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Les cryptomonnaies ont échoué à tenir leurs promesses initiales et l'ensemble du marché est désormais en perte de vitesse,
D'après The Economist

Le , par Bill Fassinou

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Après plus d'une décennie de battage médiatique, les cryptomonnaies connaissent un échec lamentable. La valeur de marché de toutes les cryptomonnaies est passée de 250 milliards de dollars au début de 2020 à 3 000 milliards de dollars à la fin de 2021. Mais depuis, elle est retombée à 1 300 milliards de dollars et continue de chuter. Plus important encore, la confiance du public dans les cryptomonnaies a atteint son niveau le plus bas après une série d'escroqueries et d'effondrements très médiatisés, notamment la chute brutale de la bourse de cryptomonnaies FTX en novembre 2022. Les cryptomonnaies sont de plus en plus réprimées et menacées par d'autres projets.

L'effondrement brutal des cryptomonnaies a laissé des millions investisseurs lésés

Les cryptomonnaies ont été créées à partir d'une idéologie visant à offrir une liberté financière à leurs utilisateurs. La mission et l'idée (la vision de Satoshi Nakamoto, le pseudonyme utilisé par le créateur du Bitcoin dont on ignore jusque-là l'identité réelle) qui les sous-tendent sont tout à fait nobles et pionnières. Elles sont censées devenir un moyen de paiement et d'échange sans aucun contrôle (ni frais) de la part des institutions officielles et des gouvernements. Mais après avoir connu un succès soudain au début de cette décennie, le marché des cryptomonnaies fait face à une baisse sans précédent, les actifs se dépréciant les uns après les autres.

Les prix des jetons s'effondrent, les entreprises licencient à tour de bras et certains des noms les plus populaires du secteur font faillite. En 2022, le chaos a effrayé les investisseurs, effaçant plus de 2 000 milliards de dollars de valeur en quelques mois, et anéantissant les économies des petits commerçants qui avaient misé gros sur des projets de cryptomonnaies présentés comme des investissements sûrs. Tout a commencé après le fiasco de la cryptomonnaie Luna du réseau Terra en mai 2022. Cet événement a eu de graves conséquences non seulement pour les investisseurs, mais également pour l'écosystème des cryptomonnaies dans son ensemble.


De nombreux investisseurs ont perdu toutes leurs économies placées dans le jeton Terra, un stablecoin dont la capitalisation boursière s'élevait à plus de 18 milliards de dollars avant le krach. Les stablecoins sont censés avoir un prix égal à celui du dollar américain ou d'une autre entité fiduciaire et existent principalement pour que les investisseurs en cryptomonnaies puissent entrer et sortir facilement de la monnaie fiduciaire sans qu'une tierce partie (dans ce cas, une banque) ait à approuver ces transactions. Luna ayant perdu 99,9 % de sa valeur, Terraform Labs (l'entreprise à l'origine de Terra) a élaboré un plan afin de rétablir l'ancrage à 1 dollar.

Le plan de Terraform Labs consistait à vendre l'ensemble de ses réserves de bitcoins, mais l'entreprise n'a pas réussi à aller au bout de son projet. En conséquence, le marché des cryptomonnaies a perdu plus de 40 milliards de dollars. Les investisseurs ont perdu confiance et ont commencé à vendre leurs actifs numériques, ce qui a provoqué un bain de sang sur le marché des cryptomonnaies. De juin 2022 à aujourd'hui, un nombre très impressionnant d'entreprises liées de près ou de loin aux cryptomonnaies ont déposé le bilan. C'est le cas de Celsius Network, Voyager Digital, CoinFlex, Hodlnaut, Three Arrows Capital, Silvergate Bank, BlockFi, FTX, etc.

Le cas de FTX a révélé que les dirigeants de l'entreprise avaient mis au point un gigantesque réseau d'escroquerie, utilisant les fonds des clients pour acheter des villas dans les paradis fiscaux. La bourse de cryptomonnaies FTX Group était composée d'au moins 132 différentes succursales. La chute de FTX est la dernière plus grande catastrophe du marché des cryptomonnaies, qui a révélé une gestion calamiteuse, laissé plus d'un million de créanciers et l'on n'a pas fini de mesurer l'étendue des dégâts. Le fondateur de FTX, Sam Bankman-Fried, sera jugé à partir d'octobre pour fraude et d'autres chefs d'accusation et risque jusqu'à 115 ans de prison.

