Covid-19 : un « certificat sanitaire » européen, en version électronique ou papier, disponible dès le 15 juin,
A annoncé Thierry Breton
Le 2021-03-31 17:30:48, par Stan Adkens, Expert éminent sénior
Sortir son smartphone au moment de l’embarquement, pour montrer son passeport vaccinal ou test-PCR, voilà un geste qui préfigure, peut-être, le monde d’après. Alors que l'Europe, en proie à la troisième vague du coronavirus, impose des restrictions de déplacement, la Commission européenne a dévoilé un projet de « certificat sanitaire » qui devrait être mis en place dans l’UE le 15 juin 2021. Dimanche sur le plateau du "Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI", Thierry Breton a en effet présenté les contours du futur laissez-passer, qui sera disponible en version électronique ou papier et qui est censé faciliter le retour à la vie normale des citoyens de l'UE.
Invité à l'émission du "Grand Rendez-vous" d'Europe 1, Thierry Breton, commissaire européen en charge des vaccins, avait annoncé que les autorités européennes souhaitaient lancer ce certificat sanitaire, aussi appelé passeport vert, avant les vacances d'été. Lors de l’émission le Grand Jury du 28 mars, il en a dit un peu plus sur ce futur « certificat sanitaire européen ».
Après un temps d'adaptation, la production industrielle de vaccins semble désormais rodée. Le commissaire européen a en tout cas affirmé avec « certitude » que « 360 millions de doses » seraient livrées à l'Europe à la fin du troisième trimestre, ainsi que 420 millions à la mi-juillet. Des quantités « nécessaires pour commencer à parler de cette immunité collective », a déclaré Thierry Breton. En France, 3 millions de doses devraient aussi arriver dès la semaine prochaine.
« Il va falloir passer à l'accélération », a ainsi enjoint Thierry Breton, affirmant que c'est « aux États membres de s'organiser et d'accélérer » la campagne vaccinale. « Ils ont 420 millions de doses à administrer en trois mois et demi », a-t-il précisé. Et si les États décident d'étendre la vaccination aux enfants ou de désigner les enseignants comme public prioritaire, le commissaire européen l'assure, l'Europe aura « la capacité et la plateforme quand il faudra le faire ».
Cet accroissement industriel sera accompagné de nouveau dispositif, le certificat sanitaire. Prévu pour être mis en place le 15 juin et harmonisé au niveau européen, ce certificat sera disponible aussi bien sous format papier que numérique sur le site des ministères de la Santé de chaque pays de l'Union européenne.
« À partir du moment où nous pourrons être sûrs que chaque Européen qui souhaite se faire vacciner aura un accès équitable au vaccin, comme ce sera le cas dans les deux à trois mois qui viennent, il sera bon que l'on puisse avoir un certificat sanitaire qui démontre votre état », a-t-il ainsi indiqué lors du Grand Jury.
Concrètement, ce passeport sanitaire européen non obligatoire, précise Thierry Breton, contiendra plusieurs informations personnelles, dont un code QR qui permettra de fournir aux autorités les informations sur l'état de santé de son titulaire. « On y trouvera votre nom, votre date de naissance, le numéro de votre passeport certifié avec le QR Code, le fait que vous ayez été vacciné ou non, et si vous avez été vacciné, le type de vaccin que vous avez eu, et si vous avez des anticorps », a précisé le commissaire européen.
« Pour ceux qui n'auront eu ni le vaccin ni la maladie et pour lesquels on demandera un test PCR, on trouvera l'état de votre test PCR ». La vocation du certificat sanitaire sera de faciliter la circulation des populations dans l'UE. S’il est non obligatoire, ce certificat pourra tout de même être demandé « pour voyager, prendre un avion, participer à une « manifestation importante » ou encore entrer dans un lieu public », selon un Q&A publié par la Commission européenne plus tôt en mars.
Version numérique du « certificat sanitaire »
Les certificats sanitaires seront délivrés dans un format numérique, de sorte qu'ils puissent être affichés sur un smartphone ou imprimés sur papier, selon la préférence de leur titulaire, d’après la Commission européenne. Le code QR sera interopérable lisible par machine et contenant les principales données nécessaires ainsi qu'une signature numérique. Lors de la vérification du certificat, le code QR est scanné et la signature vérifiée. La signature numérique vise à protéger le code QR contre la falsification.
