IdentifiantMot de passe
Loading...
Mot de passe oublié ?Je m'inscris ! (gratuit)

Vous êtes nouveau sur Developpez.com ? Créez votre compte ou connectez-vous afin de pouvoir participer !

Vous devez avoir un compte Developpez.com et être connecté pour pouvoir participer aux discussions.

Vous n'avez pas encore de compte Developpez.com ? Créez-en un en quelques instants, c'est entièrement gratuit !

Si vous disposez déjà d'un compte et qu'il est bien activé, connectez-vous à l'aide du formulaire ci-dessous.

Identifiez-vous
Identifiant
Mot de passe
Mot de passe oublié ?
Créer un compte

L'inscription est gratuite et ne vous prendra que quelques instants !

Je m'inscris !

USA : Facebook est un monopole de réseau social qui achète, copie ou élimine les concurrents,
Selon la Commission antitrust de la Chambre des représentants

Le , par Stan Adkens

560PARTAGES

8  0 
Depuis 2019, Facebook a fait l’objet d’examen aux États-Unis, pour de potentielles violations de la législation antitrust, par différents niveaux du gouvernement, y compris 47 procureurs généraux des États, le Département de la Justice (DOJ) et le Congrès américain. Plus d'un an plus tard, mardi, la sous-commission judiciaire sur les lois antitrust de la Chambre des États-Unis a publié son rapport. Le panel a constaté que Facebook exerce des pouvoirs monopolistiques dans le réseau social et a maintenu sa position en acquérant, copiant ou éliminant ses concurrents.

Le rapport du personnel de la majorité démocrate, qui traite également des préoccupations antitrust concernant Amazon, Apple, Google d’Alphabet, recommande que le Congrès examine une série de recours potentiels. Cela inclut la « séparation structurelle », qui pourrait obliger les entreprises à scinder des parties de leurs activités. Par exemple, Facebook pourrait être contraint de céder ou de séparer opérationnellement le service de partage de photos Instagram et l'application de messagerie WhatsApp, tous deux acquis par l'entreprise.


Le rapport recommande également que le Congrès considère toute acquisition par les grandes entreprises technologiques comme anticoncurrentielle, à moins que les entreprises puissent prouver que la fusion serait dans l'intérêt du public et ne pourrait pas être réalisée autrement.

En ce qui concerne spécifiquement Facebook, le rapport conclut que « le pouvoir monopolistique de Facebook est fermement ancré et ne risque pas d'être érodé par la pression concurrentielle de nouveaux entrants ou d'entreprises existantes ». Selon le comité antitrust, Facebook est solidement ancré en tant que monopole en raison de ses effets de réseau importants, des coûts de changement de fournisseur élevés pour les utilisateurs et de l'avantage significatif de l'entreprise en matière de données.

En particulier, le rapport note que Facebook renforce son monopole en identifiant les concurrents qui pourraient représenter une menace pour l'entreprise et en les acquérant, en les copiant ou en les éliminant. Un exemple de cela présenté par le rapport est un échange de 2012 entre Zuckerberg et son directeur financier de l'époque concernant l'acquisition d'Instagram pour un milliard de dollars.

« Une façon de voir les choses est que ce que nous achetons réellement, c'est du temps », a déclaré Zuckerberg à l’époque, selon le rapport. « Même si de nouveaux concurrents apparaissent, le fait d'acheter Instagram maintenant nous donnera un an ou plus pour intégrer leur dynamique avant que quelqu'un ne puisse se rapprocher de leur taille.

Par ailleurs, selon le rapport, Facebook a également utilisé des acquisitions, comme son achat du service publicitaire Atlas de Microsoft, pour étendre sa maîtrise des données sur les consommateurs et devenir un acteur majeur du marché de la publicité en ligne, où il domine désormais. « Malgré la domination de Google », a écrit la commission, « les acteurs du marché interrogés par la sous-commission considèrent Facebook comme "inévitable" ou "incontournable" en raison de la portée et de l'ampleur de sa plateforme ».