Les adeptes des cryptoactifs changent de posture et appellent à une réglementation

Les transactions en cryptomonnaies promettaient une plus grande efficacité et l'absence de contrôle fastidieux de la part des gouvernements. Pourtant, aucun de ces avantages ne s'est réellement concrétisé. Les transactions doivent toujours être vérifiées par des ordinateurs qui conservent une copie de la blockchain associée, une des raisons pour lesquelles Coinbase, une bourse de cryptomonnaies américaine cotée en bourse, facture des frais de 1 % pour les paiements. Si l'on ajoute les frais liés à l'entrée et à la sortie de l'argent de la cryptomonnaie, les coûts globaux sont assez élevés, parfois plus élevés que les transactions en monnaies fiduciaires.

Il n'est pas facile non plus d'éviter la surveillance des gouvernements. Pour passer d'une monnaie traditionnelle à une cryptomonnaie, les utilisateurs doivent utiliser des rampes d'accès, qui tendent à être des plateformes centralisées comme Coinbase ou Binance (les tiers de confiance dont les cryptomonnaies voulaient se passer). Il en va de même pour les stablecoins. Des plateformes décentralisées comme Uniswap existent, mais elles sont difficiles à utiliser et comportent des risques, comme la perte de la clé privée, un mot de passe qui ne peut jamais être récupéré. L'extraction de bitcoins entraîne également des coûts environnementaux considérables.

Par ailleurs, les entreprises de cryptomonnaies ont échoué non seulement à se passer des structures financières traditionnelles, mais elles se disent aujourd'hui prêtes à être régulées par les gouvernements. Les défenseurs de la cryptomonnaie affirment vouloir une réglementation pour réduire l'incertitude et regagner la confiance des consommateurs après le carnage. Cependant, les régulateurs vont souvent beaucoup plus loin que ce à quoi beaucoup s'attendaient. Le gouverneur de la Reserve Bank of India, Shaktikanta Das, a déclaré que les cryptomonnaies n'avaient "aucune valeur intrinsèque" et qu'il pourrait en interdire la plus grande partie.

En janvier dernier, les régulateurs américains ont déclaré que les cryptoactifs sur les réseaux décentralisés étaient très probablement incompatibles avec des pratiques bancaires sûres et saines. Le gouvernement a également saisi la Signature Bank, qui était une banque de premier plan pour l'industrie des cryptomonnaies, après son effondrement en mars. Selon les experts, l'arrivée d'une réglementation sur les cryptomonnaies rendra les transactions plus coûteuses. Une grande partie du coût des transactions financières proviendrait du respect de réglementations telles que les lois sur la connaissance du client et la lutte contre le blanchiment d'argent.

La question qui se pose alors est la suivante : si les cryptomonnaies sont soumises à la même réglementation que les entreprises fintechs, offrent-elles quelque chose d'unique et de précieux ? Notons également que les attitudes à l'égard des cryptomonnaies se sont polarisées. Pour certains, la promesse de révolutionner la finance a été anéantie. Par exemple, Singapour, qui était autrefois une plaque tournante pour le marché mondial des cryptomonnaies, a demandé à Binance d'interrompre ses activités à partir de décembre 2022. Le pays n'aurait délivré que dix licences sur quelque 600 demandes récentes de création d'entreprises de cryptomonnaies.

Pas moins de 25 des 45 pays étudiés par le groupe de réflexion Atlantic Council auraient imposé des interdictions partielles ou totales sur les cryptomonnaies. La Chine s'est également lancée dans une répression sanglante des cryptomonnaies depuis 2019. L'Union européenne envisage une taxe sur les cryptomonnaies, ce qui pourrait également augmenter les frais de transaction à l'avenir. En gros, les cryptomonnaies n'ont pas leur promesse de garantir une inclusion financière à tout le monde.

Les promesses non tenues des cryptomonnaies rendent leur avenir plus qu'incertain

Selon un rapport de The Economist, des poches d'espoir subsistent pour les cryptoactifs. Le prix du bitcoin a augmenté de près de 70 % cette année, notamment à la suite de l'effondrement de la Silicon Valley Bank. Certaines données suggèrent que les cryptomonnaies gagnent plus d'adeptes dans les pays faibles qui sont affligés par une forte inflation ou une dépréciation de la monnaie, comme l'Argentine et le Nigeria. Cela révèle une vérité plus profonde, à savoir que les arguments les plus solides en faveur de l'utilisation des cryptomonnaies ont toujours été avancés dans les pays où les solutions de rechange sont les plus mauvaises.

Pour les analystes, les cryptomonnaies peuvent servir de couverture dans ces régions du monde. « Le bitcoin en monnaie libanaise a augmenté d'environ 6 000 % », affirme Alex Chehade qui dirige la filiale de Binance à Dubaï. Les gouvernements peuvent également augmenter la demande. Selon Kim Grauer, responsable de la recherche chez Chainanalysis, qui étudie les données issues des blockchains, les contrôles de capitaux nigérians et les restrictions argentines sur la détention de dollars sont autant de raisons de transférer des fonds vers les stablecoins et les bitcoins. Leurs gouvernements pourraient détecter un risque pour la stabilité financière.

