Recrutement : comment éliminer les mauvais développeurs ?
Un spécialiste suggère de payer les candidats pour les problèmes à résoudre
Le 2015-09-25 14:36:32, par Michael Guilloux, Chroniqueur Actualités
Les entreprises et cabinets de recrutement sont à la recherche continuelle de la meilleure technique pour embaucher des candidats dans l’IT. En effet, quand on arrive à la question d’embaucher le candidat que l’on recherche, le domaine spécifique de la technologie défit toutes les techniques qui ont été prouvées comme efficaces dans les autres domaines. Dans la quête d’une méthode efficace, plusieurs spécialistes ont suggéré des techniques qui pourraient permettre de réduire les chances de recruter les mauvais candidats, dans la mesure où les méthodes traditionnelles avaient tendance à écarter les meilleurs.
Parmi ceux-ci, Amir Yasin, CTO et cofondateur de June – une société US spécialisée dans le recrutement des talents IT – suggère une méthode qu’ils ont testée et qui s’est avérée efficace pour mettre en relation des professionnels seniors de l’IT avec les entreprises US qui recrutent le plus dans ce domaine. Selon Yasin, la meilleure technique serait une combinaison de deux idées : payer les candidats pour les problèmes qu’ils devront résoudre ; et les faire venir dans l’entreprise pour discuter la solution proposée.
Le paiement devrait être toutefois substantiel. Yasin propose par exemple de payer 100$ par heure, après estimation du temps normalement nécessaire pour résoudre le problème. La méthode utilisée par sa société repose sur 6 règles fondamentales :
Règle N°1 : donner le weekend pour résoudre le problème. Le CTO de June pense qu’il faut inviter le candidat au bureau le vendredi pour lui présenter le problème et expliquer comment vous souhaiteriez que le problème soit résolu. Ensuite, il faudrait lui donner tout le weekend pour résoudre le problème, afin de présenter sa solution le lundi.
Règle N°2 : ne pas utiliser un vrai problème de l’entreprise. Selon Yasin, le problème à résoudre devrait être autonome des outils de l’entreprise. Il ne devrait pas porter sur le système propriétaire de l’entreprise en utilisant des outils sur lesquels les employés devraient normalement être correctement formés.
Règle N°3 : la solution attendue doit être claire, mais ouverte à l'amélioration. Le recruteur doit être en effet très clair sur la solution attendue, en laissant toutefois des champs d’amélioration que le candidat pourrait exploiter. Cela permet de voir si le candidat va se contenter de faire strictement ce qui lui a été demandé ou va faire beaucoup plus. Toujours est-il que la finalité est que la solution finale soit satisfaisante.
Règle N°4 : le candidat présente sa solution le lundi devant un groupe. Les membres du groupe viennent préparés à la présentation de la solution finale, après en avoir pris connaissance au préalable pour préparer leurs questions. Cette étape permet au candidat de justifier ses choix de conception et de codage. Mais, elle permet également de voir comment est-ce que le candidat se défend face aux critiques. Comme l’explique Yasin, le plus gros problème qu’il a rencontré dans les entretiens d’embauche de professionnels de l’IT, c’est que certains candidats peuvent être facilement sur la défensive lorsque leurs solutions sont attaquées. A cette étape, il conteste donc volontairement la solution proposée pour voir comment va réagir le candidat. Est-il sur la défensive ? Autrement dit, est-ce qu’il défend sa solution avec ses émotions ? Dans ce cas, c’est un candidat à éliminer. Dans le cas contraire, s’il défend sa solution en se basant sur des faits rationnels, alors c’est un candidat à privilégier.
Règle N°5 : faire en sorte que le candidat puisse avoir les détails du problème à la maison. Ici, Yasin explique que vous devez permettre au candidat de poser toutes les questions qu’il a le vendredi. Mais vous devrez également vous assurer d'être disponibles pour ses questions par courriel pendant le weekend, l'objectif étant de créer un environnement de succès, comme on le ferait pour ses employés.
Règle N°6 : payez immédiatement le lundi, que le candidat soit embauché ou non.