Mais le géant des réseaux sociaux n’est pas du même avis que les membres du panel antitrust. Dans une déclaration à CNBC, un porte-parole de la société a dit que « Facebook est une réussite américaine ».

« Nous sommes en concurrence avec une grande variété de services et des millions, voire des milliards, de personnes les utilisent », a déclaré le porte-parole de Facebook dans un communiqué. « Les acquisitions font partie de tous les secteurs d'activité, et c'est une des façons dont nous innovons dans les nouvelles technologies pour apporter plus de valeur aux gens. Instagram et WhatsApp ont atteint de nouveaux sommets de succès parce que Facebook a investi des milliards dans ces entreprises. Un paysage fortement concurrentiel existait à l'époque des deux acquisitions et existe encore aujourd'hui. Les régulateurs ont examiné chaque opération de manière approfondie et n'ont pas vu, à juste titre, de raison de les arrêter à l'époque ».

Instagram était une menace contre la croissance de l'application principale de Facebook

Les enquêteurs de la Chambre des représentants ont également consulté un document interne de l'entreprise datant de 2018, intitulé "Cunningham Memo", dans lequel Thomas Cunningham, spécialiste principal des données de Facebook, a informé le PDG Mark Zuckerberg et le vice-président de la croissance Javier Olivan qu'Instagram pourrait atteindre un « point de basculement » où sa croissance pourrait finalement se faire au détriment de tous les utilisateurs quittant l'application bleue de Facebook, d’après les conclusions.

« La question était de savoir comment positionner Facebook et Instagram pour qu'ils ne se fassent pas concurrence », a déclaré au sous-comité un ancien employé de haut niveau chez Instagram que le rapport n’a pas nommé. « C'était une collusion, mais dans le cadre d'un monopole interne. Si vous possédez deux services de médias sociaux, ils ne devraient pas être autorisés à se soutenir mutuellement. Je ne comprends pas pourquoi cela ne devrait pas être illégal ».

Le mémo de Cunningham a aussi noté que « les applications sociales ont des points de basculement tels que « soit tout le monde les utilise, soit personne ne les utilise ». Selon le rapport, l'application phare de Facebook touche à elle seule 200 millions d'utilisateurs américains, soit 74 % des utilisateurs de smartphones. Et cette seule portée permet aux gens de continuer à utiliser le produit. Le comité conclut également que Facebook cache ses paramètres de portabilité des données aux utilisateurs, ce qui conduit les utilisateurs à garder leurs comptes actifs afin de ne pas perdre d'informations telles que des albums photo.

Un autre ancien employé a déclaré à la sous-commission que, chez Facebook, la seule chose qui compte est d'amener les gens à utiliser les services de l'entreprise juste une minute de plus. « Votre seul travail est d'obtenir une minute supplémentaire », a déclaré l'ancien employé à la sous-commission. « C'est immoral. Ils ne demandent pas d'où ça vient. Ils peuvent monétiser une minute d'activité à un certain rythme. Donc la seule mesure est d'obtenir une minute supplémentaire ».


Le refus de conclure un partenariat, y compris une acquisition par Facebook, « aurait des conséquences pour Instagram ».

Le rapport cite des menaces à peine voilées de Zuckerberg lors d’un échange de messages entre Zuckerberg et le cofondateur d'Instagram, Kevin Systrom, dans le cadre des négociations de l'accord :

« À un moment donné, vous devrez bientôt déterminer comment vous voulez réellement travailler avec nous. Il peut s'agir d'une acquisition, d'une relation étroite avec Open Graph, d'une relation sans lien de dépendance utilisant nos API traditionnelles, ou peut-être pas du tout ... Bien sûr, nous développons en même temps notre propre stratégie photographique, donc la façon dont nous nous engageons maintenant déterminera dans quelle mesure nous sommes partenaires ou concurrents à l'avenir - et j'aimerais m'assurer que nous décidons cela de façon réfléchie également ».

