Une pénurie alarmante de compétences dans le domaine du « Mainframe » ?
Le 2009-06-19 00:33:34, par Marc Lussac, Rédacteur en Chef
Emploi : une pénurie alarmante de compétences dans le domaine du « Mainframe » ?
Une étude européenne commandée par CA, révèle une pénurie alarmante de compétences dans le domaine du « Mainframe »
73 % des personnes interrogées en France, affirment qu’ils ne tarderont pas à être pénalisés par le départ à la retraite de leurs spécialistes du mainframe. Ce chiffre est supérieur de 7 % à la moyenne européenne.
Faits et chiffres clés :
1. 61 % des entreprises françaises consacrent moins de 20 % de leur budget informatique annuel au mainframe, ce qui reflète un coût total d’acquisition particulièrement faible.
2. S’il est connecté aux applications web et aux systèmes distribués, 70 % des participants indiquent que le mainframe présente un niveau de sécurité exceptionnel.
3. 70 % des personnes interrogées indiquent aussi que les niveaux de performance sont à leurs yeux « excellents », et 67 % déclarent que « le système n’est jamais indisponible ».
CA Expo (Paris La Défense), le 18 juin 2009 – CA (NASDAQ: CA), le plus important éditeur indépendant de logiciels de gestion des systèmes d’information, dévoile aujourd’hui, les résultats d’une étude mettant en évidence une pénurie alarmante de compétences dans le domaine du « mainframe » en Europe et plus particulièrement en France. Intitulée The Mainframe: Surviving and Thriving in a Turbulent World (Mainframe : Survivre et se Développer dans un Monde Instable), cette étude révèle que 73 % des personnes interrogées en France, contre 66 % pour la moyenne européenne, s’accordent à dire que les utilisateurs de mainframe ne tarderont pas à souffrir, si ce n’est pas déjà le cas, d’une diminution du nombre de professionnels dans ce domaine, les compétences nécessaires n’étant pas suffisamment disponibles.
Sécurité et performance
Par ailleurs, l’enquête révèle que lorsqu’un mainframe est utilisé en tant que ressource connectée aux systèmes distribués et aux applications web, les entreprises françaises mettent l’accent sur des avantages spécifiques par rapport aux autres utilisateurs européens. 70 % des participants indiquent que « cet environnement présente un niveau de sécurité exceptionnel » contre 65 % pour la moyenne européenne. 70 % des personnes interrogées affirment également que les niveaux de performance sont à leurs yeux « excellents » contre 63 % pour la moyenne européenne, et 67 % déclarent que « le système n’est jamais indisponible » contre 52 % pour la moyenne européenne.
Un coût total de possession très faible
Cette étude révèle également de manière tangible que les utilisateurs français de mainframe présentent un coût total d’acquisition (TCO) particulièrement faible par rapport aux autres pays. 61 % des entreprises françaises consacrent moins de 20 % de leur budget informatique annuel au mainframe. Parmi les pays ayant participé à l’enquête, seule l’Italie présente un chiffre aussi bas (65 %). En moyenne, 51 % des entreprises européennes ayant participé à l’enquête ne dépassaient pas ce maximum de 20 %de leur budget.
78 % des participants français à l’enquête reconnaissaient « être dans l’obligation de produire plus avec des moyens réduits », et il est intéressant, à cet égard, de relever que ces mêmes personnes accordent une importance toute particulière aux faibles coûts associés aux plateformes « mainframe ». 88 % de ces personnes sont restées attachées au mainframe en raison des coûts associés au passage à des environnements entièrement distribués, contre une moyenne de 76 % pour l’Europe. Dans le même temps, 30 % de ces mêmes personnes affirmaient que le coût par transaction était plus faible avec un mainframe qu’avec les autres systèmes.
Les entreprises françaises accordent une plus grande importance à la robustesse et à la sécurité de l’environnement mainframe que leurs homologues des pays européens. 58 % des entreprises françaises continuent à utiliser le mainframe en raison de sa fiabilité (moyenne européenne : 47 %), et 88 % d’entre elles font confiance au mainframe pour leurs grandes applications stratégiques contre une moyenne de 77 % au niveau européen. Inversement, 78 % des entreprises françaises s’en remettent à des systèmes distribués pour leurs applications les moins stratégiques (moyenne européenne : 69 %).
