Navigateurs Web : Google continue de dominer alors que Microsoft Edge et Safari se disputent la 4e place
Derrière Internet Explorer et Firefox
Le 2017-07-06 13:26:05, par Michael Guilloux, Chroniqueur Actualités
Dans le royaume des navigateurs Web, c’est Google Chrome le roi, que ce soit sur PC ou mobile. Sur ce point, tous les grands baromètres donnent le même verdict. Net Applications a déclaré Google Chrome leader des navigateurs Web de bureau en mai 2016, après plus d’une décennie de suprématie d’Internet Explorer. De son côté, le service Web d’analyse StatCounter avait déjà sacré le navigateur de Google depuis 2012.
Depuis lors, Google continue de creuser l’écart entre lui et ses concurrents. Le navigateur de Google détient depuis un bon moment plus de 50 % de part de marché et n’est pas loin de s’approprier les deux tiers du marché. Net Applications et StatCounter ont en effet publié leurs dernières statistiques mensuelles. Le premier donne une part de marché de 59,49 % à Google Chrome en fin juin, soit une petite hausse de 0,13 point de pourcentage en un mois. Le second attribue à Google 63,21 % de part de marché. Cela représente toutefois une petite baisse de 0,12 point de pourcentage en un mois.
Pour information, StatCounter se base sur les statistiques collectées sur plus de 3 millions de sites couvrant diverses activités dans différentes régions du monde. Chaque mois, plus de 15 milliards de visites de pages sont enregistrées sur ces sites. Le code de suivi de StatCounter permet donc d’identifier les navigateurs utilisés entre autres caractéristiques suivies. En ce qui concerne Net Applications, ils disposent d’un réseau de plus de 40 000 sites Web. Pour chacun de ces sites, Net Applications compte le nombre de visiteurs uniques, et seulement une unique visite par site, par jour. Ses calculs sont effectués sur la base d’environ 160 millions de visites uniques par mois.
En se concentrant sur les statistiques de Net Applications, on remarque que le principal concurrent de Google Chrome – Internet Explorer – continue de s’enfoncer. Après être passé en dessous des 20 % de part de marché en janvier 2017, IE est aujourd’hui à 16,84 pour cent, en baisse de 0,71 point de pourcentage sur un mois. Mozilla Firefox, à la 3e place, stagne quant à lui avec 12,02 %. Ensuite viennent Microsoft Edge (5,65 %) et Safari (3,72 %).
Net Applications : évolution des parts de marché des navigateurs Web de bureau
Chez StatCounter, c’est plutôt Firefox qui se trouve à la deuxième place. En mai 2016, le navigateur de Mozilla était déjà plus populaire que les deux navigateurs de Microsoft réunis, après avoir dépassé Internet Explorer trois mois plus tôt. Aujourd’hui, Firefox conforte sa deuxième place avec 14 % de part de marché, une petite baisse cependant par rapport à ses 14,17 % en fin mai. Internet Explorer n’a plus que 9,28 % de part.
À l’instar de Net Applications, les chiffres de StatCounter montrent que Microsoft Edge et Safari se disputent la 4e place. Mais ici, le navigateur d’Apple domine encore son nouveau concurrent qui n’a en réalité pas encore pu le dépasser. Toutefois, l’écart se réduit progressivement étant donné que Safari stagne depuis plusieurs mois. Pendant ce temps, Microsoft incite davantage les utilisateurs de Windows 10 à surfer avec Microsoft Edge.
StatCounter : évolution des parts de marché des navigateurs Web de bureau
Les statistiques de Developpez.com (basées sur les données de Google Analytics) confirment également le classement de StatCounter : Google est leader avec 53,66 % et suivi respectivement par Firefox (24,73 %), Internet Explorer (11,25 %), Safari (5,34 %) et Microsoft Edge (2,71 %).
Sources : Net Applications, StatCounter
Et vous ?
Que pensez-vous de ces statistiques ?
Utilisez-vous encore Internet Explorer ? Pourquoi ?
