80% des jeunes diplômés de 2008 en IT ont trouvé un emploi
Selon l'Apec
Le 2009-10-14 02:41:31, par Katleen Erna, Expert éminent sénior
80% des jeunes diplômés de 2008 en IT ont trouvé un emploi, selon l'Apec
L'Apec vient de publier les résultats d'une étude qu'elle avait menée au printemps dernier, en interrogeant quatre mille jeunes diplômés (niveau minimum Bac+4) issus de l'enseignement supérieur en 2008. Dans cet ensemble de sondés tout juste sortis du cursus éducatif, 68 % ont trouvé un travail. Des chiffres plutôt encourageants dans cette période de récéssion économique.
Si l'on ne se préoccupe désormais que des seuls 7% de répondants spécialisés en informatique, les chiffres sont encore meilleurs car 80% d'entre eux occupent maintenant un poste.
Les disciplines des TIC ont donc le vent en poupe et un taux d'emploi élevé, même si les chiffres ont baissé par rapport aux promotions 2007 et 2006 (respectivement 91 % et 90%) qui ne ressentaient pas, elles, les effets d'une économie morose.
L'Apec précise également que le nombre d'offres à destination des débutants publiées sur son site à baissé de 38 % entre janvier et août 2009.
En revanche, la recherche d'emploi semble toujours se dérouler de façon optimale puisque 50 % des embauchés a mis moins d'un mois pour trouver ce premier emploi.
Malheureusement les chiffres font à nouveau preuve de décroissance en ce qui concerne la signature de CDI ( - 7%) et la proportion de postes de cadres (- 6%), par rapport à la promotion précédente. Le salaire médian encaisse également une chute par rapport à 2007, tandis que le salaire moyen reste similaire avec 27 000 euros bruts par an, contre 27 300 l'an dernier (et 26 100 euros il y a deux ans).
Pour aider les jeunes diplômés dans leur recherche d'emploi, l'Apec leur propose des tutoriels et des modules de e-learning. En novembre et décembre 2009, l'Apec Booster Tour tournera dans huit villes avec l'objectif de les aider à développer leur réseau professionnel. Rendez-vous le 10 novembre à Toulouse, le 17 à Nantes, le 20 du côté de Lille et Roubaix, puis en décembre, le mercredi 2 à Marseille, le 7 à Bordeaux, le 10 à Strasbourg, le 15 à Lyon et, enfin, le 17 à Paris.
L'Apec vient de publier les résultats d'une étude qu'elle avait menée au printemps dernier, en interrogeant quatre mille jeunes diplômés (niveau minimum Bac+4) issus de l'enseignement supérieur en 2008. Dans cet ensemble de sondés tout juste sortis du cursus éducatif, 68 % ont trouvé un travail. Des chiffres plutôt encourageants dans cette période de récéssion économique.
Si l'on ne se préoccupe désormais que des seuls 7% de répondants spécialisés en informatique, les chiffres sont encore meilleurs car 80% d'entre eux occupent maintenant un poste.
Les disciplines des TIC ont donc le vent en poupe et un taux d'emploi élevé, même si les chiffres ont baissé par rapport aux promotions 2007 et 2006 (respectivement 91 % et 90%) qui ne ressentaient pas, elles, les effets d'une économie morose.
L'Apec précise également que le nombre d'offres à destination des débutants publiées sur son site à baissé de 38 % entre janvier et août 2009.
En revanche, la recherche d'emploi semble toujours se dérouler de façon optimale puisque 50 % des embauchés a mis moins d'un mois pour trouver ce premier emploi.
Malheureusement les chiffres font à nouveau preuve de décroissance en ce qui concerne la signature de CDI ( - 7%) et la proportion de postes de cadres (- 6%), par rapport à la promotion précédente. Le salaire médian encaisse également une chute par rapport à 2007, tandis que le salaire moyen reste similaire avec 27 000 euros bruts par an, contre 27 300 l'an dernier (et 26 100 euros il y a deux ans).
Pour aider les jeunes diplômés dans leur recherche d'emploi, l'Apec leur propose des tutoriels et des modules de e-learning. En novembre et décembre 2009, l'Apec Booster Tour tournera dans huit villes avec l'objectif de les aider à développer leur réseau professionnel. Rendez-vous le 10 novembre à Toulouse, le 17 à Nantes, le 20 du côté de Lille et Roubaix, puis en décembre, le mercredi 2 à Marseille, le 7 à Bordeaux, le 10 à Strasbourg, le 15 à Lyon et, enfin, le 17 à Paris.
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je pense qu'il y a deux raisons:
- Crise ou pas crise, le réseau faut qu'il marche, l'imprimante aussi, l'extranet, l'intranet, les appli de gestion etc...
- En cette période de crise, c'est une aubene pour le recrutement, car tu as d'un coup un certain nombre de gens talentueux sur le marche du travail, moi de compétiteur pour mettre le grapin sur les talentueux jeunes diplômes.
Les TIC sont devenues trop importantes dans notre société pour pouvoir s'en priver car "on a pas les sioux".le 14/10/2009 à 3:38 -
PtigrouickMembre actif7% de 4000, ça fait un échantillon de 280 individus en ce qui concerne la spécialité informatique. Je ne pense pas que l'on puisse tirer la moindre conclusion statistique à partir d'un échantillon aussi faible...le 14/10/2009 à 9:24
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yoyo88Membre chevronnéle 14/10/2009 à 13:21
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MoscoBladeMembre confirmévoir même les bac + 2le 14/10/2009 à 14:04
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MelkiorMembre à l'essaiET moi parmis les 80% de 2008 j'aimerais savoir combien ont gardé leur place
Je suis aussi curieux de connaitre les chiffres de 2009.
On compte bien les CDI? Pas les stages et autres emplois précaires?le 14/10/2009 à 16:08 -
SkyounetExpert éminent séniorJe suis diplômé de 2009 et j'ai déjà un emploi également, comme tous mes camarades de promos !le 14/10/2009 à 16:10
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yoyo88Membre chevronnéidem!Je suis diplômé de 2009 et j'ai déjà un emploi également, comme tous mes camarades de promos !
après un contrat d'apprentissage ma boite ma proposé un petit CDD de 9 mois.
pour mes autre camarade de promo, c'est assez varier, disons que tous font quelque chose (poursuite d'étude, ou boulot) mais pas forcement dans l'info (mais bon on n'est diplômé que depuis un mois).le 14/10/2009 à 16:20 -
QwertMembre actifJe suis d'accord mais tu peux bloquer le developpement de beaucoup de projets. Dans la maintenance et le maintien de la production, crise ou pas crise, ca doit tourner ... maintenant, les dev et migrations... ca peut attendrele 14/10/2009 à 16:25
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les dev et les migrations de complaisance d'accord, mais pas quand il s'agit d'appli critique. Crois-moi j'en ai fait des developments et des migrations ses 12 derniers mois. Car si on migrait pas, le serveur tombait en rad et on fermait. Si on continuait pas a developper, on se faisait bouffait par la concurrence et on mettait egalement la cle sous la porte. Réultat des courses, on a recrute et travailler comme des maboules, sinon on survivait pas.le 14/10/2009 à 16:37
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dawamanMembre régulierle 15/11/2009 à 15:32