Des scientifiques ont connecté le cerveau de 3 personnes pour partager leurs pensées
Et ceci pourrait être élargi à plus de personnes et via le Web
Le 2018-10-07 17:41:51, par Bill Fassinou, Chroniqueur Actualités
En 2014, Ray Kurzweil, alors directeur de l'ingénierie chez Google, figurait parmi les membres du CIO Network, une conférence organisée par « The Wall Street Journal » autour de l’innovation et des nouvelles technologies. Connu pour son attachement aux nanotechnologies et ses nombreuses prédictions sur notre futur, il avait été interviewé lors de la conférence et n’avait pas manqué de livrer sa propre vision du futur basée sur ses prédictions. En effet, il prédisait que des millions, voir des milliards de nanorobots investiront nos corps pour nous maintenir en bonne santé, améliorer notre système immunitaire et enfin rendre accessible notre cerveau dans le Cloud.
En 2017, c'est le géant américain du réseau social, Facebook, qui avait annoncé qu'il travaillait sur une interface cerveau-machine permettant d’interagir avec une application de messagerie par voie cérébrale. L'annonce a été faite par Regina Dugan, alors responsable du groupe Building 8 chargé de concevoir les systèmes matériels du futur chez Facebook. Elle disait que le géant des réseaux sociaux travaillait sur des capteurs permettant de lire les ondes cérébrales.
Il faut préciser que récemment, c'est Neuralink, une entreprise américaine de biotechnologie spécialisée en neuro-ingénierie, qui dit être en train de travailler activement sur un projet qui vise à développer des neuroprothèses pouvant être utilisées comme des interfaces cerveau-machine à très haut débit afin de connecter le cerveau humain et des ordinateurs via des implants cybernétiques et de permettre à l’esprit humain de s’interfacer avec des gadgets et des programmes.
Et bien, une équipe de neuroscientifiques vient de révéler à la face du monde les résultats de leur recherche. Un système baptisé « BrainNet », permet d'établir une connexion cérébrale « à trois voies » pour permettre à trois personnes de partager leurs pensées et donc, de pouvoir jouer à un jeu de style Tetris, un jeu vidéo de puzzle. L'équipe pense que cette expérience pourrait être étendue pour connecter des réseaux entiers de personnes et estime que leur expérience pourrait être menée à une plus grande échelle dans l’optique de connecter des réseaux entiers de personnes, même sur le Web.
« Nous présentons BrainNet qui, à notre connaissance, est la première interface directe dite cerveau-cerveau, non invasive pour une résolution collaborative de problèmes […]. L’interface permet à trois sujets humains de collaborer et de résoudre une tâche en utilisant une communication directe de cerveau à cerveau », annoncent-ils. Le système fonctionne grâce à l’utilisation d’une combinaison d’électroencéphalogrammes (EEG) qui repose sur la mesure de l'activité électrique du cerveau, et de stimulation magnétique transcrânienne (TMS), dans laquelle les neurones sont stimulés à l’aide de champs magnétiques.
En plus de donner accès à de nouvelles méthodes de communication, BrainNet pourrait permettre d’en apprendre plus sur le fonctionnement du cerveau humain à un niveau plus profond. Au cours de l'expérience, deux personnes étaient connectés à l'EEG alors qu'ils jouaient à un jeu de type Tetris. À chaque nouveau bloc, les participants devaient décider si celui-ci devait ou non subir une rotation. Pour signifier leur décision, ils devaient regarder vers l'une des deux lumières LED clignotant de part et d'autre de l'écran, l'une à une fréquence de 15 Hz (pas de rotation) et la seconde à une fréquence de 17 Hz (rotation), résultant en des signaux neuronaux distincts, mesurables par l'EEG.
