Covid-19 : accord trouvé sur le pass sanitaire européen,
Il sera disponible sur smartphone, mais aussi en version papier
Le 2021-05-21 19:04:14, par Stan Adkens, Expert éminent sénior
La reprise des déplacements entre pays membres de l’Union européenne se précise. Les institutions européennes sont parvenues à un accord sur le futur pass sanitaire. Le document devrait être opérationnel d'ici le début du mois de juillet. Les Européens vaccinés, guéris du covid-19 ou testés négatifs pourront voyager au sein de l'UE sans quarantaine. Très attendu par les pays les plus dépendants du tourisme, ce certificat est destiné à fournir un cadre harmonisé pour faciliter les vacances des Européens cet été. Le statut covid du titulaire du certificat, qui sera disponible aux formats numérique et papier, sera prouvé par un code QR contenu dans le document.
Les négociateurs du Parlement européen et du Conseil sont parvenus à un accord, pour l’heure provisoire, sur le pass sanitaire en Europe. Le compromis est intervenu au terme d'une quatrième séance de négociations, menées à un rythme accéléré, sous la pression du calendrier.
« Nous avons abouti sur ce nouvel instrument en un temps record pour sauvegarder la libre circulation pour tous les citoyens », s'est félicité le commissaire européen Didier Reynders, en charge du dossier. « Ce sera un instrument pour rendre plus simple la libre circulation, mais aussi la levée de toutes les restrictions imposées par les États membres en raison du covid-19. Normalement, à partir du premier juillet nous pourrons commencer à utiliser ce certificat, sans aucune discrimination ». La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a souligné que ce « Certificat numérique européen covid » serait « un élément clé sur la voie d'une reprise des voyages de façon sûre et aisée à travers l'UE ».
Le pass sanitaire pourra être disponible sur smartphone, mais aussi en version papier. Ce certificat « sera disponible aux formats numérique et papier. Il attestera que son détenteur a été vacciné contre le coronavirus, ou qu’il a reçu récemment un test négatif, ou bien encore qu’il s’est remis de l’infection », prévient le communiqué de presse du Parlement.
L’accord a arrêté un délai pendant lequel le pass sera en vigueur dans l’Union. Selon le communiqué, « Le règlement relatif au certificat numérique européen covid devrait être en place pour une durée de douze mois. Le certificat ne sera pas un prérequis pour exercer son droit à la liberté de circulation et ne sera pas considéré comme un document de voyage ».
Les États membres pourront imposer des restrictions supplémentaires aux voyageurs « telles que la quarantaine, l’autoconfinement ou les tests », mais uniquement « si ces restrictions sont nécessaires et proportionnées dans le but de préserver la santé publique ». Tous les vingt sept membres « devront accepter les certificats de vaccination délivrés dans d’autres pays de l’UE à des personnes qui ont été inoculées par un vaccin ayant reçu l’autorisation d’être utilisé dans l’UE par l’Agence européenne des médicaments (actuellement Pfizer-BioNTech, Moderna, AstraZeneca et Janssen) », mais chaque État sera libre d'en accepter d'autres, comme le vaccin russe Spoutnik V ou celui du Chinois Sinopharm, utilisés en Hongrie.
Les eurodéputés réclamaient initialement la gratuité des tests, une mesure à laquelle les États membres étaient opposés. Le compromis trouvé souligne la nécessité de tests « abordables et accessibles ». La Commission s'est engagée à mobiliser 100 millions d'euros pour acheter des tests destinés à certaines catégories prioritaires, en recourant à un financement européen, "l'instrument d'aide d'urgence".
« L'idée est de faciliter l'accès d'abord à ceux qui traversent souvent la frontière, pour aller travailler, à l'école, voir leur famille, et puis on regardera les catégories qu'on peut aider, on pense aux enfants qui accompagnent leurs parents pour des voyages », a expliqué à l'AFP Didier Reynders. L'accès à des tests abordables « est important pour tous les Européens qui attendront encore d'être vaccinés dans les semaines et les mois à venir. Eux aussi doivent pouvoir voyager », a souligné le président du groupe Renew Europe, Dacian Ciolos.