« Beaucoup d’entreprises voient, dans le mainframe, la plateforme stratégique incontournable pour l’informatique d’entreprise de demain, » explique Patrick Bojko, Directeur des Solutions, Ventes Mainframe chez CA. « Cette enquête montre que les départs à la retraite des spécialistes les plus compétents en matière de systèmes mainframe est inéluctable. Pour répondre à ce problème, CA a mis en œuvre son initiative Mainframe 2.0 afin d’aider les organisations à recruter une nouvelle génération de professionnels, moins aguerris aux systèmes mainframes, mais par ailleurs familiers d’outils de développement plus conviviaux tels que C++ ou Java ».
L’étude indépendante « The Mainframe: Surviving and Thriving in a Turbulent World » (Mainframe : survivre et se développer dans un monde instable) a été commandée par CA et réalisée par le cabinet d’études Vanson Bourne. 180 directeurs et hauts responsables informatiques ont été interviewés au total au cours de mois de février et mars 2009. L’échantillon comprenait 40 personnes par pays au Royaume-Uni, en France et en Allemagne, et 20 personnes par pays en Italie, au Bénélux et dans les pays nordiques.
À propos de CA | CA, Inc. (NASDAQ : CA), est le plus important éditeur de logiciels indépendant dans le domaine de la gestion des systèmes d’information. L’Enterprise IT Management (EITM) qui concrétise la vision et l’expertise de CA, permettent aux entreprises de gouverner, de gérer et de sécuriser leurs systèmes d’informations afin d’optimiser leur performance et d’accroître leur avantage concurrentiel.
Sites web : http://www.ca.com ou http://www.ca.com/fr
Une étude européenne commandée par CA, révèle une pénurie alarmante de compétences dans le domaine du « Mainframe »
73 % des personnes interrogées en France, affirment qu’ils ne tarderont pas à être pénalisés par le départ à la retraite de leurs spécialistes du mainframe. Ce chiffre est supérieur de 7 % à la moyenne européenne.
Faits et chiffres clés :
1. 61 % des entreprises françaises consacrent moins de 20 % de leur budget informatique annuel au mainframe, ce qui reflète un coût total d’acquisition particulièrement faible.
2. S’il est connecté aux applications web et aux systèmes distribués, 70 % des participants indiquent que le mainframe présente un niveau de sécurité exceptionnel.
3. 70 % des personnes interrogées indiquent aussi que les niveaux de performance sont à leurs yeux « excellents », et 67 % déclarent que « le système n’est jamais indisponible ».
CA Expo (Paris La Défense), le 18 juin 2009 – CA (NASDAQ: CA), le plus important éditeur indépendant de logiciels de gestion des systèmes d’information, dévoile aujourd’hui, les résultats d’une étude mettant en évidence une pénurie alarmante de compétences dans le domaine du « mainframe » en Europe et plus particulièrement en France. Intitulée The Mainframe: Surviving and Thriving in a Turbulent World (Mainframe : Survivre et se Développer dans un Monde Instable), cette étude révèle que 73 % des personnes interrogées en France, contre 66 % pour la moyenne européenne, s’accordent à dire que les utilisateurs de mainframe ne tarderont pas à souffrir, si ce n’est pas déjà le cas, d’une diminution du nombre de professionnels dans ce domaine, les compétences nécessaires n’étant pas suffisamment disponibles.
Sécurité et performance
Par ailleurs, l’enquête révèle que lorsqu’un mainframe est utilisé en tant que ressource connectée aux systèmes distribués et aux applications web, les entreprises françaises mettent l’accent sur des avantages spécifiques par rapport aux autres utilisateurs européens. 70 % des participants indiquent que « cet environnement présente un niveau de sécurité exceptionnel » contre 65 % pour la moyenne européenne. 70 % des personnes interrogées affirment également que les niveaux de performance sont à leurs yeux « excellents » contre 63 % pour la moyenne européenne, et 67 % déclarent que « le système n’est jamais indisponible » contre 52 % pour la moyenne européenne.