Selon la Commission, chaque organisme de délivrance (hôpital, centre de test, autorité sanitaire) dispose de sa propre clé de signature numérique. Toutes ces données sont stockées dans une base de données sécurisée dans chaque pays. La Commission européenne établira un portail numérique qui permettra de vérifier toutes les signatures des certificats dans l'ensemble de l'UE. Les données à caractère personnel du titulaire du certificat ne sont pas transmises au portail, étant donné qu'elles ne sont pas nécessaires pour vérifier la signature numérique.
La Commission européenne fournira également des solutions de référence à code source libre afin d'aider les États membres à mettre au point des logiciels pouvant être utilisés par les autorités pour scanner et vérifier les codes QR, a répondu la Commission dans son Q&A. Les États membres devraient délivrer des certificats de vaccination, quel que soit le type de vaccin contre la covid-19.
L'interopérabilité sera obtenue en s'assurant que les différents types de certificats sanitaires numériques (statut vaccinal, résultats des tests, statut en matière de rétablissement) sont normalisés au regard des politiques, des règles et des spécifications arrêtées d'un commun accord. En pratique, cela signifie que tout certificat délivré dans un État membre peut être vérifié dans un autre État membre. Les États membres ont carte blanche pour concevoir leurs certificats, du moment qu'ils respectent ces normes communes. Le portail numérique mis en place permettra également aux autorités nationales d'échanger des signatures de certificats, afin qu'elles puissent être vérifiées dans toute l'UE.
En ce qui concerne la confidentialité des données à caractère personnel contenues dans les certificats comme des données médicales sensibles, il conviendra de garantir un niveau de protection des données particulièrement élevé. Mme Vĕra Jourová, vice-présidente chargée des valeurs et de la transparence, a déclaré à ce propos :
« Le certificat vert numérique propose une solution à l'échelle de l'Union pour garantir que les citoyens européens bénéficient d'un outil numérique harmonisé permettant de soutenir la libre circulation dans l'UE. Il s'agit d'un message positif à l'appui de la relance. Nos objectifs clés consistent à proposer un outil facile d'utilisation, non discriminatoire et sécurisé qui respecte pleinement la protection des données ».
La Commission s'emploie également à faire en sorte que les certificats soient compatibles avec les systèmes de pays tiers, en dehors de l’Union. Selon la Commission, la proposition est ouverte aux initiatives mondiales et tient compte des efforts déployés actuellement par des agences spécialisées des Nations unies, telles que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI), en vue d'établir des spécifications et des orientations pour l'utilisation des technologies numériques afin d'attester le statut vaccinal.
Source : Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI
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Invité à l'émission du "Grand Rendez-vous" d'Europe 1, Thierry Breton, commissaire européen en charge des vaccins, avait annoncé que les autorités européennes souhaitaient lancer ce certificat sanitaire, aussi appelé passeport vert, avant les vacances d'été. Lors de l’émission le Grand Jury du 28 mars, il en a dit un peu plus sur ce futur « certificat sanitaire européen ».
Après un temps d'adaptation, la production industrielle de vaccins semble désormais rodée. Le commissaire européen a en tout cas affirmé avec « certitude » que « 360 millions de doses » seraient livrées à l'Europe à la fin du troisième trimestre, ainsi que 420 millions à la mi-juillet. Des quantités « nécessaires pour commencer à parler de cette immunité collective », a déclaré Thierry Breton. En France, 3 millions de doses devraient aussi arriver dès la semaine prochaine.
« Il va falloir passer à l'accélération », a ainsi enjoint Thierry Breton, affirmant que c'est « aux États membres de s'organiser et d'accélérer » la campagne vaccinale. « Ils ont 420 millions de doses à administrer en trois mois et demi », a-t-il précisé. Et si les États décident d'étendre la vaccination aux enfants ou de désigner les enseignants comme public prioritaire, le commissaire européen l'assure, l'Europe aura « la capacité et la plateforme quand il faudra le faire ».
Cet accroissement industriel sera accompagné de nouveau dispositif, le certificat sanitaire. Prévu pour être mis en place le 15 juin et harmonisé au niveau européen, ce certificat sera disponible aussi bien sous format papier que numérique sur le site des ministères de la Santé de chaque pays de l'Union européenne.