Zuckerberg a fait des commentaires similaires aux équipes de croissance et de produits de Facebook concernant WhatsApp, selon le rapport. WhatsApp représentait une menace pour le service de messagerie de l'entreprise, et en 2014, Facebook a acheté WhatsApp pour 19 milliards de dollars. Selon le rapport :

« Dans le contexte des stratégies de marché pour Messenger en concurrence avec WhatsApp, M. Zuckerberg a déclaré aux équipes de gestion de la croissance et des produits de l'entreprise que "être le premier est la façon de construire une marque et un effet de réseau". Il leur a également dit que Facebook avait "une opportunité de le faire à grande échelle, mais cette opportunité ne durera pas éternellement". Je doute que nous ayons ne serait-ce qu'un an avant que WhatsApp ne commence à aller dans cette direction ».

Davantage de données consolident la position de Facebook et empêchent les nouvelles plateformes de devenir compétitives

Selon le rapport, l’avantage en matière de données pour Facebook est double. Grâce à ses plus de 3 milliards d'utilisateurs mensuels, Facebook a accès à plus de données que ses concurrents. Facebook utilise ces données pour créer une expérience plus ciblée pour chaque utilisateur, qui à son tour attire plus d'utilisateurs et les incite à passer plus de temps sur les services de l'entreprise, selon le rapport.

« L'avantage de Facebook en matière de données s'accroît donc au fil du temps, consolidant la position de Facebook sur le marché et rendant encore plus difficile pour les nouvelles plateformes de fournir une expérience utilisateur compétitive », selon le rapport.

Le rapport suggère que l'interopérabilité entre des services concurrents pourrait aider à endiguer les bénéfices de cet avantage en matière de données. Cela pourrait, par exemple, inclure l'exigence que l'application de messagerie d'une entreprise puisse envoyer des messages à celle d'une autre entreprise.

« Avant tout, l'interopérabilité "brise la puissance des effets de réseau" en permettant aux nouveaux entrants de tirer profit des effets de réseau existants "au niveau du marché, et non au niveau de l'entreprise" », indique le rapport. « Elle réduirait également les coûts de changement de fournisseur pour les utilisateurs en garantissant qu'ils ne perdent pas l'accès à leur réseau à la suite d'un changement de fournisseur ».

Source : Rapport de la Commission judiciaire de la Chambre US

Et vous ?

Qu’en pensez-vous ?
Que se passerait-il, selon vous, si Facebook est contraint de se séparer de WhatsApp et Instagram ?
Quel commentaire faites-vous de la suggestion de l'interopérabilité entre les médias sociaux ?

Voir aussi :

Facebook, Google, Apple et Amazon enfreignent la loi antitrust des USA d'après les conclusions d'une enquête parlementaire. Les démocrates recommandent entre autres le démantèlement
Amazon, Facebook, Apple, et Google ont des pouvoirs de monopoles, c'est pourquoi ils doivent être démantelés, d'après le rapport parlementaire US
47 procureurs généraux ont rejoint l'enquête antitrust menée contre Facebook, comme l'a annoncé Letitia James, procureure générale de l'État de New York
Facebook et Twitter suppriment une publication de Donald Trump selon laquelle la grippe est plus meurtrière que le coronavirus, et ravivent le débat relatif aux politiques de modération sur les RS

Une erreur dans cette actualité ? Signalez-nous-la !

Avatar de KEKE93
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 15/10/2020 à 17:31
Les procès pour situation monopolistique sont des procédures très très longues.
Le procès anti-trust d'IBM avait duré de 1969 à 1982 et a généré 30 millions de pages

https://www.historyofinformation.com/detail.php?id=923

Tellement long que la situation d'IBM s'est arrangée toute seule au début des années 80, de nouveau concurrents étant venus sur le marché (Cf les PC compatibles, Oracle puis Cisco...); la cour ayant jugé qu'IBM ne méritait plus un tel procés...
IBM, prévoyant un démantellement, avait changé sa structure organisationelle de sorte qu'un démantellement ait le moins d'effet possible et est ainsi devenu un monolithe elephantesque incapable de "danser" face à la concurrence...