Combien de temps donnez-vous à Microsoft Edge pour être plus populaire que Safari d’Apple ?
Depuis lors, Google continue de creuser l’écart entre lui et ses concurrents. Le navigateur de Google détient depuis un bon moment plus de 50 % de part de marché et n’est pas loin de s’approprier les deux tiers du marché. Net Applications et StatCounter ont en effet publié leurs dernières statistiques mensuelles. Le premier donne une part de marché de 59,49 % à Google Chrome en fin juin, soit une petite hausse de 0,13 point de pourcentage en un mois. Le second attribue à Google 63,21 % de part de marché. Cela représente toutefois une petite baisse de 0,12 point de pourcentage en un mois.
Pour information, StatCounter se base sur les statistiques collectées sur plus de 3 millions de sites couvrant diverses activités dans différentes régions du monde. Chaque mois, plus de 15 milliards de visites de pages sont enregistrées sur ces sites. Le code de suivi de StatCounter permet donc d’identifier les navigateurs utilisés entre autres caractéristiques suivies. En ce qui concerne Net Applications, ils disposent d’un réseau de plus de 40 000 sites Web. Pour chacun de ces sites, Net Applications compte le nombre de visiteurs uniques, et seulement une unique visite par site, par jour. Ses calculs sont effectués sur la base d’environ 160 millions de visites uniques par mois.
En se concentrant sur les statistiques de Net Applications, on remarque que le principal concurrent de Google Chrome – Internet Explorer – continue de s’enfoncer. Après être passé en dessous des 20 % de part de marché en janvier 2017, IE est aujourd’hui à 16,84 pour cent, en baisse de 0,71 point de pourcentage sur un mois. Mozilla Firefox, à la 3e place, stagne quant à lui avec 12,02 %. Ensuite viennent Microsoft Edge (5,65 %) et Safari (3,72 %).
Net Applications : évolution des parts de marché des navigateurs Web de bureau
Chez StatCounter, c’est plutôt Firefox qui se trouve à la deuxième place. En mai 2016, le navigateur de Mozilla était déjà plus populaire que les deux navigateurs de Microsoft réunis, après avoir dépassé Internet Explorer trois mois plus tôt. Aujourd’hui, Firefox conforte sa deuxième place avec 14 % de part de marché, une petite baisse cependant par rapport à ses 14,17 % en fin mai. Internet Explorer n’a plus que 9,28 % de part.
À l’instar de Net Applications, les chiffres de StatCounter montrent que Microsoft Edge et Safari se disputent la 4e place. Mais ici, le navigateur d’Apple domine encore son nouveau concurrent qui n’a en réalité pas encore pu le dépasser. Toutefois, l’écart se réduit progressivement étant donné que Safari stagne depuis plusieurs mois. Pendant ce temps, Microsoft incite davantage les utilisateurs de Windows 10 à surfer avec Microsoft Edge.
StatCounter : évolution des parts de marché des navigateurs Web de bureau
Les statistiques de Developpez.com (basées sur les données de Google Analytics) confirment également le classement de StatCounter : Google est leader avec 53,66 % et suivi respectivement par Firefox (24,73 %), Internet Explorer (11,25 %), Safari (5,34 %) et Microsoft Edge (2,71 %).
Sources : Net Applications, StatCounter
Et vous ?
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UtherExpert éminent séniorJ'ai l'impression que tu as quelques trains de retard voire des informations complètement fausses.
Bah justement Opera a renoncé a tout ça : ce n'est plus qu'une surcouche de Blink, le moteur de Chrome.
Il a clairement encore son intérêt au niveau de l'expérience utilisateur, mais il n'a plus le moindre pouvoir sur l'avenir du web. Pour le coup si il y a un navigateur qui est complètement dépendant de Google, c'est bien lui.
Pour info le partenariat de Mozilla avec Google est terminé depuis 2014, Justement parce que Mozilla voulait en finir avec sa dépendance financière à Google. Maintenant, il y a des accords différent en fonction des régions du monde : Bing pour les USA, Baidu pour la Chine, ...