« À partir du moment où nous pourrons être sûrs que chaque Européen qui souhaite se faire vacciner aura un accès équitable au vaccin, comme ce sera le cas dans les deux à trois mois qui viennent, il sera bon que l'on puisse avoir un certificat sanitaire qui démontre votre état », a-t-il ainsi indiqué lors du Grand Jury.
Concrètement, ce passeport sanitaire européen non obligatoire, précise Thierry Breton, contiendra plusieurs informations personnelles, dont un code QR qui permettra de fournir aux autorités les informations sur l'état de santé de son titulaire. « On y trouvera votre nom, votre date de naissance, le numéro de votre passeport certifié avec le QR Code, le fait que vous ayez été vacciné ou non, et si vous avez été vacciné, le type de vaccin que vous avez eu, et si vous avez des anticorps », a précisé le commissaire européen.
« Pour ceux qui n'auront eu ni le vaccin ni la maladie et pour lesquels on demandera un test PCR, on trouvera l'état de votre test PCR ». La vocation du certificat sanitaire sera de faciliter la circulation des populations dans l'UE. S’il est non obligatoire, ce certificat pourra tout de même être demandé « pour voyager, prendre un avion, participer à une « manifestation importante » ou encore entrer dans un lieu public », selon un Q&A publié par la Commission européenne plus tôt en mars.
Version numérique du « certificat sanitaire »
Les certificats sanitaires seront délivrés dans un format numérique, de sorte qu'ils puissent être affichés sur un smartphone ou imprimés sur papier, selon la préférence de leur titulaire, d’après la Commission européenne. Le code QR sera interopérable lisible par machine et contenant les principales données nécessaires ainsi qu'une signature numérique. Lors de la vérification du certificat, le code QR est scanné et la signature vérifiée. La signature numérique vise à protéger le code QR contre la falsification.
Selon la Commission, chaque organisme de délivrance (hôpital, centre de test, autorité sanitaire) dispose de sa propre clé de signature numérique. Toutes ces données sont stockées dans une base de données sécurisée dans chaque pays. La Commission européenne établira un portail numérique qui permettra de vérifier toutes les signatures des certificats dans l'ensemble de l'UE. Les données à caractère personnel du titulaire du certificat ne sont pas transmises au portail, étant donné qu'elles ne sont pas nécessaires pour vérifier la signature numérique.
La Commission européenne fournira également des solutions de référence à code source libre afin d'aider les États membres à mettre au point des logiciels pouvant être utilisés par les autorités pour scanner et vérifier les codes QR, a répondu la Commission dans son Q&A. Les États membres devraient délivrer des certificats de vaccination, quel que soit le type de vaccin contre la covid-19.
L'interopérabilité sera obtenue en s'assurant que les différents types de certificats sanitaires numériques (statut vaccinal, résultats des tests, statut en matière de rétablissement) sont normalisés au regard des politiques, des règles et des spécifications arrêtées d'un commun accord. En pratique, cela signifie que tout certificat délivré dans un État membre peut être vérifié dans un autre État membre. Les États membres ont carte blanche pour concevoir leurs certificats, du moment qu'ils respectent ces normes communes. Le portail numérique mis en place permettra également aux autorités nationales d'échanger des signatures de certificats, afin qu'elles puissent être vérifiées dans toute l'UE.
En ce qui concerne la confidentialité des données à caractère personnel contenues dans les certificats comme des données médicales sensibles, il conviendra de garantir un niveau de protection des données particulièrement élevé. Mme Vĕra Jourová, vice-présidente chargée des valeurs et de la transparence, a déclaré à ce propos :
« Le certificat vert numérique propose une solution à l'échelle de l'Union pour garantir que les citoyens européens bénéficient d'un outil numérique harmonisé permettant de soutenir la libre circulation dans l'UE. Il s'agit d'un message positif à l'appui de la relance. Nos objectifs clés consistent à proposer un outil facile d'utilisation, non discriminatoire et sécurisé qui respecte pleinement la protection des données ».
La Commission s'emploie également à faire en sorte que les certificats soient compatibles avec les systèmes de pays tiers, en dehors de l’Union. Selon la Commission, la proposition est ouverte aux initiatives mondiales et tient compte des efforts déployés actuellement par des agences spécialisées des Nations unies, telles que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI), en vue d'établir des spécifications et des orientations pour l'utilisation des technologies numériques afin d'attester le statut vaccinal.