C'est ce qui pourrait advenir aussi aux GAFAM.
9  0 
Avatar de Waikiki
Membre averti https://www.developpez.com
Le 12/04/2021 à 14:29
Google favorise sa principale source de revenue, Apple favorise ses applications sur l'App Store, Amazon copie les produits les plus vendeurs sur sa plateforme, Microsoft a tout fait pendant des année pour imposer son OS sur les pc, Facebook utilise les données générées sur ses plateformes pour faire du profit.

Y en a vraiment qui sont encore étonnés par de telles annonces ? les GAFAM n'ont jamais été des sociétés philanthropiques et ce n'est pas prêt d'arriver.
9  0 
Avatar de edrobal
Membre averti https://www.developpez.com
Le 07/10/2023 à 13:08
Microsoft accuse Google de pratiques déloyales. L’hôpital se fout de la charité !!! Comment un OS aussi merdique que Windows a-t-il pu devenir quasi incontournable.
6  0 
Avatar de emilie77
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 20/11/2024 à 16:46
Google:
- search
- analytics
- cloud
- android
- chrome
- gmail
- maps
- news
- calendar
- contacts
- google apps
- drive
- youtube
- photos
- ...

Ce n'est pas trop?
6  0 
Avatar de Ryu2000
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 26/10/2020 à 11:39
Citation Envoyé par Bill Fassinou Voir le message
L’on estime qu'Apple reçoit aujourd'hui entre 8 et 12 milliards de dollars de paiements annuels, contre 1 milliard de dollars par an en 2014, en échange de l'intégration du moteur de recherche de Google dans ses produits. Il s'agit probablement du plus gros paiement que Google verse à quiconque et représente 14 à 21 % des bénéfices annuels d'Apple. Ce n'est certainement pas de l'argent qu'Apple serait impatient de laisser tomber.
Purée , plusieurs milliards de dollar juste pour mettre Google comme moteur de recherche par défaut.
J'imagine qu'aucune autre entreprise pourrait proposer un meilleur deal à Apple.

Citation Envoyé par Bill Fassinou Voir le message
Les deux entreprises sont contre l’avis des régulateurs et estiment qu’il y a de nombreux partenariats du genre dans la Silicon Valley. « Nous avons ce genre de terme étrange dans la Silicon Valley : co-opposition », a déclaré Bruce Sewell, avocat général d'Apple entre 2009 et 2017. « Vous avez une concurrence brutale, mais en même temps, vous avez une coopération qui est nécessaire ». Ils sont en concurrence sur pas mal de fronts, comme les smartphones, les cartes numériques et les ordinateurs portables. Mais ils savent aussi se montrer gentils quand cela leur convient.
Apple n'a pas de moteur de recherche ni de plateforme vidéo comme YouTube, donc ça ne lui pose pas problème que les gens utilisent ces services.

Citation Envoyé par L33tige Voir le message
Ca me rappel un épisode de Crossed de Karim Debbache.
Je me rappelle de cette blague, c'était peut-être dans un épisode de l'émission Chroma (uniquement disponible sur Dailymotion en principe).

Ça me fait penser à la chanson "Arrête un peu ta parano" de Didier Super :
Arrête un peu ta parano, si vraiment les gouvernements
Ils étaient vraiment les larbins des multinationales
Tu crois pas qu’il y a bien longtemps
Que les multinationales, elles domineraient toute la planète
Et peut-être même le monde
Et qu'elles auraient même plus besoin de s’acquitter de leurs impôts
Non mais sérieux, faut réfléchir deux secondes
5  0 
Avatar de Zefling
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 20/11/2024 à 16:51
Elle a également déclaré qu'il serait plus difficile d'assurer la sécurité de Chrome.
Cette blague. Firefox n'est pas sûr donc ?