Ces choix étaient ensuite transmis au troisième joueur grâce à l'appareil de TMS, capable de générer des phosphènes (un phénomène interne à l’œil qui se traduit par la sensation de voir une lumière ou par l'apparition de tâches dans le champ visuel) dans l'esprit du sujet. Ce dernier avait alors pour tâche de tourner le bloc ou non en fonction des instructions reçues. Bien entendu, durant cette tâche, le troisième participant n'avait pas accès à l'écran de jeu et devait donc se fier aux consignes de ses collaborateurs.
Sur cinq groupes différents de trois personnes, les chercheurs ont atteint une précision moyenne de 81,25 %, un résultat prometteur pour une première expérience. Leur étude doit encore être soumise à un comité de validation pour relecture, mais si leurs résultats se révèlent viables et reproductibles avec un plus grand nombre de sujets, c'est tout un nouveau pan de la communication qui pourrait voir le jour dans un futur proche.
Les internautes, réagissant sur la question, ont plutôt exprimé leur inquiétude sur les différentes conséquences sociales de l’application d'un tel système. Ils sont pour la plupart contre l'utilisation ou l'expérimentation de BrainNet surtout à une plus grande échelle. Pour eux, cela causera plus de mal que de bien de savoir ce que l'autre pense de soi surtout que parfois, la pensée « négative » peut ne pas forcément conduire à l'action.
Cependant, pour les scientifiques, BrainNet pourrait aider à mettre en commun nos ressources mentales afin de tenter de résoudre des problèmes majeurs. « Nos résultats soulèvent la possibilité de futures interfaces cerveau à cerveau permettant la résolution coopérative de problèmes par des humains, utilisant un "réseau social" de cerveaux connectés », explique l’équipe de recherche.
Source : Résultat de l'étude
Et vous ?
Qu'en pensez-vous ?
Quelles pourraient être les conséquences d'un tel système selon vous ?
Croyez-vous à un réseau social de cerveaux connectés ? Pourquoi ?
Voir aussi
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En 2017, c'est le géant américain du réseau social, Facebook, qui avait annoncé qu'il travaillait sur une interface cerveau-machine permettant d’interagir avec une application de messagerie par voie cérébrale. L'annonce a été faite par Regina Dugan, alors responsable du groupe Building 8 chargé de concevoir les systèmes matériels du futur chez Facebook. Elle disait que le géant des réseaux sociaux travaillait sur des capteurs permettant de lire les ondes cérébrales.
Il faut préciser que récemment, c'est Neuralink, une entreprise américaine de biotechnologie spécialisée en neuro-ingénierie, qui dit être en train de travailler activement sur un projet qui vise à développer des neuroprothèses pouvant être utilisées comme des interfaces cerveau-machine à très haut débit afin de connecter le cerveau humain et des ordinateurs via des implants cybernétiques et de permettre à l’esprit humain de s’interfacer avec des gadgets et des programmes.
Et bien, une équipe de neuroscientifiques vient de révéler à la face du monde les résultats de leur recherche. Un système baptisé « BrainNet », permet d'établir une connexion cérébrale « à trois voies » pour permettre à trois personnes de partager leurs pensées et donc, de pouvoir jouer à un jeu de style Tetris, un jeu vidéo de puzzle. L'équipe pense que cette expérience pourrait être étendue pour connecter des réseaux entiers de personnes et estime que leur expérience pourrait être menée à une plus grande échelle dans l’optique de connecter des réseaux entiers de personnes, même sur le Web.
« Nous présentons BrainNet qui, à notre connaissance, est la première interface directe dite cerveau-cerveau, non invasive pour une résolution collaborative de problèmes […]. L’interface permet à trois sujets humains de collaborer et de résoudre une tâche en utilisant une communication directe de cerveau à cerveau », annoncent-ils. Le système fonctionne grâce à l’utilisation d’une combinaison d’électroencéphalogrammes (EEG) qui repose sur la mesure de l'activité électrique du cerveau, et de stimulation magnétique transcrânienne (TMS), dans laquelle les neurones sont stimulés à l’aide de champs magnétiques.