N'importe quoi! A l'époque ou Google a commencé à le financer, Firefox était quasiment inexistant sur le marché des navigateurs. L'apport de Google a été capital pour passer d'un navigateur tout neuf, bâti sur les cendre de Netscape, mais qui avait perdu son support financier, à un des navigateurs majeurs qui a tiré le marché des navigateurs web pendant longtemps.
Bah, ils ont essayé, ils se sont plantés,fin de l'histoire.
C'était justement, une autre manière de se rendre plus indépendant, notamment sur le mobile qui est un marché très fermé aux navigateurs alternatifs. Malheureusement, ils sont arrivés bien trop tard avec un concept bien trop limitant. Ça ne servait à rien de continuer à dépenser des fortunes sur un OS qui n'avait clairement aucun espoir de percer.le 06/07/2017 à 18:06 -
psychadelicExpert confirméles "inventeurs" du css sont Håkon Wium Lie et Bert Bos.
Opera Software à été fondé en 1995 par Jon Stephenson von Tetzchner et Geir Ivarsøy
Bert Bos n'a jamais travaillé pour Opera.
Håkon Wium Lie n'est "arrivé" chez Opera qu'en 1999, soit 4 ans après la création d'Opéra (ou 2ans après sa "mise sur le marché" faite en 1997).
Avec l'arrivée des multiples specs d'HTML5, et des grosses carences techniques de ces différentes technos, plus l'arrivée massive de l'utilisation d'internet sur les smartphones et les tablettes, sans oublier "la guerre" contre FlashPlayer, celle des codecs vidéo, etc.. etc... (on oublie aussi les carabistouilles sur le format svg, smil, et des grosses conneries faites sur les fontes, encore merci Adobe ! )
Bref, vu l'ampleur de la montagne à gravir, l'ensemble des firmes produisant des navigateurs internets ont du réviser leur copie à la fois sur le moteur de rendu et sur le moteur javascript.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Moteur_de_rendu_HTML
https://fr.wikipedia.org/wiki/Moteur_JavaScript
Il suffit de regarder le test des navigateurs ( https://html5test.com/ ) pour se rendre compte des manquements restant à combler.
Donc même google à abandonner son ancien moteur de rendu ( WebKit ) en utilisant Blink (initié par Chromium), Opéra à suivi (en abandonnant presto)
Du coté de Mozilla, la réécriture d'un moteur de rendu est sur les rails, mais en attendant ils ont 50 points de retard sur les navigateurs basés sur Blink. (html5test)
Et même Microsoft, avec son navigateur Edge est passé à EdgeHTML (exit Trident) et Chakra, car les perfs de son ancien moteur JS était largement surclassé (même par Mozila) et que MS commence à lorgner sur la galaxie NodeJS.
Quand à Apple, on à carément l'impression qu'ils ont completement baissés les bras, Safari est sans doute le pire des navigateurs internet du moment; ce qui me semble assez dingue et même inquiétant pour une boite de ce qualibre !
Pour en revenir à Opera, Jon Stephenson von Tetzchner à finit par claquer la porte, en 2011, quand il à vu les bétises que faisait Håkon Wium Lie; (la vers 15 était une catastrophe, et j'ai perdu tous mes bookmarks avec la mise à jour, plus de signets..)
Alors Depuis, en 2015 Jon Stephenson von Tetzchner à refait surface avec un nouveau navigateur : Vivaldi ( https://vivaldi.com/ ) que j'utilise maintenant, car il est resté dans l'esprit de l'ancien Opéra, avec de bonnes évolutions.
