IdentifiantMot de passe
Loading...
Mot de passe oublié ?Je m'inscris ! (gratuit)

Vous êtes nouveau sur Developpez.com ? Créez votre compte ou connectez-vous afin de pouvoir participer !

Vous devez avoir un compte Developpez.com et être connecté pour pouvoir participer aux discussions.

Vous n'avez pas encore de compte Developpez.com ? Créez-en un en quelques instants, c'est entièrement gratuit !

Si vous disposez déjà d'un compte et qu'il est bien activé, connectez-vous à l'aide du formulaire ci-dessous.

Identifiez-vous
Identifiant
Mot de passe
Mot de passe oublié ?
Créer un compte

L'inscription est gratuite et ne vous prendra que quelques instants !

Je m'inscris !

Une cour d'appel confirme la loi texane réglementant la modération des médias sociaux
Cette décision peut conduire à une confrontation avec la Cour suprême sur l'avenir de l'expression en ligne

Le , par Nancy Rey

62PARTAGES

5  0 
Depuis un an, le Texas se bat devant les tribunaux pour faire respecter une loi controversée qui interdirait aux entreprises technologiques de modérer le contenu en fonction des points de vue. En mai, la Cour suprême a bloqué la loi de justesse, mais cela n'a guère contribué à régler la question. Aujourd'hui, la cour d'appel du 5e circuit a annulé la décision d'un tribunal inférieur du Texas de bloquer la loi, et a décidé que la loi texane devait être maintenue. Étant donné que les deux cours de circuit sont arrivées à des opinions divergentes, la décision "prépare probablement une épreuve de force à la Cour suprême sur l'avenir du discours en ligne". Entre-temps, l'avis de la cinquième cour de circuit pourrait inciter d'autres États à adopter des lois similaires.


Une cour d'appel américaine a confirmé vendredi une loi du Texas qui interdit aux grandes entreprises de médias sociaux d'interdire ou de censurer des utilisateurs en fonction de leur "point de vue", ce qui constitue un revers pour les groupes de l'industrie technologique qui estiment que cette mesure transformerait les plateformes en bastions de contenus dangereux. La décision de la 5e cour d'appel de circuit des États-Unis, basée à la Nouvelle-Orléans, a été rendue à 2 contre 1. La Cour suprême des États-Unis pourrait donc se prononcer sur cette loi, qui, selon les conservateurs et les commentateurs de droite, est nécessaire pour empêcher les "Big Tech" de supprimer leurs opinions.

Le juge Andrew Stephen Oldham, nommé par Trump, s'est joint à deux autres juges conservateurs pour décider que le premier amendement n'accorde pas de protection aux entreprises pour "museler la parole". « Aujourd'hui, nous rejetons l'idée que les entreprises ont un droit de premier amendement en roue libre pour censurer ce que les gens disent », a écrit le juge Andrew Oldham. La loi texane a été adoptée par l'Assemblée législative républicaine de l'État et signée par son gouverneur républicain.

John Bergmayer, le directeur juridique de Public Knowledge (un groupe d'intérêt public défendant les droits des consommateurs en ligne), a fourni une déclaration suggérant que la décision de la Cour du 5e circuit pourrait ne pas être maintenue. « Le cinquième circuit a ignoré des décennies de premier amendement et de précédents de la Cour suprême et contrairement aux ordonnances récentes de la Cour suprême pour parvenir à une décision apparemment motivée par des considérations politiques qui aura des effets désastreux si elle n'est pas immédiatement annulée », a déclaré Bergmayer.

Les groupes technologiques qui ont contesté la loi et qui ont perdu la décision de vendredi sont NetChoice et la Computer & Communications Industry Association, qui comptent parmi leurs membres Facebook, Twitter et YouTube… Ils ont cherché à préserver le droit de réglementer le contenu des utilisateurs lorsqu'ils estiment qu'il peut conduire à la violence, en invoquant la crainte que des plateformes non réglementées ne permettent à des extrémistes tels que les partisans du nazisme, les terroristes et les gouvernements étrangers hostiles d'agir.

