plateformes de médias sociaux à l'utilisation de la cigarette avant qu'elle ne soit considérée comme dangereuse dans les années 1960.

Les principales plateformes de médias sociaux, telles que Facebook et Instagram de Meta, exigent que les utilisateurs aient 13 ans, mais ne disposent d'aucun système permettant de vérifier l'âge des utilisateurs. Le projet de loi de Patterson obligerait les sociétés de médias sociaux à vérifier l'âge des utilisateurs au moyen d'une pièce d'identité avec photo, tout en permettant aux parents de demander la suppression des comptes de leurs enfants sur les sites. Les sociétés de médias sociaux auraient alors un maximum de 10 jours pour supprimer le profil d'un enfant. Patterson estime qu'il faut mettre fin aux méfaits des réseaux sociaux sur les enfants.

Jonathan Haidt, psychologue social qui étudie la psychologie morale et le développement moral depuis 1987, a déclaré en mai dernier : « j'ai commencé à remarquer que quelque chose allait mal dans la santé mentale et le comportement social des étudiants autour de 2014, ce qui m'a conduit à collaborer avec Greg Lukianoff pour écrire un article pour Atlantic en 2015 intitulé "The Coddling of the American mind" ». À la fin de son étude, Haidt a conclu que la santé mentale des adolescents est en chute libre et les médias sociaux en sont une cause majeure. D'autres études ont également tiré des conclusions très peu rassurantes.

TikTok, la plateforme de partage de vidéos courtes qui jouit d'une très forte popularité auprès des jeunes, fait l'objet de plusieurs actions en justice pour son impact sur la santé mentale des enfants. En mars dernier, une coalition formée par les procureurs généraux de Californie, de Floride et du Kentucky, entre autres, a ouvert une enquête sur TikTok pour ses effets potentiels sur la santé mentale et physique des jeunes. L'algorithme de TikTok détermine le contenu que les utilisateurs voient, et s'est avéré remarquablement efficace pour maintenir les utilisateurs engagés sur l'application, ce qui contribuerait à dégrader la santé mentale des jeunes.

Le groupe de procureurs généraux cherche à savoir si la façon dont TikTok conçoit, exploite et commercialise sa plateforme a un effet négatif sur la santé des enfants, des adolescents et des jeunes adultes. Bien que l'entreprise ait donné un aperçu du fonctionnement de son algorithme, il est difficile de connaître les détails exacts en dehors des fuites et des suppositions éclairées. L'enquête des procureurs devrait se concentrer sur « les méthodes et techniques » utilisées par TikTok pour « stimuler l'engagement des plus jeunes utilisateurs, notamment en augmentant le temps passé sur la plateforme ». TikTok a toujours nié ces allégations.

« Les méfaits des médias sociaux sur les mineurs sont démontrés non seulement par les recherches internes des sociétés de médias sociaux qui créent ces produits addictifs, mais aussi par la montée en flèche des taux de dépression, d'anxiété et même de suicide dont souffrent les enfants. Nous remercions le représentant Jared Patterson pour ces efforts afin de garder cette précieuse population en sécurité, et nous soutenons l'interdiction de l'accès aux médias sociaux pour les mineurs afin d'empêcher les méfaits perpétuels des médias sociaux de dévaster la prochaine génération de Texans », a déclaré Greg Sindelar, PDG de la Texas Public Policy Foundation.

Source : video de la signature par le gouverneur de l’État de l’Utah

Et vous ?

Quelle solution technique au problème de contrôle des âges sur les réseaux sociaux vous semble la plus viable ?
S'il devait être relevé, quel âge vous semblerait le plus approprié pour l’accès aux réseaux sociaux ?

Voir aussi :

France : le débat sur le trouble du jeu vidéo s'invite dans les instances gouvernementales. Quel traitement préconiser à ceux qui en souffrent ?
Tueries dans les écoles : Donald Trump accuse les jeux vidéo violents à l'occasion de sa rencontre avec l'industrie
L'Organisation mondiale de la santé considère désormais l'addiction aux jeux vidéo comme une maladie au même titre que l'addiction à la cocaïne

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Avatar de totozor
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 05/04/2023 à 8:27
Citation Envoyé par HaryRoseAndMac Voir le message
Liberté permise parce que pour le cas de la France (même si là on parle des USA, c'est au fond pareil), l'islamisation n'avait pas fait ses ravages et apportés la violence qui vient avec cette religion.
Et donc les gosses pouvaient aller seul à l'école sans risquer quoi que ce soit, sauf cas très rare.
C'est vrai que c'était mieux avant, je n'ai pas grandi avec des infos qui parlaient de plasticages de résidences en Corse, d'assassinats de différents groupes indépendantistes (Claude Erignac est mort dans un malheureux accident de voiture), de tournantes dans les caves de banlieues, le ministre de l'intérieur n'a pas été Charles Pasqua qui n'avait pas du tout une approche aggressive et mafieuse du maintien de l'ordre, Malik Oussekin ou Steve ne sont pas mort de violences policières, je n'ai pas non plus connu cette grande période où la pédophilie faisait les grands titres des infos (Marc Dutrou ce grand islamiste n'a pas traumatisé toute une génération) et mes parents ne m'ont pas dit de me méfier de n'importe quel adulte qui souhaite me parler. Je n'ai pas non plus été animateur de colo où l'une des premières choses que nous disaient nos directeurs étaient "Ne soyez jamais seul avec un enfant vous pourriez finir au tribunal".
Quelle belle jeunesse j'ai eu! Malheureusement les méchants islamistes sont arrivés pour pourir mon monde si pacifique.

