
Chaque site offre son propre style d'affichage, présentant les chiffres concernant les cas confirmés, les malades, les guérisons et les décès. Les données publiées par les outils varient selon les sources dont ils disposent.
Le tracker de Bing, lui, se diffère par rapport aux autres par la présentation de vidéos en lien avec la présence de la pandémie dans le pays sélectionné.
« De nombreuses personnes de Bing ont travaillé (depuis chez eux) la semaine dernière pour créer une ressource cartographique et d'information faisant autorité pour le COVID-19 », explique Michael Schechter, directeur général de Bing Growth and Distribution chez Microsoft.
En outre, les chiffres présentés par l'outil de Bing proviennent de quatre sources : l'OMS, Wikipedia, l'agence européenne ECDC et le Centers for Disease Control and Prevention (CDC).
Google n'est pas en reste. En effet, la filiale d'Alphabet travaille sur le développement d'une plateforme plus détaillée mais destinée uniquement aux États-Unis pour le moment, dans le but d'optimiser le processus de dépistage et de faciliter l'identification des personnes infectées.
Par ailleurs, Google a déjà pris des dispositions pour éviter que les développeurs mettent sur Play Store des applications contenant des fausses informations concernant la pandémie, ou que les hackers en profitent pour proposer des malwares. La firme de Mountain View a alors supprimé les termes « coronavirus » et « COVID-19 » des résultats de recherche du magasin d'applications.
Source : Bing
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