Le W3C publie un premier brouillon sur l'API WebDriver
Une interface de contrôle à distance des navigateurs
Le 2012-07-12 16:15:06, par Hinault Romaric, Responsable .NET
Le W3C vient de publier un premier draft de l’API WebDriver.
WebDriver a pour but d’offrir une interface de contrôle à distance des navigateurs. Cette fonctionnalité sera principalement utilisée pour les tests automatisés des applications web.
Les travaux livrés par le W3C font de WebDriver une API très similaire à l’interface de même nom utilisée dans l’outil open source Selenium 2, permettant également d’automatiser les actions des navigateurs (ouverture d’URL, saisie de texte dans des champs de recherche, etc.).
WebDriver repose essentiellement sur des WebElement, qui sont des objets DOM que la fonction findElement() retourne. Le WebElement est composé de deux chaines permettant de spécifier une stratégie qui devrait être utilisée pour localiser des éléments, et une valeur à transmettre à cette stratégie. Les éléments peuvent être appelés en utilisant XPath, des sélecteurs CSS ou un lien texte.
L’API dispose également d’autres méthodes permettant de lire et de définir les propriétés d’une variété de WebElement. Par exemple, avoir des informations sur les chaines qui remplissent les zones de texte, les boutons qui ont déclenché un clic, etc.
Source : W3C
WebDriver a pour but d’offrir une interface de contrôle à distance des navigateurs. Cette fonctionnalité sera principalement utilisée pour les tests automatisés des applications web.
Les travaux livrés par le W3C font de WebDriver une API très similaire à l’interface de même nom utilisée dans l’outil open source Selenium 2, permettant également d’automatiser les actions des navigateurs (ouverture d’URL, saisie de texte dans des champs de recherche, etc.).
WebDriver repose essentiellement sur des WebElement, qui sont des objets DOM que la fonction findElement() retourne. Le WebElement est composé de deux chaines permettant de spécifier une stratégie qui devrait être utilisée pour localiser des éléments, et une valeur à transmettre à cette stratégie. Les éléments peuvent être appelés en utilisant XPath, des sélecteurs CSS ou un lien texte.
L’API dispose également d’autres méthodes permettant de lire et de définir les propriétés d’une variété de WebElement. Par exemple, avoir des informations sur les chaines qui remplissent les zones de texte, les boutons qui ont déclenché un clic, etc.
Source : W3C
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PatteDePouleMembre éclairéUn genre de framework pour faciliter la création de bot.le 12/07/2012 à 17:21
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jmnicolasMembre éprouvéJ'imagine déjà les utilisations "originales" que pourront en faire les auteurs de malwarele 13/07/2012 à 10:47
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kolodzModérateurJe n'ai pas encore regardé le draft, mais c'est une bonne nouvelle pour les tests fonctionnels pour les sites Web. Il reste à savoir si cette future norme sera suivi par selenuim uniquement. Ou part tout les webdriver.
Note : j'utilise selenuim2 via mink en php pour le travail. Je n'ai pas encore vue un vrai concurrent à celui-ci.le 12/07/2012 à 18:01 -
Traroth2Membre émériteC'est exactement ce que je me suis dit immédiatement. Le truc super-dangereux, genre qui va permettre de faire des keyloggers dans ton browser. Ou des botnets au niveau browser : dès que tu lances ton browser, ta machine fera partie du botnet.
Le pire, c'est que je ne voies même pas comment sécuriser ça sans tout simplement bloquer la fonctionnalité...le 16/07/2012 à 11:46 -
thelvinModérateurDudes -_-°. C'est un outil pour développeurs.
Un navigateur normal ne l'aura pas du tout ou, s'il inclut des outils développeurs, ne l'activera que si l'utilisateur le demande dans la configuration des outils.
De toute façon, c'est plutôt un truc qui ne s'affiche même pas sur un écran, c'est pour tester.le 16/07/2012 à 13:56