Un coût total de possession très faible
Cette étude révèle également de manière tangible que les utilisateurs français de mainframe présentent un coût total d’acquisition (TCO) particulièrement faible par rapport aux autres pays. 61 % des entreprises françaises consacrent moins de 20 % de leur budget informatique annuel au mainframe. Parmi les pays ayant participé à l’enquête, seule l’Italie présente un chiffre aussi bas (65 %). En moyenne, 51 % des entreprises européennes ayant participé à l’enquête ne dépassaient pas ce maximum de 20 %de leur budget.
78 % des participants français à l’enquête reconnaissaient « être dans l’obligation de produire plus avec des moyens réduits », et il est intéressant, à cet égard, de relever que ces mêmes personnes accordent une importance toute particulière aux faibles coûts associés aux plateformes « mainframe ». 88 % de ces personnes sont restées attachées au mainframe en raison des coûts associés au passage à des environnements entièrement distribués, contre une moyenne de 76 % pour l’Europe. Dans le même temps, 30 % de ces mêmes personnes affirmaient que le coût par transaction était plus faible avec un mainframe qu’avec les autres systèmes.
Les entreprises françaises accordent une plus grande importance à la robustesse et à la sécurité de l’environnement mainframe que leurs homologues des pays européens. 58 % des entreprises françaises continuent à utiliser le mainframe en raison de sa fiabilité (moyenne européenne : 47 %), et 88 % d’entre elles font confiance au mainframe pour leurs grandes applications stratégiques contre une moyenne de 77 % au niveau européen. Inversement, 78 % des entreprises françaises s’en remettent à des systèmes distribués pour leurs applications les moins stratégiques (moyenne européenne : 69 %).
« Beaucoup d’entreprises voient, dans le mainframe, la plateforme stratégique incontournable pour l’informatique d’entreprise de demain, » explique Patrick Bojko, Directeur des Solutions, Ventes Mainframe chez CA. « Cette enquête montre que les départs à la retraite des spécialistes les plus compétents en matière de systèmes mainframe est inéluctable. Pour répondre à ce problème, CA a mis en œuvre son initiative Mainframe 2.0 afin d’aider les organisations à recruter une nouvelle génération de professionnels, moins aguerris aux systèmes mainframes, mais par ailleurs familiers d’outils de développement plus conviviaux tels que C++ ou Java ».
L’étude indépendante « The Mainframe: Surviving and Thriving in a Turbulent World » (Mainframe : survivre et se développer dans un monde instable) a été commandée par CA et réalisée par le cabinet d’études Vanson Bourne. 180 directeurs et hauts responsables informatiques ont été interviewés au total au cours de mois de février et mars 2009. L’échantillon comprenait 40 personnes par pays au Royaume-Uni, en France et en Allemagne, et 20 personnes par pays en Italie, au Bénélux et dans les pays nordiques.
À propos de CA | CA, Inc. (NASDAQ : CA), est le plus important éditeur de logiciels indépendant dans le domaine de la gestion des systèmes d’information. L’Enterprise IT Management (EITM) qui concrétise la vision et l’expertise de CA, permettent aux entreprises de gouverner, de gérer et de sécuriser leurs systèmes d’informations afin d’optimiser leur performance et d’accroître leur avantage concurrentiel.
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Pierre Louis ChevalierExpert éminent séniorDéjà l'intérêt c'est de faire tourner des énormes applications existantes qui ont été développées pendant des années.
Ensuite des solutions mainfraime comme Cobol/CICS peuvent êtres encore très efficaces pour des traitements gestion très lourds et répétitifs, comme par exemple les traitements bancaire sur un très grand nombre de comptes et d'opérations....le 19/06/2009 à 1:03 -
CyberChouanRédacteurLe problème n'est pas seulement de remplacer les départ en retraite, mais de remplacer les compétences.
Or une formation de fin de cursus n'a rien à voir avec 30 années d'expérience, ou la connaissance pointue d'une application particulière sur laquelle on a travaillé pendant plus de 10 ans...le 19/06/2009 à 10:24 -
Les entreprises ne doivent elles pas prendre des mesures en internes pour préparer ces départs à la retraite ?