Je ne dit pas que nous vivons des années très roses mais l'islamisation n'a pas amené la violence en France.
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Avatar de escartefigue
Modérateur https://www.developpez.com
Le 05/04/2023 à 13:41
@OrthodoxWindows, vous semblez avoir manqué des épisodes, il fallait d'abord lire l'article, puis la réponse d'HaryRoseAndMac.

Il n'était pas nécessaire de faire un gros effort, puisque la réponse est dans les toutes premières lignes dudit article :
Citation Envoyé par Patrick Ruiz  Voir le message
[B][SIZE=4]
L'Utah est devenu le premier État américain à exiger des entreprises de médias sociaux qu'elles obtiennent le consentement des parents pour l'utilisation de leurs applications par les enfants et qu'elles vérifient que les utilisateurs ont au moins 18 ans. Une proposition de loi similaire est en examen en France et prévoit que les jeunes en dessous de l’âge de 15 ans devront obtenir un accord parental pour s’inscrire sur un réseau social (Facebook, Twitter, etc.) Problème : les mesures semblent inutiles sans l’effectivité d’un contrôle des âges des internautes qui pourrait mener à une levée de l’anonymat sur Internet.

Il donc est bien mentionné que l'Utah demande expressément l'accord parental, et que la France envisage de faire de même.

Ce à quoi, HaryRoseAndMac a répondu :
Citation Envoyé par HaryRoseAndMac  Voir le message
Un enfant ça a besoin de faire des erreurs, de tester, de découvrir, ...
Un parent, ça a besoin de mettre des cadres, des limites et parfois d'interdire.

Mais en aucun cas, jamais, d'aucune manière, ça doit être à l'état de le faire.

D'où ma réponse, que je maintiens
Citation Envoyé par escartefigue  Voir le message
Ce n'est pas ce que dit l'article : ici ce sont les parents qui doivent autoriser les enfants.
Par ailleurs, il existe plein de lois en France qui interdisent aux mineurs telles ou telles choses, par exemple l'achat de tabac ou d'alcool.
En quoi serait-ce un problème ?


À partir de là, cette réponse est hors de propos ou a but uniquement polémique.
Citation Envoyé par OrthodoxWindows  Voir le message
Ah bon ? Il existe en France une loi qui interdit aux mineurs de parler à quelqu'un sans une autorisation parentale ?

Au passage, vous n'avez pas lu le post de HarryRoseAndMac, sinon vous ne sortiriez pas une tels ineptie.

3  1 
Avatar de chrtophe
Responsable Systèmes https://www.developpez.com
Le 28/03/2023 à 7:21
Quelle solution technique au problème de contrôle des âges sur les réseaux sociaux vous semble la plus viable ?
Le VPN, enfin selon les syndicats.
1  0 
Avatar de HaryRoseAndMac
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 29/03/2023 à 1:30
C'est complètement débile.
Ca n'empêchera pas les parents cas sociaux qui sont majoritaires de laisser leur gamine de 10 ans sur tiktok, même si pour ça elles doivent fournir la carte d'identité de toute la famille sur 10 générations.

Ca ne sert qu'à tracer de manière scandaleuse, en aucun cas exiger la limitation de l'accès aux adolescent aux médias sociaux est un progrès.
Imaginez 10 secondes tous les gosses nés dans les années 70/80 qui sont nés avec des films comme Alien, Terminator, avec des gosses de 10 piges qui se donnaient rendez-vous dans des bars pour jouer à des bornes d'arcades et j'en passe.

Vous pourrez demander à n'importe quel adulte de cette génération, ces années là étaient les meilleurs années, sûrement de l'histoire de l'humanité.
Justement, parce que les gosses avaient une réelle liberté et en contre partie, parce que c'était les parents qui étaient sanctionnés, pas les enfants.

Liberté permise parce que pour le cas de la France (même si là on parle des USA, c'est au fond pareil), l'islamisation n'avait pas fait ses ravages et apportés la violence qui vient avec cette religion.
Et donc les gosses pouvaient aller seul à l'école sans risquer quoi que ce soit, sauf cas très rare.
Aujourd'hui ça ne serait plus possible, les cas très rares seraient ou ça se passerait bien pour un gosse de 10 piges d'aller seul à l'école.