Ces représentants de l'industrie technologique s'opposent également à la décision la plus récente de maintenir la loi et prévoient d'étudier les possibilités de faire appel. Matt Schruers, président de la Computer & Communications Industry Association, est l'un des principaux opposants à la loi texane. Il est cité comme qualifiant la décision d"orwellienne" parce qu'elle accorde au gouvernement le pouvoir de dicter ce que les entreprises doivent dire au nom de la protection de la liberté d'expression. « La loi texane oblige les entreprises privées à distribuer des contenus dangereux, allant de la propagande étrangère à l'incitation au terrorisme, et met les Américains en danger », a déclaré Schruers.

Selon Bergmayer, le verdict pourrait faire perdre aux plateformes leur capacité à stopper efficacement la propagation des discours de haine, des abus et de la désinformation. Il suggère que le jugement implique que les journaux pourraient recevoir l'ordre de publier de la propagande ou que les filtres anti-spam pourraient devenir illégaux parce que c'est une entreprise technologique qui bloque le discours politique. « Les plateformes doivent être réglementées à bien des égards, mais des décisions comme celle-ci font reculer les tentatives sérieuses de protéger les consommateurs en ligne », a averti Bergmayer.

Certains conservateurs ont qualifié les pratiques des entreprises de médias sociaux d'abusives, en soulignant la suspension permanente de Trump de la plateforme par Twitter peu après l'attaque du Capitole américain par une foule de ses partisans, le 6 janvier 2021. Twitter avait invoqué "le risque d'une nouvelle incitation à la violence" comme raison.

La loi texane interdit aux sociétés de médias sociaux comptant au moins 50 millions d'utilisateurs actifs mensuels d'agir pour "censurer" les utilisateurs en fonction de leur "point de vue", et permet aux utilisateurs ou au procureur général du Texas d'intenter une action en justice pour faire appliquer la loi.

Sur Twitter, le procureur général du Texas, Ken Paxton, a salué cette décision comme une « victoire massive pour la Constitution et la liberté d'expression ».

Étant donné que la décision du 5e circuit est en contradiction avec une partie d'une décision du 11e circuit, les parties lésées sont mieux placées pour demander à la Cour suprême d'examiner l'affaire. En mai, le 11e circuit, basé à Atlanta, a estimé que la majeure partie d'une loi similaire de Floride violait les droits de liberté d'expression des entreprises et ne pouvait être appliquée.

Source : Twitter

Et vous ?

Quel est votre avis sur le sujet ?

Voir aussi :

Le gouverneur de la Californie signe un projet de loi obligeant les entreprises de médias sociaux à la transparence, cette loi pourrait être contestée par l'industrie technologique

Le Texas est poursuivi en justice pour un projet de loi empêchant les sociétés de médias sociaux de bannir des utilisateurs pour leurs opinions politiques

L'EFF approuve la décision de la Cour fédérale de bloquer un projet de loi sur les médias sociaux qui leur interdit la modération du contenu répréhensible, mais légal

Le projet de loi texan interdisant la censure des contenus sur les médias sociaux est autorisé à être appliqué il interdit la modération du contenu répréhensible, mais légal

Une erreur dans cette actualité ? Signalez-nous-la !

Avatar de kain_tn
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 09/12/2022 à 21:34
Citation Envoyé par Bill Fassinou  Voir le message
[B][SIZE=4][...]mais également que les entreprises vérifient la véracité de cette information à l'aide d'une carte d'identité avec photo.[...]