Pourquoi n'embauchent-elles pas des juniors et les faire se former avec l'aide d'un tuteur qui est dans les 5 dernières années avant sa retraite ? Cela coûte cher, mais cela ne vaut-il pas la peine de s'y mettre ?
Le problème aujourd'hui est que pour faire des économies, on diminue les coûts de formation des nouveaux arrivants. Avant, un employé avant de partir à la retraite prenait le soin de former les suivants. Maintenant, on attend qu'il soit à la retraite pour commencer le processus de formation.le 19/06/2009 à 10:57 -
Luc OrientMembre expertJe suis rentré dans une salle informatique (salle blanche) où se trouvaient, entre autres, deux mainframes d'IBM (des z10, le dernier cri en la matière). Place occupée faible, consommation électrique raisonnable (dixit notre guide) et dégagement thermique limité. Notre hôte nous montre ensuite tout au bout de la salle une série de serveurs "lames" HP (fort nombreux d'ailleurs), destinés à des calculs financiers "en grille".
Un véritable radiateur, c'était impressionnant !
Il nous avoue que cet équipement provoquait un déséquilibre thermique de la salle avec une consommation électrique telle, que, malgré une place au sol encore disponible, il n'était plus possible d'installer de nouveaux équipement informatiques dans la pièce, la limite de l'alimentation électrique étant atteinte.
Voilà une raison (parmi d'autres) qui peut justifier le mainframe ...le 20/06/2009 à 1:16 -
millieRédacteurCela ne fait que reporter le problème (à dans 5/10ans), ce n'est pas une solution
C'est quoi une "durée de la retraite" ? Temps de cotisation ou l'age minimal pour y accéder.le 20/06/2009 à 9:40 -
jabbounetMembre expert
Le cout d'une migration serait probablement prohibitif et assez risqué.
On parle de porter des applis qui ont 20 ans de vie derrière elle dans une nouvelle techno (cluster/java par exemple).
Ne pas oublier que pour porter ce genre d'appli comme souvent on aura:
- Une partie de code n'est pas décrite (comme souvent la doc n'est pas exhaustive)
- tout un tas de fonctionnalités n'ont pas évolué mais personne ne sais plus ce qu'il y'a dedans.
- certains sources peuvent avoir disparu (et la c'est boite noir que plus personne ne touche de peur de tout casser)
- remplacer l'équivalent de 20 de codage qui a fait ses preuves par un code neuf (qui ne se fera pas en claquant des doigt)
Bref c'est un risque d'indisponibilité très important du système et le temps c'est souvent de l'argent pour ceux qui utilisent ce type de système.
même si c'est techniquement faisable je ne crois pas q'un décisionnaire prendra cette décision ou alors il est bien fourni au niveau du pantalon, car le risque est énorme, sans parler du cout.le 22/06/2009 à 12:16 -
rberthouMembre éclairéSi on est dans cet état là :
- Une partie de code n'est pas décrite
- certains sources peuvent avoir disparu
Le système va déjà très mal, car je pense que la moindre modifications des chaines de traitement est très pénible, longue et parfois même impossible (si absence des sources d'origines).
Il est largement temps de faire un état des lieux et de re-documenter/cartographier son SI.le 22/06/2009 à 12:26 -
el_slapperExpert éminent séniorTiens, c'est un peu mon projet qui va finissant, ça.....sauf qu'on a migré de COBOL vers COBOL. En explicitant un tas de trucs qui n'étaient pas documentés, en refactorisant partout ou c'était possible, en sortant un maximum de choses......mais il y a malgré tout des éléments que j'ai retranscrits tels quels, car nul ne sait pourquoi c'est là, mais chacun sait que sans, ça ne marche pas.
Je les ai quand même adaptés à du COBOL "moderne", c-à-d que j'ai remplaçé les horreurs du genreCode : 1
2
3
4
5
6
7
8MOVE 0 TO I A22. ADD 1 TO I IF I > LIMITE GO TO A21. (.....traitement fonctionnel illisible.....) GO TO A22. A21.
Code : 1
2
3
4
5PERFORM VARYING I FROM 1 BY 1 UNTIL I > LIMITE (.....traitement fonctionnel retravaillé et correctement indenté.....) END-PERFORM .
