
Il faut rappeler que c’est le trafic routier à Los Angeles qui a poussé Elon Musk à vouloir mettre en œuvre son projet dont le but est d’en finir avec les embouteillages grâce à un réseau souterrain de tunnels transportant les voitures à plus de 200 km/h. En décembre dernier, le milliardaire de la Tech n’a pas caché son exaspération à l’égard des embouteillages dans la ville de Los Angeles : « Les embouteillages me rendent dingue », avait-il dit dans un tweet. « Je vais construire une machine à forage de tunnels et commencer à creuser », a-t-il continué.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Elon Musk est passé à l’action, juste quelques heures après l’annonce : une plateforme marketing déjà créée pour le projet. Et quelques jours plus tard : un nom de domaine, un chef de projet et le début de la conception du système. En avril dernier, Elon Musk a annoncé la construction d’un tunnel de démonstration dans l’espace de stationnement de SpaceX. En mai, il a publié les premières vidéos sur les tests de ses tunnels anti-embouteillages. Cela indique qu’il est bien équipé sur le plan technologique pour mettre en œuvre son projet. Mais pour aller plus loin, Elon Musk a besoin d’autorisations publiques pour déployer ses tunnels au-delà de sa propriété ; ce qui ne devrait pas être un obstacle, au moins pour la ville de Los Angeles.
Source : Elon Musk (Twitter)