Pour Amir Yasin, procéder de cette manière offre plusieurs avantages aussi bien pour le candidat que pour l’employeur. Pour le candidat, cela lui permet par exemple d’avoir une idée sur la façon dont vous interagissez avec des personnes dans votre équipe. Mais cela lui permet encore de mettre en valeur certaines des compétences qui figurent sur son CV, mais qui peuvent ne pas être perceptibles à partir d’une simple lecture.
Pour l'employeur, étant donné que le candidat est payé, ce dernier traite le problème comme un consultant, et donne alors son plein potentiel pour résoudre le problème. Vous pourrez également avoir une idée sur sa manière de communiquer et la façon dont il réagit face aux critiques et s’il est capable de défendre sa solution avec des arguments solides. En termes de coût et de risque liés à l’embauche, cette méthode est également avantageuse pour l’employeur. En effet, comme l’explique Yasin, « payer un candidat qui vous donne une solution terrible (ou pas de solution) est beaucoup moins cher (à la fois financièrement et émotionnellement) que d’embaucher la mauvaise personne, en passant par un plan d'amélioration de performance de 3 mois pour essayer de faire d’elle la meilleure personne et éventuellement la licencier. »
Source : Medium
Et vous ?
Que pensez-vous de cette méthode ? Quelles sont ses forces et faiblesses ? Avez-vous quelque chose à proposer ?
Forum Général Développement
Parmi ceux-ci, Amir Yasin, CTO et cofondateur de June – une société US spécialisée dans le recrutement des talents IT – suggère une méthode qu’ils ont testée et qui s’est avérée efficace pour mettre en relation des professionnels seniors de l’IT avec les entreprises US qui recrutent le plus dans ce domaine. Selon Yasin, la meilleure technique serait une combinaison de deux idées : payer les candidats pour les problèmes qu’ils devront résoudre ; et les faire venir dans l’entreprise pour discuter la solution proposée.
Le paiement devrait être toutefois substantiel. Yasin propose par exemple de payer 100$ par heure, après estimation du temps normalement nécessaire pour résoudre le problème. La méthode utilisée par sa société repose sur 6 règles fondamentales :
Règle N°1 : donner le weekend pour résoudre le problème. Le CTO de June pense qu’il faut inviter le candidat au bureau le vendredi pour lui présenter le problème et expliquer comment vous souhaiteriez que le problème soit résolu. Ensuite, il faudrait lui donner tout le weekend pour résoudre le problème, afin de présenter sa solution le lundi.
Règle N°2 : ne pas utiliser un vrai problème de l’entreprise. Selon Yasin, le problème à résoudre devrait être autonome des outils de l’entreprise. Il ne devrait pas porter sur le système propriétaire de l’entreprise en utilisant des outils sur lesquels les employés devraient normalement être correctement formés.
Règle N°3 : la solution attendue doit être claire, mais ouverte à l'amélioration. Le recruteur doit être en effet très clair sur la solution attendue, en laissant toutefois des champs d’amélioration que le candidat pourrait exploiter. Cela permet de voir si le candidat va se contenter de faire strictement ce qui lui a été demandé ou va faire beaucoup plus. Toujours est-il que la finalité est que la solution finale soit satisfaisante.
Règle N°4 : le candidat présente sa solution le lundi devant un groupe. Les membres du groupe viennent préparés à la présentation de la solution finale, après en avoir pris connaissance au préalable pour préparer leurs questions. Cette étape permet au candidat de justifier ses choix de conception et de codage. Mais, elle permet également de voir comment est-ce que le candidat se défend face aux critiques. Comme l’explique Yasin, le plus gros problème qu’il a rencontré dans les entretiens d’embauche de professionnels de l’IT, c’est que certains candidats peuvent être facilement sur la défensive lorsque leurs solutions sont attaquées. A cette étape, il conteste donc volontairement la solution proposée pour voir comment va réagir le candidat. Est-il sur la défensive ? Autrement dit, est-ce qu’il défend sa solution avec ses émotions ? Dans ce cas, c’est un candidat à éliminer. Dans le cas contraire, s’il défend sa solution en se basant sur des faits rationnels, alors c’est un candidat à privilégier.
Règle N°5 : faire en sorte que le candidat puisse avoir les détails du problème à la maison. Ici, Yasin explique que vous devez permettre au candidat de poser toutes les questions qu’il a le vendredi. Mais vous devrez également vous assurer d'être disponibles pour ses questions par courriel pendant le weekend, l'objectif étant de créer un environnement de succès, comme on le ferait pour ses employés.