Aucune donnée personnelle stockée dans une base de données centrale
Ce certificat sanitaire contiendra un code QR prouvant que son titulaire a été vacciné, qu'il a passé un test PCR ou antigénique rapide négatif ou qu'il est immunisé après avoir été infecté par le covid-19. Le certificat ne donnera pas de droit automatique aux personnes vaccinées avec des sérums non autorisés par l'Agence européenne du médicament, comme les vaccins chinois et russes utilisés en Hongrie. Dans ce cas, ce sera à l'État membre d'accepter ou non ces personnes sur son territoire.
Chaque pays pourra décider s'il autorise l'entrée aux voyageurs ayant reçu une seule dose. Concernant les personnes entièrement vaccinées, les pays membres auront l'interdiction de les refouler. « Il est très important de dire que c'est avec deux doses que l'on est complètement vacciné, insiste Didier Reynders. Sur le certificat, nous mettrons toutes les indications : quel type de dose, quand (...) Mais pour être sûr d'être accepté par un État membre, il faudra être complètement vacciné ».
Les États membres de l'UE pourront suspendre le système en cas de nouvelles épidémies ou de mutations. « Les États membres auront le droit exceptionnel d'imposer des restrictions unilatérales au cas où l'évolution épidémiologique l'exigerait, uniquement dans le cadre de règles européennes, souligne le député européen Juan Fernando López Aguilar. Ils seront tenus de les communiquer 48 heures en avance aux autres États membres et à la Commission européenne qui en informera le Parlement ». Le Parlement européen demandait au départ que les détenteurs de certificat ne puissent pas se voir imposer de mesures restrictives telles une quarantaine à leur arrivée dans un pays.
En ce qui concerne les données personnelles, « le certificat sera vérifié en vue de prévenir les fraudes et falsifications, tout comme l’authenticité des cachets électroniques inclus dans le document. Les données personnelles obtenues via les certificats ne pourront pas être stockées dans les États membres de destination », lit-on dans le communiqué du Parlement européen. Il n’y aura aucune base de données centrale.
L’accord mentionne également que « La liste des entités qui traiteront et recevront les données sera publique, de sorte que les citoyens puissent exercer leurs droits à la protection des données conformément au Règlement général sur la protection des données ». Le texte sera mis aux voix en Commission des libertés civiles le 26 mai, puis en plénière et au Conseil. « S’il est adopté en commission des libertés civiles, il sera soumis pour adoption lors de la première session plénière de juin, du 7 au 10 juin 2021 ». Ce qui permettra une entrée en vigueur du règlement le 1er juillet. Une période de six semaines de transition est toutefois prévue pour l'émission de certificats, afin de permettre aux pays d'adapter leur système.
Parallèlement aux négociations politiques, le système de certificat européen fera l'objet de tests techniques auprès des États pour vérifier son interopérabilité. À partir du 1er juin, les pays membres pourront commencer à se servir du système dans des conditions réelles s'ils sont prêts, selon la Commission. « Nous visons uniquement la libre circulation, mais les États membres peuvent décider d'utiliser le même certificat à d'autres fins, par exemple l'accès à des festivals, à des concerts, certains parlent des restaurants, pour cela il faudra une loi nationale », a précisé Didier Reynders. Il revient aussi aux États membres de décider s'ils intègrent ce certificat dans leur application de traçage nationale ou s'ils utilisent une application distincte.
Source : Communiqué de presse
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Les négociateurs du Parlement européen et du Conseil sont parvenus à un accord, pour l’heure provisoire, sur le pass sanitaire en Europe. Le compromis est intervenu au terme d'une quatrième séance de négociations, menées à un rythme accéléré, sous la pression du calendrier.
« Nous avons abouti sur ce nouvel instrument en un temps record pour sauvegarder la libre circulation pour tous les citoyens », s'est félicité le commissaire européen Didier Reynders, en charge du dossier. « Ce sera un instrument pour rendre plus simple la libre circulation, mais aussi la levée de toutes les restrictions imposées par les États membres en raison du covid-19. Normalement, à partir du premier juillet nous pourrons commencer à utiliser ce certificat, sans aucune discrimination ». La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a souligné que ce « Certificat numérique européen covid » serait « un élément clé sur la voie d'une reprise des voyages de façon sûre et aisée à travers l'UE ».