En plus de donner accès à de nouvelles méthodes de communication, BrainNet pourrait permettre d’en apprendre plus sur le fonctionnement du cerveau humain à un niveau plus profond. Au cours de l'expérience, deux personnes étaient connectés à l'EEG alors qu'ils jouaient à un jeu de type Tetris. À chaque nouveau bloc, les participants devaient décider si celui-ci devait ou non subir une rotation. Pour signifier leur décision, ils devaient regarder vers l'une des deux lumières LED clignotant de part et d'autre de l'écran, l'une à une fréquence de 15 Hz (pas de rotation) et la seconde à une fréquence de 17 Hz (rotation), résultant en des signaux neuronaux distincts, mesurables par l'EEG.
Ces choix étaient ensuite transmis au troisième joueur grâce à l'appareil de TMS, capable de générer des phosphènes (un phénomène interne à l’œil qui se traduit par la sensation de voir une lumière ou par l'apparition de tâches dans le champ visuel) dans l'esprit du sujet. Ce dernier avait alors pour tâche de tourner le bloc ou non en fonction des instructions reçues. Bien entendu, durant cette tâche, le troisième participant n'avait pas accès à l'écran de jeu et devait donc se fier aux consignes de ses collaborateurs.
Sur cinq groupes différents de trois personnes, les chercheurs ont atteint une précision moyenne de 81,25 %, un résultat prometteur pour une première expérience. Leur étude doit encore être soumise à un comité de validation pour relecture, mais si leurs résultats se révèlent viables et reproductibles avec un plus grand nombre de sujets, c'est tout un nouveau pan de la communication qui pourrait voir le jour dans un futur proche.
Les internautes, réagissant sur la question, ont plutôt exprimé leur inquiétude sur les différentes conséquences sociales de l’application d'un tel système. Ils sont pour la plupart contre l'utilisation ou l'expérimentation de BrainNet surtout à une plus grande échelle. Pour eux, cela causera plus de mal que de bien de savoir ce que l'autre pense de soi surtout que parfois, la pensée « négative » peut ne pas forcément conduire à l'action.
Cependant, pour les scientifiques, BrainNet pourrait aider à mettre en commun nos ressources mentales afin de tenter de résoudre des problèmes majeurs. « Nos résultats soulèvent la possibilité de futures interfaces cerveau à cerveau permettant la résolution coopérative de problèmes par des humains, utilisant un "réseau social" de cerveaux connectés », explique l’équipe de recherche.
Source : Résultat de l'étude
Et vous ?
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zoonelMembre actifje vois absolument pas en quoi ils on "partagés leurs pensées", ou alors on peut aussi dire que je "partage mes pensées" tous les jours avec mes collègues, amis, famille... (parfois avec la parole, parfois avec des gestes, parfois avec l'absence de parole
, ...)
Si je résume l'article: des sujets choisissent de regarder entre 2 lumières clignotantes à différentes fréquences, ce qui à pour effet de modifier l'activité cérébrale de façon perceptible et différenciable par des egg afin de stimuler le cerveau d'un autre participant pour lui faire voire des tâches pour qu'il sache quel était la lumière regardée au départ.
Donc nulle part on a affaire à la pensée des participants, on se sert juste de leur cerveau comme chemin de communication.