Mais ça en reste là, parceque même retravaillé et indenté, le code fonctionnel, je ne sais pas ce qu'il fait ni surtout pourquoi. Alors transférer le bidule sur une autre technologie, je veux bien, mais bon courage. Ca sera sans doute plus facile à partir de ma version que de l'ancienne, mais reste qu'il y a des blocs imbitables. Qu'il faudra traduire quand même dans le nouveau language. A l'aveugle.
Donc c'est compliqué. J'ai passé 1 mois de ma vie sur 2 programmes de 5000 lignes chacun, juste à rétrodocumenter. Et encore, les 2000 premieres lignes du premier programme, qui consistent en des traitements comptables(tous sur le format que j'ai cité au dessus, avec des labels aussi explicites que A1, A11, A22, A21, A12, A12, le tout dans cet ordre), j'ai fait comme les autres : j'ai renoncé et on garde, parceque ça marche. Rien que nôtre appli, la gestion de contrat, ça représente des milliers de progs de 2000 lignes en moyenne. Certains plus modernes et mieux commentés, m'enfin pas plus de la moitié.....
Et on ne doit pas faire 20% du SI COBOL.
Je ne dis pas que c'est pas possible, je dis plutôt que c'est énorme. Et qu'il faut accepter une certaine dose de pertes. Perte de données, perte de savoir-faire, perte de précision. Perte aussi dans le fait que les gens(les utilisateurs) savent se retrouver dans l'existant, et gueulent dès qu'ils ont un bel écran JAVA à la place - devant lequel ils sont perdus.
Mais si on commence à migrer tout ce qui est interface vers des langages "modernes", c'est parceque l'on peut découper en série d'écrans cohérentes. Pour ce qui est du noyau "referentiel/batch", c'est infiniment plus complexe. Et budgetivore. Tout ça pour arriver à des solutions JAVA ou les gens ne peuvent même plus bosser tellement la taille du projet met leur machines de compèt' à genoux à la moindre compil/remise à niveau.....
Si COBOL met autant de temps à mourir dans les très grandes entreprises, ça n'est pas un hasard.....evidemment, en PME, tout ce que je viens de dire n'a aucun sens.le 22/06/2009 à 15:54 -
fred_avignonFutur Membre du ClubIntéressante discussion... qui peut me concerner directement. Je vous explique.
Je suis en recherche d'emploi depuis 2 mois sur Avignon. J'ai bientôt 40 ans et je développe des applications depuis plus de 20 ans. Je suis plutôt spécialisé en développement orienté objet (C++, Java, PHP5, etc).
Actuellement les temps sont durs pour les informaticiens dans ma région et je me tâte pour savoir si je ne m'orienterais pas vers le développement sur mainframe. J'ai appris le cobol et le GAP (RPG) en 1989 sur des IBM S36 et j'ai bossé 1 an sur un AS400 dans la foulée.
Bref, à mon âge, il ne faut pas trop faire le difficile sinon on ne trouve rien.
Comme je suis peu mobile (pas envie de vivre dans une grande ville), j'essaye de savoir si les entreprises qui recherchent des développeurs cobol ou autres langages anciens sont plus enclins à accepter le télétravail.
Que pensez-vous de mon approche ? Est-ce utopique/faisable ?le 29/06/2009 à 12:53 -
souviron34Expert éminent sénior
- Parce qu'il n'y a pas un jeune qui soit formé à penser comme ça, dans l'enseignement tout n'est qu'OO.. quand maintenant ce n'est pas OA.
- Parce que l'intérêt des jeunes est sur les jeux vidéo, le traitement d'images, le data mining, l'IA...
ça aurait été vrai, dans le passé..
Je pense qu'à l'heure actuelle c'est le contraire.. Les jeunes sont moins malléables que les vieux : certitudes sur les langages, les concepts, les méthodologies, la "modernité", etc etc..
Et je pense que c'est une grave erreur de la part des boîtes...ce que je dis plus haut..
Suffit de voir les quelques commentaires que l'on obtient dès que l'on tente de pondérer les élans d'enthousiasme pour tel ou tel "dernier avatar", ou quand on te dit que "10 ans c'est de la préhistoire"...le 30/06/2009 à 12:00