Le pass sanitaire pourra être disponible sur smartphone, mais aussi en version papier. Ce certificat « sera disponible aux formats numérique et papier. Il attestera que son détenteur a été vacciné contre le coronavirus, ou qu’il a reçu récemment un test négatif, ou bien encore qu’il s’est remis de l’infection », prévient le communiqué de presse du Parlement.
L’accord a arrêté un délai pendant lequel le pass sera en vigueur dans l’Union. Selon le communiqué, « Le règlement relatif au certificat numérique européen covid devrait être en place pour une durée de douze mois. Le certificat ne sera pas un prérequis pour exercer son droit à la liberté de circulation et ne sera pas considéré comme un document de voyage ».
Les États membres pourront imposer des restrictions supplémentaires aux voyageurs « telles que la quarantaine, l’autoconfinement ou les tests », mais uniquement « si ces restrictions sont nécessaires et proportionnées dans le but de préserver la santé publique ». Tous les vingt sept membres « devront accepter les certificats de vaccination délivrés dans d’autres pays de l’UE à des personnes qui ont été inoculées par un vaccin ayant reçu l’autorisation d’être utilisé dans l’UE par l’Agence européenne des médicaments (actuellement Pfizer-BioNTech, Moderna, AstraZeneca et Janssen) », mais chaque État sera libre d'en accepter d'autres, comme le vaccin russe Spoutnik V ou celui du Chinois Sinopharm, utilisés en Hongrie.
Les eurodéputés réclamaient initialement la gratuité des tests, une mesure à laquelle les États membres étaient opposés. Le compromis trouvé souligne la nécessité de tests « abordables et accessibles ». La Commission s'est engagée à mobiliser 100 millions d'euros pour acheter des tests destinés à certaines catégories prioritaires, en recourant à un financement européen, "l'instrument d'aide d'urgence".
« L'idée est de faciliter l'accès d'abord à ceux qui traversent souvent la frontière, pour aller travailler, à l'école, voir leur famille, et puis on regardera les catégories qu'on peut aider, on pense aux enfants qui accompagnent leurs parents pour des voyages », a expliqué à l'AFP Didier Reynders. L'accès à des tests abordables « est important pour tous les Européens qui attendront encore d'être vaccinés dans les semaines et les mois à venir. Eux aussi doivent pouvoir voyager », a souligné le président du groupe Renew Europe, Dacian Ciolos.
Aucune donnée personnelle stockée dans une base de données centrale
Ce certificat sanitaire contiendra un code QR prouvant que son titulaire a été vacciné, qu'il a passé un test PCR ou antigénique rapide négatif ou qu'il est immunisé après avoir été infecté par le covid-19. Le certificat ne donnera pas de droit automatique aux personnes vaccinées avec des sérums non autorisés par l'Agence européenne du médicament, comme les vaccins chinois et russes utilisés en Hongrie. Dans ce cas, ce sera à l'État membre d'accepter ou non ces personnes sur son territoire.
Chaque pays pourra décider s'il autorise l'entrée aux voyageurs ayant reçu une seule dose. Concernant les personnes entièrement vaccinées, les pays membres auront l'interdiction de les refouler. « Il est très important de dire que c'est avec deux doses que l'on est complètement vacciné, insiste Didier Reynders. Sur le certificat, nous mettrons toutes les indications : quel type de dose, quand (...) Mais pour être sûr d'être accepté par un État membre, il faudra être complètement vacciné ».
Les États membres de l'UE pourront suspendre le système en cas de nouvelles épidémies ou de mutations. « Les États membres auront le droit exceptionnel d'imposer des restrictions unilatérales au cas où l'évolution épidémiologique l'exigerait, uniquement dans le cadre de règles européennes, souligne le député européen Juan Fernando López Aguilar. Ils seront tenus de les communiquer 48 heures en avance aux autres États membres et à la Commission européenne qui en informera le Parlement ». Le Parlement européen demandait au départ que les détenteurs de certificat ne puissent pas se voir imposer de mesures restrictives telles une quarantaine à leur arrivée dans un pays.
En ce qui concerne les données personnelles, « le certificat sera vérifié en vue de prévenir les fraudes et falsifications, tout comme l’authenticité des cachets électroniques inclus dans le document. Les données personnelles obtenues via les certificats ne pourront pas être stockées dans les États membres de destination », lit-on dans le communiqué du Parlement européen. Il n’y aura aucune base de données centrale.