Désolé pour ce long papier, mais l'opéra d'aujourd'hui n'est plus que l'ombre de lui-même, et s'il n'y a un navigateur à ne pas perdre de vue, ce serait plutôt Vivaldi.
des ptits liens en plus :
https://en.wikipedia.org/wiki/Compar...rowser_engines
https://en.wikipedia.org/wiki/Compar...ngines_(HTML5)
https://en.wikipedia.org/wiki/Compar..._Style_Sheets)
une BD sur la création d'Opera...
http://opera-fr.ovh/opera-a-20-ans/
PS: Vivaldi aussi à une très belle gestion de signetsle 15/07/2017 à 1:08 -
Amlys.pCandidat au ClubC'est vrai que je suis du même avis que Aurelien Plazzotta mais sur d'autres sujets...
Opera est pour moi, le meilleur de tous actuellement. Commençons par l'interface qu'il propose et l'integration des messagerie, du bloqueur de pub (pour ceux qui l'utilisent), un vpn et extraction de vidéo très utile dans les tutos et pleins d'autres choses...
La popularité de Opera ne lui permet pas de se placer 5eme mais plutot dans "autres" et c'est très dommage.
Pendant ce temps, les autres navigateurs continuent à bouffer de la batterie et à mal gérer les onglets quand on en a plus de 20, chose que Opera gère par excellence sansle 10/07/2017 à 1:00 -
SurferIXMembre chevronnéSuper intéressant, premier post que je trouve constructif depuis belle lurette sur dvp. J'ai installé Vivaldi et les deux premiers points que je note : (1) mêmes options en ligne de commande que Chrome, génial (Opéra, par exemple, n'a pas la possibiltité de démarrer en mode privé) (2) tout le déboguage est identique à Chrome on dirait qu'ils ont recompilé Chrome avec une interface un peu différente ! -> bye bye Operale 17/07/2017 à 14:35
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UtherExpert éminent sénior
Envoyé par psychadelic Envoyé par psychadelic
Mais au fond il gare la base de Webkit. Aujourd'hui, pas même Google ou Microsoft ne peuvent se permettre de recréer un moteur de zéro.Envoyé par psychadelic
Enfin il y a bien une réécriture presque de zero qui s'appelle Servo, mais c'est juste un projet de R&D qui sert a tester les idées à intégrer à Firefox. Il ne sera probablement jamais un vrai moteur. Pou en arriver là, il faudrait qu'il mettent autant de personnes dessus que sur Firefox (ce qui est loin d'être le cas actuellement) pendant de longues années.Envoyé par psychadelic
Rien de surprenant : tout comme Opera, Vivaldi est basé sur Chromium dont il a visiblement repris même une partie de l'interface. Bref ces deux navigateur sont un peu des super addons de Chromium. Ils apportent certainement des nouveauté a l'expérience utilisateur, mais au niveau des standards du web, il ne font que renforcer la main mise de Google vu qu'ils dépendent entièrement de lui.le 17/07/2017 à 18:21 -
psychadelicExpert confirméC'est justement la raison pour laquelle j'ai cité le site (HTML5TEST) car il permet de se rendre compte de tout ce qui manque encore à réaliser pour les navigateurs internet.Il suffit de regarder le test des navigateurs ( https://html5test.com/ ) pour se rendre compte des manquements restant à combler.
Je n'ai écris nulle part que les nouveau moteurs de rendu sont partis de zéro.Donc même google à du abandonner son ancien moteur de rendu ( WebKit ) en utilisant Blink (initié par Chromium), Opéra à suivi (en abandonnant presto)
Mais pour moi, quand on fork du code/projet, on abandonne bien un développement pour se consacrer au nouveau. Je ne pense pas avoir fait une erreur sémantique (qui puisse trahir le sens de ce que je dis) sur ce coup la...
De toutes façon mon propos ne s'intéresse pas de savoir comment sont réellement réalisés ces moteurs de rendus, mais par le fait qu'il à bien fallut devoir tout repenser pour réponde aux nouveaux enjeux de l'HTML5.
Et ceux du CSS3 (qui y sont inclus) aussi : j'ai découvert récemment le CCS3TEST : http://css3test.com
Autant te prévenir d'avance, ce n'est pas le score de tel ou tel navigateur qui m'intéresse ici, mais la liste (conséquente) des instructions css3 que l'ensemble des navigateurs doivent réaliser pour respecter cette norme.