Maintenant ce que j'en pense c'est que j'aime pas trop l'idée de me prendre des décharges dans le cerveau ni de devoir fixer un stimuli aussi invasif pour faire passer mes messages. Je préfère largement un truc plus passif qui par exemple détecte le mouvement de l'œil et retransmette ce sur quoi l'œil c'est fixé, soit sur écran soit si je dois me prendre des décharges sur le bras ou autre (et encore, si ça se généralise comment réagiraient nos muscles/ notre épiderme si ils étaient sollicités constamment par des micro décharges, pour le cerveau je préfère même pas y penser)).le 07/10/2018 à 21:58 -
Jon ShannowMembre extrêmement actifPersonnellement, ce sont plutôt les conséquences sur la santé des sujets qui me préoccupent. Comment, à long terme, le cerveau humain réagit à des stimuli extérieurs ?le 08/10/2018 à 9:01
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LeDruide87Membre habituéL'idée d'une analogie entre un ordinateur et le cerveau est vieille (voir Changeux, par exemple) mais ne résiste pas à l'examen. Personnellement, ayant à la fois pratiqué l'informatique et les neurosciences, je constate qu'il n'y a pas de binarité dans les processus cérébraux : ils sont fondamentalement "analogiques". Certes, il est parfois commode de décrire le cheminement d'un neurotransmetteur d'une extrémité d'axone à un autre neurone en termes de "porte" ouverte ou fermée en fonction des signaux inducteurs ou inhibiteurs des récepteurs, mais en fait la chimie des membranes est infiniment plus compliquée. Nous ne devons donc pas confondre la logique qui nous fait décrire des phénomènes avec le fonctionnement réel des processus observés. Et, donc, un réseau neuronal n'a rien à voir, en réalité, avec le réseau cérébral des neurones.
Quant au langage... c'est encore un autre problème qu'il faut soigneusement distinguer de celui des langues : le langage est cette faculté de re-présenter (= présenter à nouveau) une réalité naturellement perçue ("Gestalt" ou, en Français, "forme", excusez-moi, c'est un peu pédant) en concept culturellement... conçu. Les langues obéissent aux lois générales du langage, mais elle obéissent aussi à l'arbitraire des conventions sociales portant sur le lexique et la syntaxe. C'est pourquoi on parle à tort de "langages" de programmation, ils seraient plutôt des langues, mais, plus exactement, parce qu'ils constituent des systèmes logiques finis et obéissant à la règle de complétude, ce sont des codes.
Alors, lorsqu'on parle ou pense, on le fait dans une langue; mais ce qu'observe par exemple l'imagerie en neurosciences, ce sont des activations de certaines zones cérébrales plus ou moins liées à la faculté de langage (zones de Broca, Wernicke), mais aussi des lobes frontaux, de l'amygdalia etc... Autrement dit, il se passe simultanément nombre de phénomènes que pour le moment nous ne savons ni lier à telle ou telle faculté (par exemple : qu'est-ce qui relève du concept et en même temps de l'affect ?) ni, encore moins, expliquer. Lire des pensées dans le cerveau d'un Français et les transmettre au cerveau d'un Chinois n'est pas réalisable en l'état de nos connaissances et de nos techniques. Heureusement, dirais-je, car que resterait-il, sinon, de notre identité, de notre altérité ?
(Excusez-moi pour la longueur et la lourdeur du propos)le 12/10/2018 à 16:33 -
Jon ShannowMembre extrêmement actifUn autre point hormis la rapidité, c'est l'affranchissement de la barrière de la langue, qui pourrait être intéressant avec un système de partage de la pensée.
Dans les points très négatifs, sans aller jusqu'au génocide programmé par la pensée, c'est la publicité. Si on pouvait, sans que la personne n'en soit consciente, mettre dans sa tête qu'elle doit acheter tel ou tel produit, je pense que vue la déontologie dont font preuves les grosses sociétés, elles n'hésiteraient pas un instant...le 12/10/2018 à 8:52 -
LeDruide87Membre habituéIl y a loin entre le fait d'activer une zone corticale avec un stimulus (petite lumière de couleur, par exemple) et découvrir une pensée. Tout simplement parce que l'on n'a pas même idée de comment une pensée s'élabore, ni d'où elle s'élabore. Ces expériences, c'est de la gonflette.