Un enfant ça a besoin de faire des erreurs, de tester, de découvrir, ...
Un parent, ça a besoin de mettre des cadres, des limites et parfois d'interdir.

Mais en aucun cas, jamais, d'aucune manière, ça doit être à l'état de le faire.
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Avatar de
https://www.developpez.com
Le 29/03/2023 à 8:21
Lmao bientôt ça sera plus difficile pour un ado d'aller sur les réseaux sociaux que sur un site porno, assez risible .
1  1 
Avatar de escartefigue
Modérateur https://www.developpez.com
Le 29/03/2023 à 8:07
Citation Envoyé par HaryRoseAndMac Voir le message
Un enfant ça a besoin de faire des erreurs, de tester, de découvrir, ...
Un parent, ça a besoin de mettre des cadres, des limites et parfois d'interdire.

Mais en aucun cas, jamais, d'aucune manière, ça doit être à l'état de le faire.
Ce n'est pas ce que dit l'article : ici ce sont les parents qui doivent autoriser les enfants.
Par ailleurs, il existe plein de lois en France qui interdisent aux mineurs telles ou telles choses, par exemple l'achat de tabac ou d'alcool.
En quoi serait-ce un problème ?
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Avatar de OrthodoxWindows
Membre chevronné https://www.developpez.com
Le 06/04/2023 à 0:33
Citation Envoyé par escartefigue Voir le message
@OrthodoxWindows, vous semblez avoir manqué des épisodes, il fallait d'abord lire l'article, puis la réponse d'HaryRoseAndMac.

Il n'était pas nécessaire de faire un gros effort, puisque la réponse est dans les toutes premières lignes dudit article :
J'avais lu tout l'article, y compris la première ligne. HarryRoseAndMac a changé le sens de l'article, mais je suis totalement d'accord avec lui sur le fond (sauf pour l'islamisme).

Il donc est bien mentionné que l'Utah demande expressément l'accord parental, et que la France envisage de faire de même.
Tout d'abord, ce n'est pas parce que la France envisage de faire de même que c'est bien. La France à aussi fait la loi séparatisme, le pass vaccinal, la réforme des retraites, la loi sécurité globale...
Ensuite, c'est faux, la France ne fait pas la même chose, puisque l'âge est de 15 ans, pas de 18 ans, ce qui fait une énorme différence. Il est absolument abject de fixer l'âge à 18 ans, alors que certains jeunes commencent à travailler dès 16 ans. Utiliser tels ou tels réseau social peut être une obligation professionnelle ; si les parents refusent, comment on fait ?

À partir de là, cette réponse est hors de propos ou a but uniquement polémique.
Les réseaux sociaux prennent de plus en plus de place dans la communication. Il s'agit d'outils de plus en plus importants pour la réussite sociale. Soumettre cela est une autorisation parentale (surtout jusqu’à 18 ans) revient à donner un pouvoir parental disproportionné. Je vous conseille de lire la série "numériques équivalents analogiques" de Rike Falkwing : https://falkvinge.net/topic/principles/
Les réseaux sociaux sont de plus en plus proche de l'équivalent analogique de parler à quelqu'un dans la rue ou dans un lien de travail. Par contre, les réseaux sociaux n'ont rien à voir avec le tabac ou l'alcool. C'est plutôt vous qui tenez des propos polémique (et surtout irréfléchi). La dernière personne sur le forum que j'ai vu tenir ces mêmes propos sur quasiment le même sujet, c'est Madmac.

Enfin, vous ne prenez pas en compte le problème le plus grave : la vérification d'identité. Je n'ai absolument pas envie de devoir confirmer mon identité pour m'inscrire sur un réseau social. D'ailleurs, je boycotte déjà les réseaux sociaux qui demande confirmation le nom/prénom (Facebook). C'est forcément dans le but d'établir un profile. Surtout que l’anonymat n'existe pas en réalité, il s'agit du pseudonymat, ce qui n'est pas du tout la même chose (en cas de plainte c'est possible de retrouver l'adresse IP).
Or une vérification de l'âge amène une vérification de l'identité, ce qui est extrêmement grave.
0  2 
Avatar de OrthodoxWindows
Membre chevronné https://www.developpez.com
Le 05/04/2023 à 12:35
Citation Envoyé par escartefigue Voir le message
Ce n'est pas ce que dit l'article : ici ce sont les parents qui doivent autoriser les enfants.
Par ailleurs, il existe plein de lois en France qui interdisent aux mineurs telles ou telles choses, par exemple l'achat de tabac ou d'alcool.
En quoi serait-ce un problème ?
Ah bon ? Il existe en France une loi qui interdit aux mineurs de parler à quelqu'un sans une autorisation parentale ?

Au passage, vous n'avez pas lu le post de HarryRoseAndMac, sinon vous ne sortiriez pas une tels ineptie.
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