Hum... Exiger des voleurs de données qu'ils collectent encore plus de données sur les utilisateurs, sous prétexte de vérifier l'âge de leurs victimes... Mais qu'est-ce qui pourrait bien mal se passer?
4  1 
Avatar de totozor
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 05/04/2023 à 8:27
Citation Envoyé par HaryRoseAndMac Voir le message
Liberté permise parce que pour le cas de la France (même si là on parle des USA, c'est au fond pareil), l'islamisation n'avait pas fait ses ravages et apportés la violence qui vient avec cette religion.
Et donc les gosses pouvaient aller seul à l'école sans risquer quoi que ce soit, sauf cas très rare.
C'est vrai que c'était mieux avant, je n'ai pas grandi avec des infos qui parlaient de plasticages de résidences en Corse, d'assassinats de différents groupes indépendantistes (Claude Erignac est mort dans un malheureux accident de voiture), de tournantes dans les caves de banlieues, le ministre de l'intérieur n'a pas été Charles Pasqua qui n'avait pas du tout une approche aggressive et mafieuse du maintien de l'ordre, Malik Oussekin ou Steve ne sont pas mort de violences policières, je n'ai pas non plus connu cette grande période où la pédophilie faisait les grands titres des infos (Marc Dutrou ce grand islamiste n'a pas traumatisé toute une génération) et mes parents ne m'ont pas dit de me méfier de n'importe quel adulte qui souhaite me parler. Je n'ai pas non plus été animateur de colo où l'une des premières choses que nous disaient nos directeurs étaient "Ne soyez jamais seul avec un enfant vous pourriez finir au tribunal".
Quelle belle jeunesse j'ai eu! Malheureusement les méchants islamistes sont arrivés pour pourir mon monde si pacifique.

Je ne dit pas que nous vivons des années très roses mais l'islamisation n'a pas amené la violence en France.
3  0 
Avatar de totozor
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 04/09/2023 à 8:42
Citation Envoyé par TotoParis Voir le message
Mais le décision du juge est bien exrême. Ce serait bien que ses enfants mineurs soient concernés...s'il en a.
Ils le sont s'il en a.
Ceci dit j'ai l'impression que son message n'est pas de laisser les enfants accéder à ces sites mais que la méthode de contrôle doit être plus raisonnable.
Pour moi il y a quelques grandes différences entre entrer physiquement dans un sex shop et sur un site web:
_ J'ai plus la tête d'un mineur donc si je rentre dans un sex shop on ne me demanderais même pas de preuve de ma majorité. Donc on ne me demandera probablement rien.
_ Si on me demandais une preuve de ma majorité je tendrais ma carte d'identité, 2023-1983 >> 18, on passe à la suite. Le vendeur ne se rappellera même pas de mon prénom. Si un site me demande une preuve de mon identité je vais lui fournir le numéro de ma carte, recherche dans une base, prénom : Toto, nom : zor, date de naissance : xx/yy/1983 etc comment avoir la garantie que toutes ces informations ne sont ni exploitées ni enregistrées? Surtout quand on vit dans un pays qui se puritanise et qui risque de faire la chasse aux "déviants" (et je ne parle pas de pédophiles & co qui ne vont pas sur ces sites qui ne contiennent pas ce genre de contenu mais de fétichistes ou d'homosexuels)