(pour ma part j’attends avec impatience l'utilisation pleine et entière des variables en css3 sur l'ensemble des navigateurs) => http://caniuse.com/#search=var , https://developer.mozilla.org/fr/doc..._variables_CSSle 18/07/2017 à 13:33 -
UtherExpert éminent sénior
Envoyé par psychadelic Envoyé par psychadelic
A la limite on peut dire que Google abandonne la communauté Webkit. Mais pour moi, quand on forke on projet, on ne l'abandonne pas, c'est plutôt le contraire : on essaie de se l'approprier d'avantage. Rien du travail de Google n'est abandonné, c'est juste que son travail à venir va bénéficiera a une communauté plus restreinte et qu'ils contrôlent mieux.Envoyé par psychadelic le 18/07/2017 à 15:26 -
psychadelicExpert confirméOn va pas se battre, les specs de la famille HTML5 sont justes encadrés par le W3C ; ce qui y est mis est proposé par les membres de ce consortium, cad : Microsoft, Apple, Google, Mozilla, et d’autres comme l’INRIA en France.
Il y a certainement des trucs qui n’aboutirons pas, mais en principe ils ne s’amusent pas à en rajouter pour le plaisir, car leur but c’est d’avoir « le même web pour tous » (~ la devise du W3C).
Les points données par le html5test n’en demeurent pas moins un moyen d'évaluer et mesurer dans le temps les efforts fournis par les fabricants de navigateurs*: en 2010 pas un seul d’entre eux ne dépassait les 200 points!
(il y a un graphe sur leur site)
Alors même si le HTML5Test n’est pas forcément la panacée, il n’en reste pas moins un bon indicateur, qui n’a ne serait-ce que le mérite d’exister et de mettre d’accord sur des tests standardisés.le 18/07/2017 à 23:51 -
Aurelien PlazzottaMembre extrêmement actifEt le navigateur Opéra d'Opera Software, il est où ? Son directeur technologique est le créateur du CSS. L'entreprise a été la première à intégrer un groupe de travail du consortium W3C pour faire avancer la recherche de nouvelles normes du web et a aussi innové en matière de compression de données et de gestion du parallélisme avec les onglets et bien d'autres chose que j'ignore.
Je trouve cela honteux d'avoir noyé Opera parmi la classification "others". L'entreprise a certes toujours été larguée au compteur des parts de marché avec ses éternels 2% mais je trouve que les deux articles cités en source du présent article faussent l'information en masquant délibérement un acteur de poids pour le fondre dans les supposés 2,29% de parts de marché pour la catégorie "autres".
Concernant Chrome, il n'est pas étonnant qu'il domine Firefox, il sera toujours plus en avance technologiquement que le navigateur de la fondation Mozilla tant que Google finance 90% des recettes de Firefox, grâce à son plan triennal en échange de l'implémentation du moteur de recherche Google par défaut sur Firefox.
Le plan a été renouvellé deux fois il me semble et permet à Google d'ordonner à l'équipe de Mozilla de ne jamais surpasser technologiquement Chrome.
Depuis la signature de ce pacte, aucun progrès technologique notable n'a été a signaler du côté de Firefox. De plus, les innovations de Chrome ne sont jamais déployées avant des semaines voire des mois sur Firefox pour ne pas faire ombrage au premier. Firefox n'est plus leader depuis que Google finance Mozilla il y a près d'une décennie.
Le projet de Mozilla de développer un système d'exploitation mobile aurait été un moyen de diversifier ses revenus et de se libérer partiellement de l'emprise de Google sur sa trésorerie et in fine, sur la gouvernance des équipes de Firefox, à moins bien sûr, que Mozilla n'eût l'intention de renforcer son partenariat publicitaire avec Google et son moteur de recherche sur feu son OS mobile ...
EDIT:
Ok Uther, merci pour toutes ces précisionsle 06/07/2017 à 16:53