Ça permet surtout de mieux contrôler l'utilisateur par tous les angles :
  • la recherche
  • la navigation
  • le système

Autant dire quasiment tout passe par chez-eux qu'une façon ou d'une autre. C'est sûr que supprimer une de ces briques, c'est une perte de revenu colossale pour Alphabet et aussi une perte de contrôle du web.
5  0 
Avatar de NotABread
Membre actif https://www.developpez.com
Le 28/11/2024 à 15:14
Imaginons que Google doit se séparer de Chrome, qui peut racheter ?
D'ailleurs, parlerait-on de Chrome et Chromium ou seulement de Chrome ? Chromium sert de base à de nombreux dérivés. Si Google le garde, il pourrait faire pression pour pousser son agenda ou entraver les efforts du repreneur de Chrome. Si Chromium est aussi vendu, le nouveau propriétaire gagnerait un incroyable pouvoir pour pousser ses "nouvelles techno du future web".

Ca ne va pas être vendu à petit prix et il faudra que le racheteur inspire la confiance (donc avec les politiques anti Chine, inimaginable que les Etats-Unis laissent un groupe chinois s'en emparer).
J'imagine qu'il serait difficile pour Microsoft de racheter Chrome sans que les régulateurs ne réagissent.
Je doute que Nvidia fera une offre, pas impossible mais c'est pas leur coeur de métier.
Est-ce que Apple voudrait maintenir une application en dehors de leur écosystème ? Stratégiquement, ils pourraient fermer Chrome à ses plateformes pour inciter les gens à passer aux iDevice, mais ça leur ferait aussi une très mauvaise image auprès des utilisateurs restant sous Windows et Android.
Je verrai peut-être Amazon, Facebook ou X Corp s'en emparer, mais je doute que la vie privée des utilisateurs ne s'améliore sous leur égides (sachant qu'elle n'est déjà pas glorieuse avec Google)
5  0 
Avatar de NotABread
Membre actif https://www.developpez.com
Le 19/12/2024 à 1:22
« Google gagne plus d'argent avec Windows que Microsoft. Littéralement »
Je trouve qu'il y a un gros biais de raisonnement : d'un côté on parle de l'argent rapporté par les recherches Google, de l'autre, bien que ça ne soit pas clair, il semble question de ce que rapporte la vente de licence windows, et peut-être avec les gains des recherches Bing.
Il faut comparer ce qui est comparable: Windows est un système d'exploitation, Google search est un moteur de recherche. Google ne gagnent pas d'argent parce que ses utilisateurs sont sous Windows, Google gagne de l'argent parce qu'ils établissent un profil publicitaire de ces recherches, et ça rapporte pareil que ça soit fait sous Windows, Linux, MacOS, Android ou autre. De même, les recherches Bing rapporte de l'argent pas parce que on le fait sous Windows, mais par ce qu'on l'utilise. Si les parts de marché de Bing sont minuscule face à Google search, être sous Windows n'y changera rien.
Si par contre on parle du fait que le moteur de recherche maison peine à s'imposer face à Google search même "à la maison" et que Google tire la majorité des recettes liées aux recherches sous Windows, bien plus que Microsoft, là oui, la comparaison marche.

Et Microsoft n'est pas à plaindre, nul doute que pousser Teams, Office365 et autre produit au travers de Windows a bien fait les affaires de Microsoft et que ça n'est pas compter ici (sans oublier les ventes liés de licences Windows sur plus de 90% des PC qui doit rapporter un fric monstre). J'ai plus l'impression que le PDG est triste que les investissements dans Bing et Open AI ait pas suffit à imposer Bing même en agissant vicieusement au travers de Windows (comme forcer la main de l'utilisateur sur le navigateur et pousser ses produits par des bandeaux et paramètres par défaut). Pour ma part, Microsoft peut ranger ses violons, y a beaucoup trop de casseroles pour avoir de l'empathie.
5  0 
Avatar de L33tige
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 26/10/2020 à 11:14
"non mais faut arrêter le cliché des films ou les grosses entreprises sont les méchants et prennent des décisions du haut de leur tour en ricanant." Ca me rappel un épisode de Crossed de Karim Debbache.
6  2 
Avatar de Flupke68
Membre à l'essai https://www.developpez.com
Le 28/11/2024 à 12:05
"Pourrait ruiner l'expérience des consommateurs..."
Entendre:
"On pourra plus espionner comme on voulait..."

Font ch... avec leurs éléments de langage.
4  0