Pour ceux qui pensent que je fantasme cette peur des "déviants" envers ceux qui voudraient leur qu'ils disparaissent : ce weekend ma ville organisait un évènement de recrutement pour les assos locale, mon asso y participait et proposait de s'inscrire à une session d'initiation (dans l'inscription nous demandons le pronom des personnes, autre façon de demander leur genre), une personne vient s'inscrire et nous explique qu'elle n'a pas mis ses vraies informations parce qu'elle s'est faites aggressée il y a quelques semaines et qu'après avoir recroisé ses aggresseurs en rue elle est devenue parano et a peur de mettre ces infos sur un feuille lisible de tous.
Alors oui il y a une surréaction dûe à un traumatisme récent mais on aussi réduit le nombre de personnes pas page parce que quelques personnes sont venues s'interressé à notre club visiblement plus pour la fiche d'inscription que pour ce que nous avions à proposé.
Citation Envoyé par wandapanel Voir le message
En plus c'est pas à la loi de définir l'éducation des enfants, c'est au parent de le faire, surtout qu'il existe de multitude système qui permet au parent de bloquer ces chose la.
Moi j'ai été éduqué à la fessé et au tarte derrière la tête, aujourd'hui j'ai 30 ans j'ai un travail, je suis propriétaire d'un appartement, j'ai jamais manquer de respect a qui ce soit, et j'ai jamais insulté mes parents.
Quand je vois ces nouveau enfants qui dise ta-gueule, connasse, …, à leur mère et père, et que les parents ne peuvent rien faire contre leur enfants car la lois interdit toute sorte de punissions.
Une psychologue à même dit que envoyer sont enfant dans ca chambre était de la maltraitance.
Alors il existe aussi la théorie et la pratique.
J'ai eu à peu près la même éducation mais j'étais plus rebelle (j'ai clairement dit ta gueule à ma mère, ce qui m'a valu des claques à chaque fois), et je suis devenu un adulte relativement descent.
Mais j'étais animateur de centre aéré et il m'est arrivé une fois de frapper un enfant, il se foutait de moi depuis le matin et il venait de dépasser les bornes, je lui donne une claque. Il me menace de le dire à ses parents, je lui répond que quand son père viendra le chercher je lui raconterais le détails de la journée, ce qui l'a calmé. Je ne dit pas que frapper les enfants est bien, je dis juste qu'il existe des circonstance où ça se justifie, et que tout un chacun (normal) est capable de le comprendre.
Mais les gens sont idiot regarder ce qui c'est passer avec Macron, juste avant d'être réélu il a crié haut et fort qu'il aller mettre la retraite en 64 ans et les gens on voté pour lui, et ces même gens on fait la grève contre la réforme des retraite.
On nous a demandé de choisir entre la peste et le choléra, certains ont choisi, d'autres ont choisi de ne pas choisir.
Quand j'étais gamin on avait ce truc de nous demander de choisir entre deux trucs nuls, le deuxième tour des présidentielles me demande ça depuis ma majorité. je n'ai jamais voté pour quelqu'un en qui je croyais au deuxième tour, par contre j'ai souvent voté contre quelqu'un, donc oui je n'ai pas voté contre la retraite à 64 ans mais contre la représentante d'un parti hérité de personnes fort peu recommandables.
3  0 
Avatar de escartefigue
Modérateur https://www.developpez.com
Le 05/04/2023 à 13:41
@OrthodoxWindows, vous semblez avoir manqué des épisodes, il fallait d'abord lire l'article, puis la réponse d'HaryRoseAndMac.

Il n'était pas nécessaire de faire un gros effort, puisque la réponse est dans les toutes premières lignes dudit article :
Citation Envoyé par Patrick Ruiz  Voir le message
[B][SIZE=4]
L'Utah est devenu le premier État américain à exiger des entreprises de médias sociaux qu'elles obtiennent le consentement des parents pour l'utilisation de leurs applications par les enfants et qu'elles vérifient que les utilisateurs ont au moins 18 ans. Une proposition de loi similaire est en examen en France et prévoit que les jeunes en dessous de l’âge de 15 ans devront obtenir un accord parental pour s’inscrire sur un réseau social (Facebook, Twitter, etc.) Problème : les mesures semblent inutiles sans l’effectivité d’un contrôle des âges des internautes qui pourrait mener à une levée de l’anonymat sur Internet.

Il donc est bien mentionné que l'Utah demande expressément l'accord parental, et que la France envisage de faire de même.

Ce à quoi, HaryRoseAndMac a répondu :
Citation Envoyé par HaryRoseAndMac  Voir le message
Un enfant ça a besoin de faire des erreurs, de tester, de découvrir, ...
Un parent, ça a besoin de mettre des cadres, des limites et parfois d'interdire.

Mais en aucun cas, jamais, d'aucune manière, ça doit être à l'état de le faire.