Leurs citoyens y voient une alternative aux fonctionnaires incompétents ou corrompus. Un autre cas fréquemment cité est celui des paiements transfrontaliers, en particulier pour les paires de devises non liquides. « Aujourd'hui, la mondialisation a été plafonnée à 10 000 dollars », explique Navin Gupta, un banquier qui travaille aujourd'hui chez Ripple, une société de cryptomonnaies qui effectue des paiements internationaux. Les frais transfrontaliers représentent une part plus importante de la valeur des petits paiements en raison des frais fixes élevés, qui découragent complètement les consommateurs de faire certaines transactions.

Ripple permet aux cryptomonnaies de servir d'intermédiaires entre les monnaies traditionnelles, ce qui réduit les coûts. L'entreprise, qui valait 15 milliards de dollars au début de l'année 2022, a traité quelque 30 milliards de dollars par l'intermédiaire de son service transfrontalier en cinq ans. À titre de comparaison, la fintech Wise a traité 33 milliards de dollars au cours du premier trimestre 2023. Elle réduit les coûts en effectuant des transferts nationaux parallèles au lieu de deux transferts transfrontaliers. Une étude de la Banque mondiale révèle que les coûts des transferts de fonds transfrontaliers sont passés de 7 % il y a dix ans à 5 %.

Et si les consommateurs sont suffisamment avisés pour utiliser la meilleure option, les coûts de transfert pourraient alors tomber à 3 % seulement. En 2015, Vitalik Buterin, cofondateur d'Ethereum, a écrit un billet de blogue dans lequel il admettait que le secteur des cryptomonnaies n'avait pas encore trouvé son "application vedette". L'article de Buterin allait au-delà des paiements et des aspects financiers de la cryptomonnaie. Pourtant, son point de vue est toujours d'actualité.

En fin de compte, les cryptomonnaies ne vont pas refaire le système financier mondial parce qu'elles ne se sont pas révélées efficaces ni à l'abri de la réglementation. Au lieu de cela, les banques centrales pourraient être un meilleur candidat au changement numérique.

Source : The Economist

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Avatar de Heydrickx
Membre à l'essai https://www.developpez.com
Le 12/10/2023 à 14:21
Sam Bankman-Fried, dirigeant en disgrâce dans le secteur des cryptomonnaies, pensait qu'il y avait "5 % de chances qu'il devienne président"
Non mais 5% c'est bien...
Moi sur une échelle de 13 à 46; de 13 à 27 je reste un mandaï qui tape du code, de 27 à 45, je me fait virer pour incompétence, et seulement à 46 je deviens chef de la boîte.

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Avatar de marsupial
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 11/10/2023 à 17:55
Ellison a déclaré qu'Alameda avait finalement dérobé environ 14 milliards de dollars aux clients de FTX.
Le moins que l'on puisse dire est qu'ils avaient de gros besoin
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Avatar de Gluups
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 12/01/2024 à 1:28
Citation Envoyé par Mathis Lucas Voir le message
Le directeur général du fonds spéculatif de cryptomonnaies Hyperverse, qui s'est effondré, ne semble pas exister
l'escroquerie aurait coûté plus de 1,3 milliard de dollars aux investisseurs

La société australienne de cryptomonnaies Hyperverse s'est effondrée il y a environ deux ans emportant dans sa chute plus de 1,3 milliard de dollars appartenant aux investisseurs. Mais la chose la plus troublante dans l'histoire, c'est qu'une enquête a révélé que le directeur général de l'entreprise n'existe peut-être pas. L'enquête rapporte que les qualifications du mystérieux directeur général de Hyperverse, un certain Steven Reece Lewis, semblent toutes avoir été falsifiées dans le but d'inciter les investisseurs à injecter de l'argent dans l'entreprise. Son profil indique qu'il a travaillé chez Adobe et Goldman Sachs, mais ces entreprises n'ont aucune trace de lui.
Voilà le genre de chose qu'il est intéressant de vérifier avant de donner des sous, plutôt qu'après les avoir perdus.