L’accord mentionne également que « La liste des entités qui traiteront et recevront les données sera publique, de sorte que les citoyens puissent exercer leurs droits à la protection des données conformément au Règlement général sur la protection des données ». Le texte sera mis aux voix en Commission des libertés civiles le 26 mai, puis en plénière et au Conseil. « S’il est adopté en commission des libertés civiles, il sera soumis pour adoption lors de la première session plénière de juin, du 7 au 10 juin 2021 ». Ce qui permettra une entrée en vigueur du règlement le 1er juillet. Une période de six semaines de transition est toutefois prévue pour l'émission de certificats, afin de permettre aux pays d'adapter leur système.
Parallèlement aux négociations politiques, le système de certificat européen fera l'objet de tests techniques auprès des États pour vérifier son interopérabilité. À partir du 1er juin, les pays membres pourront commencer à se servir du système dans des conditions réelles s'ils sont prêts, selon la Commission. « Nous visons uniquement la libre circulation, mais les États membres peuvent décider d'utiliser le même certificat à d'autres fins, par exemple l'accès à des festivals, à des concerts, certains parlent des restaurants, pour cela il faudra une loi nationale », a précisé Didier Reynders. Il revient aussi aux États membres de décider s'ils intègrent ce certificat dans leur application de traçage nationale ou s'ils utilisent une application distincte.
Source : Communiqué de presse
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kain_tnExpert éminentDis-donc, ils ne vont pas se calmer sur les mesures totalitaires? Déjà qu'ils ne sont pas élus...
On connaît la musique: "ce n'est pas obligatoire ma bonne dame". "Non non, les guichets physiques vont continuer". "Non, le smartphone est optionnel". Et d'année en année une fois qu'il y a des usagers on vire tout le reste. Toujours les mêmes marchands de salades.
Ben voilà. Sous la carte du "plus sûr" (ce qui est complètement faux puisque l'on augmente la surface d'attaque/surface d'exposition des données personnelles), on cherche en fait à nous vendre toujours plus, plus plus plus. Jusqu'à l'indigestion
Woaou. Louer une voiture sans faire la queue une fois par an?! Mais c'est un SUPER avantage! Vite, prenez TOUTES mes données personnelles et installez-moi une puce dans le cou!
Ben tiens, il ne manquerait plus que ça. Tu veux aller au café du coin? Il te faut une application non obligatoire voyons!
Ben tiens. M'est avis que ça ne doit pas être sans but lucratif pour tout le monde... Si les gars se ruent là dessus c'est parce qu'il y a des sponsors et des gros sous.
Il y a 20 ans, les attentats du World Trade Center ont servi à imposer la mise en place de passeports biométrique. Là on nous en ressert une louche par dessus, pour des raisons tout aussi bidon.
Et donc on doit les croire sur parole? Et ensuite quoi? Ils changent les CGU de l'application? Ils revendent le reste des données? Ils continuent de les héberger directement dans les clouds des GAFAM??
Je crois que c'est assez évident. À bas le flicage généralisé!
Certainement pas.
Sécurité pour qui? Sérieusement les gens, plutôt que d'accepter des trucs pareil, allez plutôt en vacances dans une autre région cet été. Les commerces locaux en ont besoin, et si tout le monde ne se rue pas dans les aéroports, peut-être qu'ils se remettront un peu en question...le 01/06/2021 à 21:04 -
pierre++Membre actifJe suis d'accord que toute comparaison en terme de santé est difficile, comme entre par exemple Paris et la campagne de la Creuse aussi où la densité de population n'est pas top. Et pourtant ce sont les mêmes contraintes qui ont été imposées partout en France sans tenir compte de cette diversité.
Quand aux pays scandinaves, justement je suis au Danemark, à AArhus et je crois qu'il faut tordre le cou aux idées préconçus. J'ai été surpris de constater que ce n'est pas réellement le cas, dans plein de petits détails. Mais la grande différence, c'est que les Danois font et ont raison de faire confiance en leur gouvernement, pour la bonne raison que tout comme en Suède, ils ont un droit de contrôle dessus, ce qui n'est pas le cas dans le reste de l'Europe. Le résultat est que le niveau de corruption est très bas (voir chiffre de transparency international).