Règle N°6 : payez immédiatement le lundi, que le candidat soit embauché ou non.
Pour Amir Yasin, procéder de cette manière offre plusieurs avantages aussi bien pour le candidat que pour l’employeur. Pour le candidat, cela lui permet par exemple d’avoir une idée sur la façon dont vous interagissez avec des personnes dans votre équipe. Mais cela lui permet encore de mettre en valeur certaines des compétences qui figurent sur son CV, mais qui peuvent ne pas être perceptibles à partir d’une simple lecture.
Pour l'employeur, étant donné que le candidat est payé, ce dernier traite le problème comme un consultant, et donne alors son plein potentiel pour résoudre le problème. Vous pourrez également avoir une idée sur sa manière de communiquer et la façon dont il réagit face aux critiques et s’il est capable de défendre sa solution avec des arguments solides. En termes de coût et de risque liés à l’embauche, cette méthode est également avantageuse pour l’employeur. En effet, comme l’explique Yasin, « payer un candidat qui vous donne une solution terrible (ou pas de solution) est beaucoup moins cher (à la fois financièrement et émotionnellement) que d’embaucher la mauvaise personne, en passant par un plan d'amélioration de performance de 3 mois pour essayer de faire d’elle la meilleure personne et éventuellement la licencier. »
Source : Medium
Et vous ?
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dfiad77proMembre expérimentéBon on convertie ça en modèle SS2I française
:
- 8.5€ de l'heure +30€ variables selon la solution ( qu'on ne verra jamais bien-sûr)
- Une close pour ne rien payer si le jury estime que le problème n'est pas résolu
- Les exercices à résoudre sont des commandes de leurs clients
- Faudra se déplacer sur Paris si on habite Marseille pour (pour montrer la motivation, on ne payera pas les billets de train du candidat)
La méthode telle qu’énoncée dans l'article me plait cependant.le 25/09/2015 à 14:57 -
DonQuicheExpert confirméUn cabinet de recrutement demande 10% à 33% d'une année de salaire du recruté. Ils cherchent des développeurs US séniors, payés au-delà de 100k$ par an, qui devront travailler sur leur week-end et faire éventuellement un long déplacement. Ce cabinet pourra ensuite proposer le même candidat à plusieurs sociétés.
Ces 100$ ne sont pas du tout surprenants et ils sont rentables pour tout le monde. Il va de soi que dans le contexte français il s'agirait plutôt de 60€.
Je trouve amusant que tu considères improbable de payer 1000$ pour vérifier la qualité d'un dév produisant 200k$ de valeur ajoutée par an.le 28/09/2015 à 9:44 -
Frédéric LatourMembre actifMonsieur 2tours, chercheur en informatique? Vous manquez sérieusement de rigueur.
L'allusion que vous mettez en valeur dans mon post relève de l'ironie. Elle est entre parenthèse, comme un clin d'oeil, et elle ne constitue pas du tout un thème de mon post. Je conviens que cela me dérange un peu de voir un tel massacre à l'écrit mais je suis presque blasé. Il n'y a donc aucune volonté de détourner quoi que ce soit.
Vous êtes allés lire mes précédents posts. C'est bien, il semble que vous étudiez les sujets dont vous débattez ("ironie inside". Mais il vous a certainement échappé que, aussi bien dans les posts auxquels vous faites allusion que le dernier post qui a motivé votre réponse, je parle plus généralement du Français et pas uniquement de l'orthographe. Une orthographe désastreuse n'est déjà pas facile à lire. Le cerveau réagit d'une certaine façon quand il voit un participe passé et doit ajuster à postériori quand il comprend que le participe passé ne fait pas de sens et qu'il s'agit en fait d'un infinitif. Mais quand les construction grammaticales sont également à l'avenant, cela oblige à un exercice de déchiffrage particulièrement pénible. On demande juste un peu d'efforts.
Quant à la référence "Eric au lieu de Frédérique", voilà ce que je répondais:
Quand même il faut le faire pour ne pas être capable de recopier correctement mon prénom. Je ne me formalise pas mais vous donnez vraiment le bâton pour vous faire battre...