D'où ma réponse, que je maintiens
Citation Envoyé par escartefigue  Voir le message
Ce n'est pas ce que dit l'article : ici ce sont les parents qui doivent autoriser les enfants.
Par ailleurs, il existe plein de lois en France qui interdisent aux mineurs telles ou telles choses, par exemple l'achat de tabac ou d'alcool.
En quoi serait-ce un problème ?


À partir de là, cette réponse est hors de propos ou a but uniquement polémique.
Citation Envoyé par OrthodoxWindows  Voir le message
Ah bon ? Il existe en France une loi qui interdit aux mineurs de parler à quelqu'un sans une autorisation parentale ?

Au passage, vous n'avez pas lu le post de HarryRoseAndMac, sinon vous ne sortiriez pas une tels ineptie.

3  1 
Avatar de
https://www.developpez.com
Le 20/09/2022 à 11:02
Bonsoir,

Une cour d'appel confirme la loi texane réglementant la modération des médias sociaux, cette décision peut conduire à une confrontation avec la Cour suprême sur l'avenir de l'expression en ligne

Quel est votre avis sur le sujet ?
Le Texas a parfaitement raison. Un réseau social n'a pas à modérer de façon politique.

Trop souvent les réseaux sociaux et outils de modérations autom, sont batis de la sorte que les faux positifs sont considérés comme comme racistes et toutes joyeuseté.

Depuis un an, le Texas se bat devant les tribunaux pour faire respecter une loi controversée qui interdirait aux entreprises technologiques de modérer le contenu en fonction des points de vue.
Un exemple : Une personne dit sur Facebook , "je n'aime pas le comportement des cyclistes en ville". Est ce pour autant que cette personne est contre le parti ecolo-groen en Belgique ? Une personne se plaint des drogués de la colonne du crack à PAris. Est ce que cette personne est raciste envers les étrangers ?

En mai, la Cour suprême a bloqué la loi de justesse, mais cela n'a guère contribué à régler la question. Aujourd'hui, la cour d'appel du 5e circuit a annulé la décision d'un tribunal inférieur du Texas de bloquer la loi, et a décidé que la loi texane devait être maintenue. Étant donné que les deux cours de circuit sont arrivées à des opinions divergentes, la décision "prépare probablement une épreuve de force à la Cour suprême sur l'avenir du discours en ligne". Entre-temps, l'avis de la cinquième cour de circuit pourrait inciter d'autres États à adopter des lois similaires.
Pour résumé , une critique jugé "trop politisé" peut se voir censurée ^^

On ne juge pas une personne en fonction de ces opinions politiques . Une personne de gauche n'incarne pas le bien absolu , une personne de droite n'incarne pas le mal absolu . Un centriste est donc dieu en personne pour arbitrer ?
2  1 
Avatar de totozor
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 12/12/2022 à 8:13
Citation Envoyé par Bill Fassinou  Voir le message
Le projet de loi souhaite faire en sorte que les plateformes de médias sociaux exigent que les utilisateurs aient au moins 18 ans, [...]. En outre, le projet veut donner la possibilité aux parents de demander le retrait de leurs enfants des plateformes de médias sociaux.[/B]

Donc le projet prévoir que les parents puissent demander le retrait du compte de leur enfant majeur?

Ces projets de loi, s'il étaient votés, sont-ils seulement applicables?
Comment Facebook peut gérer autant de cas particuliers?
Cette loi ne concerne que les Texans, suffit-il de déclarer que j'habite dans le Missouri pour ne pas avoir à donner toutes mes données d'identité à Facebook?

PS : A l'epoque où mon compte facebook avait un pseudo qui n'était clairement pas un nom ils m'ont demandé de mettre un vrai nom ou de justifier que je m'appelle bien comme ça avec ma carte d'identité. Ça leur permettrait juste de démocratiser la pratique.
1  0 
Avatar de
https://www.developpez.com
Le 15/02/2023 à 9:09
Il est vrai que relever l'âge est toujours moins coûteux que de bien former les jeunes à l'esprit critique et aux média. Mieux vaut réprimer que conscientiser, c'est plus rapide et moins cher !