Citation Envoyé par Mathis Lucas Voir le message
Plus précisément, il s'agit d'un personnage fictif et ses qualifications ont toutes été inventées dans le but d'inciter les investisseurs à injecter de l'argent dans le projet HyperVerse. Cependant, lors du lancement d'HyperVerse entre fin 2021 et début 2022, une personne a bel et bien été payée pour jouer le rôle de Steven Reece Lewis : il s'agit de l'Anglais Stephen Harrison vivant en Thaïlande. Resté muet depuis l'effondrement d'HyperVerse, Stephen Harrison est récemment sorti de son silence et a déclaré qu'il a été payé pour jouer le rôle, recevant 180 000 bahts thaïlandais (environ 4 665 euros) sur neuf mois et un costume gratuit en guise de paiement.
Oh, mais alors si il a reçu un costume, tout va bien !
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Avatar de kain_tn
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 02/09/2024 à 23:01
Citation Envoyé par Jade Emy Voir le message
Les chercheurs commentent l'étude en déclarant :
Nous avons constaté que la possession de cryptomonnaies était associée à la croyance dans les théories du complot, à des caractéristiques de personnalité "sombres" (par exemple, la "tétrade sombre" du narcissisme, du machiavélisme, de la psychopathie et du sadisme) et à l'utilisation plus fréquente de plateformes de médias sociaux alternatifs et marginaux. L'examen d'un modèle multivarié plus complet révèle que les variables qui prédisent le plus fortement la possession de cryptomonnaies sont le fait d'être un homme, d'utiliser les médias sociaux alternatifs/frangés comme principale source d'information, d'être argumentatif et d'avoir une aversion pour l'autoritarisme. Ces résultats ouvrent de nombreuses pistes pour de futures recherches sur les personnes qui achètent et échangent des cryptomonnaies et témoignent de tendances mondiales plus larges en matière d'attitudes anti-establishment et de comportements non normatifs.
Ah ouais, rien que ça. Il ne manque plus que les reptiliens, dans leur étude

Qu'on apprécie ou pas les cryptomonnaies, quand ça en arrive à ce point là, ça commence sérieusement à ressembler à du FUD.

Pour ceux qui aiment les corrélations farfelues
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Avatar de mith06
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 23/06/2023 à 8:23
Faites ce qu'ils font pas ce qu'ils disent.
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Avatar de Prox_13
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 12/10/2023 à 10:28
Ohoh, donc ce ne sont désormais plus des allégations contre lui mais bien des témoignages accablants.

Ce qui voudrait dire que M. Bankman-Fried (J'adore ce nom, parfois le hasard fait extrêmement bien les choses), a non seulement allègrement menti, mais deux de ses complices se sont retournés contre lui désormais en plaidant coupable de leur complicité dans cette escroquerie.

Va-t-il de nouveau jouer la carte de l'anti-sémitisme?
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Avatar de AoCannaille
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 12/01/2024 à 10:22
Citation Envoyé par Gluups Voir le message
Oh, mais alors si il a reçu un costume, tout va bien !
Fillion est bien d'accord avec toi !
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Avatar de Fagus
Membre expert https://www.developpez.com
Le 12/01/2024 à 13:11
Ce qui serait un peu gros, ce serait de le prendre comme seul coupable.

C'est un montage très classique. Certaines citées état en Asie pour ne pas les nommer sont spécialisées dans l'hébergement de ce genre de fraudes financières. C'est des montages avec des dizaines de sociétés écran imbriquées qui ont 0 fonds propres. S'il y a une enquête, les autorités locales traînent des pieds pendant des années pour donner le nom du propriétaire de la société écran (mais pour les dizaines d'autres il faut ouvrir une autre procédure à chaque fois). Le "propriétaire" de la société, c'est toujours un pauvre type auquel on a donné 3 sous pour qu'il mette son nom sans comprendre ce qu'il signe.
Quand on veut tracer l'argent, il ne fait que transiter d'une société écran à l'autre.

Ce type, c'est juste un comédien en effet, parmi d'autres prête-nom qui ont été recrutés.

Donc, les investisseurs de 1er ordre qui choisissent ce genre de sociétés, il savent (ou devraient) savoir dans quoi ils mettent la main. Ensuite, ce sont eux qui trouvent des client pigeons pour leur faire confiance.

Et mon agent m'a dit : "beaucoup de personnes font cela dans le métier. C'est tout à fait normal"
c'est sans doute la seule chose vraie que son agent lui a révélée.
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Avatar de JackIsJack
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 03/09/2024 à 7:55
Cette étude est un complot et ne prouve rien ! Vive les cryptomonnaies !

(joke)
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Avatar de Fluxgraveon
Membre actif https://www.developpez.com
Le 03/09/2024 à 8:57
Il ne manque plus que les reptiliens, dans leur étude
Ils sont visibles dans les graphiques.
Cela dit, une étude révélatrice de l'économie actuelle, hautement spéculative.
Certains acteurs de l'espace cryptographique, comme le youtuber et podcasteur Luke Martin, n'ont pas été surpris par les conclusions de l'étude. Il a écrit sur X : "Oui, il faut être un peu fou pour conserver des pièces de monnaie pendant plusieurs baisses de 80 % avant qu'elles ne soient multipliées par 10. C'est une caractéristique, pas un bug".
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