Source : Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI
Et vous ?
Voir aussi :
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kain_tnExpert éminentDis-donc, ils ne vont pas se calmer sur les mesures totalitaires? Déjà qu'ils ne sont pas élus...
On connaît la musique: "ce n'est pas obligatoire ma bonne dame". "Non non, les guichets physiques vont continuer". "Non, le smartphone est optionnel". Et d'année en année une fois qu'il y a des usagers on vire tout le reste. Toujours les mêmes marchands de salades.
Ben voilà. Sous la carte du "plus sûr" (ce qui est complètement faux puisque l'on augmente la surface d'attaque/surface d'exposition des données personnelles), on cherche en fait à nous vendre toujours plus, plus plus plus. Jusqu'à l'indigestion
Woaou. Louer une voiture sans faire la queue une fois par an?! Mais c'est un SUPER avantage! Vite, prenez TOUTES mes données personnelles et installez-moi une puce dans le cou!
Ben tiens, il ne manquerait plus que ça. Tu veux aller au café du coin? Il te faut une application non obligatoire voyons!
Ben tiens. M'est avis que ça ne doit pas être sans but lucratif pour tout le monde... Si les gars se ruent là dessus c'est parce qu'il y a des sponsors et des gros sous.
Il y a 20 ans, les attentats du World Trade Center ont servi à imposer la mise en place de passeports biométrique. Là on nous en ressert une louche par dessus, pour des raisons tout aussi bidon.
Et donc on doit les croire sur parole? Et ensuite quoi? Ils changent les CGU de l'application? Ils revendent le reste des données? Ils continuent de les héberger directement dans les clouds des GAFAM??
Je crois que c'est assez évident. À bas le flicage généralisé!
Certainement pas.
Sécurité pour qui? Sérieusement les gens, plutôt que d'accepter des trucs pareil, allez plutôt en vacances dans une autre région cet été. Les commerces locaux en ont besoin, et si tout le monde ne se rue pas dans les aéroports, peut-être qu'ils se remettront un peu en question...le 01/06/2021 à 21:04 -
Se7h22Membre confirméPerso, je ne comprend pas pourquoi il faudrait rendre obligatoire la vaccination via un certificat, car même en étant vacciné on peut être porteur du virus…le 01/04/2021 à 2:08
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Cpt AndersonMembre émériteDans quel horrible monde nous nous apprêtons à basculer ! Ça fait peur ! Même les pires complotistes n'avaient pas prévu un truc pareil et si vite ! Et c'est pas fini : nous ne sommes pas encore au bout de la route vers le chaos total, mais en très bonne voie, c'est certain. Ce monde de merde que nous allons léguer à nos enfants.le 31/03/2021 à 17:58
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TintwoMembre du ClubLe pire c'est que c'était prévu depuis quelques temps déjà (voir https://ec.europa.eu/health/sites/health/files/vaccination/docs/2019-2022_roadmap_en.pdf) et ce de manière publique (mais non criée sur les toits bien évidemment). Déduisez-en ce que vous voulez.
Par contre ce qui m'inquiète (hors politique et société), ce sont plutôt les problèmes relatifs aux données et à leur sécurité, en même temps que tous les abus possibles et imaginables de la part d'intermédiaires techniques.le 31/03/2021 à 18:11 -
pierre++Membre actifJe suis d'accord que toute comparaison en terme de santé est difficile, comme entre par exemple Paris et la campagne de la Creuse aussi où la densité de population n'est pas top. Et pourtant ce sont les mêmes contraintes qui ont été imposées partout en France sans tenir compte de cette diversité.
Quand aux pays scandinaves, justement je suis au Danemark, à AArhus et je crois qu'il faut tordre le cou aux idées préconçus. J'ai été surpris de constater que ce n'est pas réellement le cas, dans plein de petits détails. Mais la grande différence, c'est que les Danois font et ont raison de faire confiance en leur gouvernement, pour la bonne raison que tout comme en Suède, ils ont un droit de contrôle dessus, ce qui n'est pas le cas dans le reste de l'Europe. Le résultat est que le niveau de corruption est très bas (voir chiffre de transparency international).