Ce qui est navrant, c'est de penser que ça va résoudre le problème, comme si rien ne remplacera les réseaux sociaux électroniques et que la manipulation n'existe pas dans le monde réel !

Est-il vraiment si naïf que ça ce vieux monsieur ?
1  0 
Avatar de Emmanuel.Gaudin
Nouveau membre du Club https://www.developpez.com
Le 15/02/2023 à 13:56
Je trouve que la limite à 13 ans est correcte et je l'ai respectée pour mes enfants. Seulement, c'est comme pour les films, j'ai vu beaucoup d'autres parents se moquer de ces restrictions et laisser leurs enfants ouvrir un compte bien avant 13 ans. On peut toujours essayer de contrôler plus sérieusement mais je ne vois pas l'intérêt. C'est la responsabilité des parents. A moins que l'on démontre qu'ils sont incapables d'élever leurs enfants et dans ce cas les gamins terminent à la DASS. Cette situation est déjà prévue par la loi.

Personnellement je doute de la dangerosité des réseaux sociaux. Ça me rappelle les accusations portées sur les jeux vidéos FPS. On les a accusés de tous les maux, ils rendaient les jeunes violents, les poussaient à l'acte. Il a fallu du temps pour qu'on se rende compte que c'était faux, voir que cela avait l'effet inverse.

En attendant les recommandations actuelles me paraissent tout à fait suffisantes. J'aurais même tendance à mettre la limite à 12 plutôt que 13.
1  0 
Avatar de totozor
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 16/02/2023 à 7:59
Citation Envoyé par smarties Voir le message
Tant que l'on est pas au Lycée, je pense que le gouvernement doit chercher à empêcher les enfants de se mettre dessus.
C'est assez symbolique mais les parents doivent aussi jouer leur rôle.
Comment empêcher? Demander une carte d'identité, on est parti pour du fichage plus important pour les enfants que les adultes.
Les parents doivent jouer leur rôle et le gouvernement le sien, et le gouvernement n'a rien à voir la dedans.
Citation Envoyé par smarties Voir le message
En cas de harcèlement, j'estime qu(il devrait y avoir des sanctions dissuasives, les idées qui me viennent à l'esprit sont :
Il y a deux problème avec le harcèlement:
La punition d'un gamin de 13 ans est vraiment la solution? (J'ai été harcelé gamin, la punition n'a servi à rien, les choses ont changé quand le CPE leur a fait miroiter ce qu'ils faisaient vivre aux autre. Oui, les harceleurs n'imaginent pas ce que vit leur bully)
On a jamais réussi à faire de la prévention efficace (je ne comprends pas comment envoyé des photos de soi à poil est devenu une pratique normale chez les ados). Prévention du harcèlement et de ses conséquences (suicides entre autres).
Citation Envoyé par smarties Voir le message
Au niveau des entreprises, j'estime que la publicité devrait être très restreinte sauf pour certains éléments précis (alimentation saine, activité physique ou culturelle, santé, ...). Entre parent et enfant, les produits mis en avant peuvent être source de conflits (smartphone, malbouffe, ...).
les éléments précis sont la porte ouverte aux dérives, donc pas d'exceptions, pas de pub pour les jeunes.
En plus ça rendra leur présence moins attractive pour le RS. Donc moins de chance qu'ils y aillent.
C'est vrai les enfants ont des pubs MacDo, les parents ont des pubs pour les sites de rencontres extra conjugaux
1  0 
Avatar de HaryRoseAndMac
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 16/02/2023 à 19:16
Heureusement que ces gens là n'étaient pas présent à notre époque.

Nous n'aurions jamais pu voir StarWars, Terminator, Alien, ... au cinéma.
Nous n'aurions jamais pu jouer aux jeux vidéo car ils auraient subis une censure et j'en passe.

C'est aux parent de faire ce rôle, pas à l'état.

L'état doit avoir un rôle de contrôle sur des éléments extrêmes, pas sur tout le reste.
1  0