Néanmoins, elles révèlent un projet funeste, celui de prendre le contrôle des sujets. Cela, c'est l'aspect politique de la manipulation. Il n'est pas exclu de pouvoir dresser un sujet avec des stimuli cérébraux ; ce n'est pas de la pensée, c'est du conditionnement. On ne peut pas s'empêcher de penser à Orwell.le 12/10/2018 à 11:20 -
Notamment sur la santé mentale. Je n'ai pas idée de l'impact, à court ou à long terme, de l'utilisation d'une interface cerveau à cerveau sur l'équilibre physiologique (un stimuli externe ne risque-t-il pas d'être interprété comme un stimuli interne ?). À moins de passer par une interface tierce.le 08/10/2018 à 12:02
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CoderInTheDarkMembre émériteCa me fais penser à l'Épisode 5*de la saison 3 d'Au-delà du réel
Sursaut de conscience
Ca se terminait mal quand le système buguait et détraquais les cerveaux des personnes connectées
Et le plus grave est qu'à force d'utiliser leur gadget ils avaient oublié d'apprendre à lire.
Ils ont été sauvé par une personne qui était incompatible avec leur interface.
Est-ce que tout le monde peut l'utiliser ?
épyliptique, les non-voyant comme moi, car la description parle de lumièrele 10/10/2018 à 16:27 -
Ecthelion2Membre extrêmement actifEt tu te prétend historien ?
Soit tu es un gros troll, soit tu as un QI déficient.
Sans verser une seule goutte de sang ? Va dire ça aux japonais...
Quant à ta définition des forces du bien et du mal, il y aurait beaucoup de choses à dire, mais après, les convictions politiques de chacun, c'est comme les goûts et les couleurs, donc je te laisse penser ce que tu veux. Mais dire qu'il n'y a eu aucune goutte de sang versée, c'est quand même fort.
Entre les japonais qui s'en sont pris deux sur la tronche (avec tous les morts associés), et tous les conflits qu'il y a eu partout dans le monde depuis, encore aujourd'hui, et qui ont fait des milliers et des milliers de morts, bah non désolé, la bombe atomique n'a pas empêché le sang de couler. Au mieux, elle a empêcher un conflit global au niveau mondial entre pays développés "pour le moment", mais c'est tout.
Il y a eu et il y a toujours des guerres depuis l'invention / l'utilisation de la bombe atomique.le 11/10/2018 à 10:19 -
CoderInTheDarkMembre émérite
A la base les films de science fiction ne sont pas là pour faire peur.
Ils ont vocation à faire réfléchir, et anticiper, pour se préparer.
Il y a plus de matière avec le négatif
Et il faut mieux envisager le pire plutôt que le meilleur, car la science fiction bisounourse n'apporterai rien
Et en plus ça ne ferait pas d'entrés, car ça serait ennuyeux
Ou ça pourrait se réduire à une comédie romantique dans le future, juste histoire de changer de décore
Cela ne me fait pas forcément peur, ça me pose question, c'est tout.
Et je trouve marrant de se replonger dans anciens filmes de SF , qui se déroulaient à notre époque, pour constater comment on est loin du compte.
"Retour vers le futurs", elles sont où les voitures volantes
Et les films qui prédisaient que dans les années 2000 on aurait commencé à conquérir l'espace, j'en parle même pas
Je trouve que les méchant communistes c'est un peu tiré par les cheveux.
Rassure moi tu n'as pas peur, que des robots bolchéviques avec des couteaux laser entre les dents nous attaquent ?
L'arme atomique a assurée la paix, pas l'équilibre de la terreur.
Mais ce n'est pas une situation enviable.
Et oui pour garantir la paix il faut préparer la guerre.
J'ai toujours trouvé les militants anti atomique des années 80, qui scandaient "rouge plutôt que mort" étaient naifs, et surtout manipulé par l'URSS
Bon il faut savoir dire stop sinon on va y passer des pagesle 11/10/2018 à 14:14 -
ecMembre confirméC'est clairement de la science fiction, comme l'étaient les romans de Jules Vernes à l'époque, ou Tintin sur la lune à une autre. Alors ?le 11/10/2018 à 23:04