Il ne semble pas que je sois particulièrement excité. D'ailleurs quelques messages plus bas, le compagnon d'infortune de cette même personne écrit mon nom "Frédéric Latoure"... il y a donc un ressort comique évident. Mais le plus drôle dans cette histoire c'est que contrairement à ce que vous rapportez, il n'a jamais été question de "Frédérique". Me voilà donc avec une nouvelle variation concernant l'écriture de mon nom.
Et encore une fois, je ne me formalise pas du tout. Cela est juste révélateur d'un certain laxisme.le 28/09/2015 à 16:27 -
Frédéric LatourMembre actifJe ne suis pas recruteur mais il m'arrive de recruter. Une petite distinction qui a son importance.
Vous faites ce que vous voulez de votre vie. L'informatique ne vous intéresse pas particulièrement? C'est purement alimentaire? Cela vous regarde. Néanmoins, il y a très peu de chances que vous puissiez rester à niveau dans un monde de technologies qui évoluent très vite en y consacrant 7 heures par jour pendant lesquelles vous devez accésoirement produire la richesse nécessaire à payer vos charges (qui sont particulièrement élevées - compter 2 fois votre net entre les charges patronales, les frais de structure, les obligations réglementaires, etc...).
La contrepartie d'un métier passionnant est peut-être l'implication. Mais chacun est libre de conduire sa vie comme il l'entend et de ne postuler que si les conditions du recrutement correspondent à son idéal.le 28/09/2015 à 14:26 -
Frédéric LatourMembre actifOn se connaît? Si vous pouviez argumenter de manière un peu plus rigoureuse, ce serait avec plaisir que je vous répondrais. En l'espèce je ne vois pas vraiment à quoi vous vous référez pour me faire un procès d'intention.
C'est incroyables tous ces "Informaticiens/développeurs" super forts (sauf en Français) qui sont sur la défensive dès qu'il s'agit de réaliser des tests techniques dans le cadre d'une procédure d'embauche.
En plus vous répétez en boucle des contre-vérités démenties plusieurs fois:- Il ne s'agit pas de travailler tout le week-end mais quelques heures pendant le week-end (pour au contraire donner plus de liberté d'organisation).
- Les heures sont payées et même très bien payées.
Il est de plus en plus fréquent que les procédures d'embauche donnent lieu à des tests techniques. Cette démarche propose de payer le temps passé. Cela va plutôt dans le bon sens. Non?le 28/09/2015 à 14:42 -
Frédéric LatourMembre actifVous ne débattez pas de la méthode. Votre argumentation consiste à dire que la méthode ne sera pas respectée et que par conséquence cela ne fonctionnera pas.
Quelle perspicacité!!!
Il est tout à fait possible de discuter de la possibilité que cette méthode soit mise en oeuvre avec succès en France au regard des différences culturelles, techniques, etc ... mais c'est un autre sujet.
Et avant de discuter de sa possible mise en oeuvre, il semble judicieux de débattre de son intérêt.le 28/09/2015 à 14:10 -
Frédéric LatourMembre actifVos propos ne sont pas très cohérents mais ce n'est pas la première fois:
- Si vous avez un cv blindé, un bon niveau, de l'expérience, et des lettres de recommandation, on imagine que vous devez être un peu sélectif en matière d'entretiens (et donc ne pas en passer 50). On imagine également que vous n'allez pas postuler pour un salaire misérable. Dans ces conditions, je ne vois pas pourquoi l'idée de passer du temps pour un poste de haut niveau poserait un quelconque problème surtout si l'on considère le dédommagement très substantiel.
- Je ne vois pas comment vous pourriez vous considérer exploité au regard du coût de la démarche mise en oeuvre pour trouver le bon candidat. Un candidat sûr de son niveau ne pourrait qu'être enchanté d'être rémunéré $100 / heure pour participer à une démarche qui permettra aux 2 parties de s'assurer qu'elles ne se trompent pas (en tout cas de réduire largement le risque).
le 26/09/2015 à 21:50 -
Frédéric LatourMembre actifIl n'est pas indiqué qu'il faut travailler tout le week-end mais de laisser le week-end au candidat. C'est une distinction qui a son importance. Cela peut être un projet qui nécessite quelques heures.