Maintenant je dois dire que je n'ai pas analysé pourquoi il y a eu tant de différence de mortalité entre le Danemark et la Suède, mais je sais qu'en Suède par un ami médecin Suédois que son pays avait comme la France "confiné" les maisons de retraites et que cela a fait une hécatombe chez eux. Quels sont les changements dans les courbes de décès et du changement de l'espérance de vie dans ces pays?
En dehors de ça les Suédois ont conservé leur économie entière par rapport à la France qui s'est endetté de combien de milliards???
Et surtout ils ont continué à vivre sans être traumatisés par des campagnes de "terrorisations" de la population qui a transformé en France chaque personne bien portante comme suspecte
L'Angleterre commence a avouer avoir sciemment utilisé la peur, le pouvoir Français a fait de même et a même menti pour faire croire aux gens qu'en se faisant vacciner ils allaient retrouver leur liberté
C'est ça qui est inadmissible dans un pays démocratique.le 30/05/2021 à 0:12 -
zero_divideMembre à l'essaile 23/06/2021 à 14:42
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UtherExpert éminent séniorC'est absolument pas rare, c'est un problème qui m'est arrivé plein de fois de devoir gérer et c'est une plaie. Et c'était a assez petite échelle, alors a l'échelle nationale ou européene, ...
Il faut voir que dans certains pays, on a peu d’originalité dans le choix des noms. Certains couples nom/prénom sont tellement courants dans certaines communautés ethniques que la date de naissance et même le lieu de naissance ne suffit même pas toujours.
Par exemple si on apprend qu'une série de vaccins est défectueuse ou qu'un type de vaccin n'est plus efficace contre un nouveau variant.le 23/06/2021 à 16:24 -
Jiji66Membre éprouvéMoi je pensais être sur un forum d'informatique où parler de technique était une chose centrale.
Il se trouve que si les sujets sont autour du pass sanitaire ou du bitcoin; les discussions tournent autour de tout, sauf de la réalité technique du fonctionnement de ces nouveaux outils.
C'est bien dommage.le 05/07/2021 à 8:23 -
el_slapperExpert éminent séniorDisons que les gens ne comparent pas les solutions entre elles, mais les solutions par rapport à un idéal (qui n'existe pas, cette saloperie est là, et va rester encore un peu). Comparé à ne rien faire, oui, c'est très attractif, mais ce n'est pas ça que voient les gens.
Le souci, c'est qu'un vaccin offre une immunité collective par effet de seuil. Si on est en dessous du seuil de vaccination, alors le virus continue à se balader facilement. Dès qu'on est au dessus, pooof, ça s'arrête. donc c'est utile de se faire vacciner même si on est pas une cible : on participe à l'effort collectif pour passer au delà du seuil. Autre souci, spécifique au CIVOD, celui-ci, c'est que les nouveaux variants, en particulier le delta, sont plus contagieux que les précédents, et que le seuil en question monte dont au fur et à mesure que le temps passe. Non seulement il faut tous se faire vacciner, mais il faut le faire vite.
(mais évidemment, si je dis ça, ça sera sorti de se contexte par des antivax primaires qui diront "ils veulent nous faire peur!!!". Non, c'est le virus qui me fait peur, surtout quand je vois les séquelles de nombreux survivants, Jean-Kevin Augustin en tête)Le 6 octobre 2020, (.../...)il s'engage pour deux saisons avec le FC Nantes. Arrivé sans condition physique,(.../...)
Le 4 mars 2021, à la suite d'examens médicaux poussés, le club annonce que le mauvais état physique du joueur depuis son arrivée est dû au syndrome du Covid long, séquelles à long terme engendrées par la Covid-1921. Le club explique que « le joueur va à présent poursuivre un protocole médical strict, adapté à son état de santé actuel, nécessaire au recouvrement de la totalité de ses moyens et de sa forme physique ».le 07/07/2021 à 16:32 -
super_navideNouveau Candidat au Clubça fait gerber ce genre de truc , on l'impression que les gouvernements font des tests pour voir ce que les gens sont capable d'accepter.
Pour le covid il y a une question fondamental et que les médias n'explore pas trop car ça pourrait avoir de conséquence très importante ;
Pourquoi les enfants ne font quasiment jamais de forme grave , pourtant ils sont les premiers à choper plein de virus.