Maintenant je dois dire que je n'ai pas analysé pourquoi il y a eu tant de différence de mortalité entre le Danemark et la Suède, mais je sais qu'en Suède par un ami médecin Suédois que son pays avait comme la France "confiné" les maisons de retraites et que cela a fait une hécatombe chez eux. Quels sont les changements dans les courbes de décès et du changement de l'espérance de vie dans ces pays?
En dehors de ça les Suédois ont conservé leur économie entière par rapport à la France qui s'est endetté de combien de milliards???
Et surtout ils ont continué à vivre sans être traumatisés par des campagnes de "terrorisations" de la population qui a transformé en France chaque personne bien portante comme suspecte
L'Angleterre commence a avouer avoir sciemment utilisé la peur, le pouvoir Français a fait de même et a même menti pour faire croire aux gens qu'en se faisant vacciner ils allaient retrouver leur liberté
C'est ça qui est inadmissible dans un pays démocratique.le 30/05/2021 à 0:12 -
zero_divideMembre à l'essaile 23/06/2021 à 14:42
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UtherExpert éminent séniorC'est absolument pas rare, c'est un problème qui m'est arrivé plein de fois de devoir gérer et c'est une plaie. Et c'était a assez petite échelle, alors a l'échelle nationale ou européene, ...
Il faut voir que dans certains pays, on a peu d’originalité dans le choix des noms. Certains couples nom/prénom sont tellement courants dans certaines communautés ethniques que la date de naissance et même le lieu de naissance ne suffit même pas toujours.
Par exemple si on apprend qu'une série de vaccins est défectueuse ou qu'un type de vaccin n'est plus efficace contre un nouveau variant.le 23/06/2021 à 16:24 -
Jiji66Membre éprouvéMoi je pensais être sur un forum d'informatique où parler de technique était une chose centrale.
Il se trouve que si les sujets sont autour du pass sanitaire ou du bitcoin; les discussions tournent autour de tout, sauf de la réalité technique du fonctionnement de ces nouveaux outils.
C'est bien dommage.le 05/07/2021 à 8:23 -
el_slapperExpert éminent séniorDisons que les gens ne comparent pas les solutions entre elles, mais les solutions par rapport à un idéal (qui n'existe pas, cette saloperie est là, et va rester encore un peu). Comparé à ne rien faire, oui, c'est très attractif, mais ce n'est pas ça que voient les gens.
Le souci, c'est qu'un vaccin offre une immunité collective par effet de seuil. Si on est en dessous du seuil de vaccination, alors le virus continue à se balader facilement. Dès qu'on est au dessus, pooof, ça s'arrête. donc c'est utile de se faire vacciner même si on est pas une cible : on participe à l'effort collectif pour passer au delà du seuil. Autre souci, spécifique au CIVOD, celui-ci, c'est que les nouveaux variants, en particulier le delta, sont plus contagieux que les précédents, et que le seuil en question monte dont au fur et à mesure que le temps passe. Non seulement il faut tous se faire vacciner, mais il faut le faire vite.
(mais évidemment, si je dis ça, ça sera sorti de se contexte par des antivax primaires qui diront "ils veulent nous faire peur!!!". Non, c'est le virus qui me fait peur, surtout quand je vois les séquelles de nombreux survivants, Jean-Kevin Augustin en tête)Le 6 octobre 2020, (.../...)il s'engage pour deux saisons avec le FC Nantes. Arrivé sans condition physique,(.../...)
Le 4 mars 2021, à la suite d'examens médicaux poussés, le club annonce que le mauvais état physique du joueur depuis son arrivée est dû au syndrome du Covid long, séquelles à long terme engendrées par la Covid-1921. Le club explique que « le joueur va à présent poursuivre un protocole médical strict, adapté à son état de santé actuel, nécessaire au recouvrement de la totalité de ses moyens et de sa forme physique ».le 07/07/2021 à 16:32 -
kain_tnExpert éminentOui, ou juste l'incompétence. Par exemple en Suisse, le site mesvaccins.ch qui se targuait d'être une implémentation du "passeport vaccinal" est en maintenance depuis 2 semaines suite à des fuites de données hallucinantes: en gros, n'importe qui ou presque pouvait avoir accès aux données présentes et même les modifier
On ouvre les paris sur les prochains pays à connaître la même blague?le 01/04/2021 à 10:57