Parce que vous pensez que la recherche d'un emploi d'un certain niveau ne demande pas un peu d'investissement? Vous pensez qu'il vous faudra moins d'un mois? Que vous n'aurez pas 2 niveaux d'entretien? Vous avez souvent postulé à des postes ? Cela n'est pas sérieux.
Bonjour les fautes mais passons. C'est complètement grotesque. Vous réagissez de manière épidermique sans jamais prendre la peine d'étudier 5 minutes les sujets que vous abordez. Si vous allez sur le site de la société comme je l'ai fait (et j'avais d'ailleurs déjà publié cette information avant même le post qui vous concerne), vous verrez qu'il s'agit de profils "senior". Les jeunes sans expérience sont donc hors de propos. Et franchement vous vous rendez compte du coût en terme d'organisation, de formalisation de l'énoncé et de remboursements juste pour se faire développer des scripts ou quoi que ce soit qui puisse tenir en un week-end max? Même s'il n'y avait pas de contre-partie financière, l'organisation d'une telle démarche ne serait pas du tout rentable.
Donc au final, on sent que tout votre argumentaire (hum ... enfin je dis argumentaire pour faire court) s'appuie sur le fait que vous ne croyez pas un seul instant au montant horaire du dédommagement.
Pourquoi pas $100?
- On ne rémunère pas quelques heures au même prix que plusieurs centaines.
- Nous sommes aux US et on parle de profils "seniors". Le montant n'a rien de farfelu.
- Cela montre votre méconnaissance du marché international.
- Et enfin, la moindre des chose, avant d'interpréter quoi que ce soit, serait d'effectuer quelques vérifications. Ce n'est quand même pas difficile. Lisez l'article plus détaillé en anglais: https://medium.com/swlh/the-one-meth...s-630d539b2e1d. Cela vous aurait évité de bâtir un post sur une hypothèse erronée.
Soyez rassuré, vous n'aurez pas à travailler le week-end, je ne pense pas que vous soyez le type de profil recherché...le 27/09/2015 à 16:46 -
Frédéric LatourMembre actifPourquoi parlez-vous alors d'une erreur dans l'article concernant la rémunération horaire si vous ne connaissez pas le marché du travail à l'étranger?
D'autant que l'ensemble de votre argumentation découle de cette supposition puisqu'à ce tarif vous êtiez prêt à démissionner de votre boulot pour mener une vie de postulant (en complète contradiction avec l'ensemble de vos remarques qui s'appuient elles justement sur le postulat d'une anomalie dans le montant du remboursement).
On parle de profils d'un certain niveau. Si cette personne est chômeur, on peut supposer que cela ne fait plus d'un an (ce serait étonnant, surtout concernant un développeur). Cette personne est donc indemnisée. Je ne vois donc pas le problème.
Si la personne est en activité, on suppose qu'elle est en recherche d'opportunités plus intéressantes et qu'il n'y a pas une urgence particulière.
J'ajouterai deux éléments complémentaires:
Il ne s'agit pas de travailler tout le week-end sur le problème mais plus généralement de quelques heures pendant le week-end.
Je ne connais pas beaucoup de développeurs d'un certain niveau qui ne sont pas passionnés et qui ne passent pas largement plus de temps que les heures légales sur les technologies associées à leur métier. Je ne pense pas que quelques heures un week-end va changer leur vie.
Ne pas être en recherche d'emploi n'interdit pas d'être à l'écoute des opportunités. C'est le cas de nombreux informaticiens.
La manière dont vous voyez les choses n'a aucun sens. C'est comme si vous disiez;
"prenez la méthode initiale ne l'appliquez pas correctement et vous verrez cela ne fonctionne pas."
La suite de vos remarques sur les chances de succés ou non n'ont plus d'intérêt puisque en définitif on ne parle plus de la méthode initiale mais d'une méthode frelatée par vos élucubrations ...
PS: je ne vois pas comment on pourrait perdre 2 jours de sa vie en étudiant, ou tentant de résoudre un problème ... une vision négative qui explique peut-être celale 27/09/2015 à 20:01 -
kiprokMembre avertiA bon? Y a t'il des sources sur cette affirmation svp?
En soit la méthode n'est pas si mauvaise mais cela sous entend que les recruteurs ne sont pas des incompétents dans le domaine IT et j'ai l'impression que ce postulat n'est pas si évident dans le monde d'aujourd'hui...le 25/09/2015 à 15:23