La réponse est que c'est pas le covid qui tue mais une réponse du system immunitaire disproportionné qui provoque une grave inflammation puis la réanimation puis la mort.
Et la réponse de cette réaction est simple : le mode de vie des gens.
La sédentarité , l'alcool , le tabac , manger trop gras trop sucré trop salé , boire du red bull tous ses comportements bousille la santé mais rapporte bcp d'argent, exemple macdo le seul resto qui a profiter
Mais le plus important c'est pas sur le plan physique a la rigueur , mais sur le plan mental car ça rend les gens dépendant , stupide et plus facile a manipuler.
Donc la réponse c'est évidente mieux vaut vacciner les gens que de les inciter à changer leurs mode de viele 23/05/2021 à 12:19 -
kain_tnExpert éminentPardon par avance mais quand je lis cet article, je pense à ça
https://ibb.co/2jbMjqG
Totalement inutile. En fait on dirait un service marketing qui essaye de trouver des idées d'utilisation de leur application à la c.., histoire d'avoir un peu d'adoption... Et de siphonner tranquillement les données des gens!
Non. Pour quelle raison est-ce que je ferai un truc comme ça? Ils ont déjà assez de données sur ce que j'achète depuis mes cartes bancaires... Et les services de paiement en ligne sont bien plus sécurisés que ces cochonneries (pas d'app à installer, pas de smartphone, etc).le 03/06/2021 à 16:26 -
kain_tnExpert éminentÇa fait belle lurette que l'Europe ne sert plus que les gros lobbies et pas le public. On parle de charlots qui font passer des accords commerciaux avec l’Ouzbékistan par exemple (qui exploite le travail forcé - des civils, hein, pas des prisonniers), qui permet aux grandes marques de continuer de vendre leurs bouteilles en plastique partout, qui font passer des accords scandaleux pour permettre la pêche intensive, des gens corrompus et qui voient les êtres humains comme des bêtes corvéables à merci, pourvu qu'eux et leurs petits copains continuent de s'enrichir.
Alors franchement, venant de ces escrocs, plus rien ne peut m'étonner. Nos droits, ils s'en cognent. Notre vie privée, ils n'en veulent pas, pourvu qu'ils fassent de l'argent dessus, et notre sécurité c'est le dernier de leurs soucis.
546 votes pour et 51 abstentions! 546 escrocs et 51 personnes trop lâches pour assumer leur position...
À part les testés négatifs, tous les autres peuvent encore être contagieux et donc disséminer le virus, pourtant ils affichent que le but du passe est de ne pas être en quarantaine. Quelle blague! Le pire c'est que certains doivent voir que c'est une escroquerie puisqu'ils disent "sans forcément être soumis à une quarantaine" - c'est à dire qu'il y aura quand même des quarantaines dans certains pays, malgré leur passe.
Ah bon? Pourtant on en revient à avant l'Europe: le contrôle et le passage des douanes avec un nouveau document d'identité. Il appelle ça la "libre circulation, lui?"
Quand je lis ça, je ne peux pas m'empêcher de penser qu'ils vont faire ch... tous ceux qui ne sont pas vaccinés en fait, en leur imposant des restrictions supplémentaires.
Je mettrai bien une photo pour exprimer ce que je ressens mais ça risque d'être vraiment grossier...
Nos "maîtres" s'en foutent. Vous voyez bien que quoi que l'on dise, quoi que l'on remonte, quelle que soit l'institution publique, ils s'en moquent ouvertement. À ce niveau là, Ce qui les intéresse ce sont les risques de fraude. Et ils s'y connaissent en fraude, ces escrocs.le 11/06/2021 à 22:32 -
sevyc64ModérateurLe pass covid ne dispense pas des autres vaccins obligatoires suivant les pays, pour voyager (à ma connaissance les vaccins pour les maladies citées ne sont pas obligatoire, même avant la pandémie).
Par contre, partir à l'étranger pour ses vacances, est quand même, peut-être, un luxe dont on peut raisonnablement se passer, tout au moins cet été ou la pandémie est loin d'être terminée dans nombre de pays.
La prudence et la raison sont quand même des armes bien plus puissantes.le 12/06/2021 à 14:21