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Les campagnes de désinformation russes ont échappé aux efforts de Meta pour les bloquer,
Cette situation illustre l'insuffisance des mécanismes de surveillance de Meta

Le , par Bruno

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Un rapport publié par trois organisations spécialisées dans la lutte contre la désinformation en ligne, Check First (Finlande), Reset.Tech (Londres) et AI Forensics (Paris), illustre de manière frappante l’incapacité persistante de Facebook, et plus largement de Meta, à contenir l’exploitation de sa plateforme par des acteurs malveillants. En dépit des sanctions européennes et américaines visant à freiner les activités de l’Agence russe Social Design, cette dernière a pu diffuser des milliers de publicités politiques visant à manipuler l’opinion publique, notamment en lien avec la guerre en Ukraine et d'autres crises internationales. Ce cas met en lumière l'application laxiste des réglementations par Meta et son rôle involontaire dans la propagation de propagande ciblée, amplifiant des narratifs géopolitiques et exacerbant des tensions mondiales. Cette situation souligne non seulement des failles structurelles dans la modération des contenus, mais aussi la manière dont des outils numériques conçus pour connecter les individus peuvent être instrumentalisés pour semer la discorde à l'échelle mondiale.

L'agence Social Design fait l'objet de sanctions punitives dans l'Union européenne depuis 2023 et aux États-Unis depuis avril pour avoir diffusé de la propagande et de la désinformation à des utilisateurs peu méfiants sur les médias sociaux. Les campagnes publicitaires sur Facebook soulèvent « des questions cruciales quant à la conformité de la plateforme » avec les lois américaines et européennes, selon le rapport. L'agence Social Design est une société de relations publiques située à Moscou qui, selon des responsables américains et européens, mène une opération d'influence sophistiquée connue sous le nom de Doppelganger. Depuis 2022, Doppelganger a créé des mèmes de dessins animés et des clones en ligne de vrais sites d'information, comme Le Monde et The Washington Post, pour diffuser de la propagande et de la désinformation, souvent à propos de la guerre en Ukraine.


Les organisations qui ont documenté la campagne - Check First, une société de recherche finlandaise, ainsi que Reset.Tech à Londres et AI Forensics à Paris - se sont concentrées sur les efforts visant à influencer les utilisateurs de Facebook en France, en Allemagne, en Pologne et en Italie. Doppelganger a également été associé à des opérations d'influence aux États-Unis, en Israël et dans d'autres pays, mais ces opérations ne sont pas incluses dans les conclusions du rapport. Les chercheurs estiment que les publicités ont donné lieu à plus de 123 000 clics de la part des utilisateurs et ont rapporté à Meta au moins 338 000 dollars rien que dans l'Union européenne.

Les chercheurs reconnaissent que ces chiffres ne constituent qu'un exemple incomplet des efforts de l'agence russe. En plus de propager le point de vue de la Russie sur l'Ukraine, l'agence a publié des annonces en réponse à des événements d'actualité majeurs, notamment l'attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023 et un attentat terroriste dans la banlieue de Moscou en mars dernier, qui a fait 145 morts. Les annonces paraissaient souvent dans les 48 heures, afin d'essayer d'influencer la perception des événements par le public. Après les attentats du 7 octobre, les publicités ont diffusé de fausses affirmations selon lesquelles l'Ukraine aurait vendu des armes au Hamas. Les annonces ont atteint plus de 237 000 comptes en l'espace de deux ou trois jours, « soulignant la capacité de l'opération à instrumentaliser les événements actuels pour soutenir des récits géopolitiques », selon le rapport du chercheur.

Les ajustements controversés de Meta face à la loi européenne sur les services numériques

Meta, la société mère de Facebook, a récemment modifié ses règles sur les contenus autorisés sur ses plateformes, notamment en supprimant les vérifications de faits qui signalaient ou supprimaient des publications. Ces ajustements, qui assouplissent les restrictions sur des contenus liés à la race et au sexe, risquent d'intensifier les tensions entre Meta et les régulateurs européens, en particulier en ce qui concerne la conformité avec la loi sur les services numériques de l'Union européenne. Cette loi exige des plateformes qu'elles limitent les activités illégales et la propagation de la désinformation.

Ces changements interviennent alors que Meta fait déjà l'objet d'une enquête européenne sur la surveillance inadéquate des publicités trompeuses. Par ailleurs, l'Agence russe Social Design, impliquée dans des campagnes d'influence sophistiquées sous le nom de Doppelgänger, continue d'exploiter les failles des plateformes numériques pour diffuser de la désinformation, notamment sur la guerre en Ukraine et d'autres crises géopolitiques. Bien que Meta ait identifié et tenté de bloquer ces campagnes depuis 2022, les efforts de l'agence russe se sont diversifiés, touchant d'autres plateformes comme Reddit, Pinterest, et Medium.

Selon un rapport basé sur des documents internes de la l'agence Social Designy, ces campagnes ont généré plus de 123 000 clics et rapporté à Meta au moins 338 000 dollars dans l'Union européenne. Les annonces ont été diffusées rapidement après des événements majeurs, comme l'attaque du Hamas contre Israël en octobre 2023, pour manipuler l'opinion publique en diffusant de fausses informations.

Les fuites révèlent une cyberguerre sophistiquée et des manipulations d'informations en ligne

Des documents confidentiels récemment divulgués aux États-Unis révèlent que la machine de cyberguerre du Kremlin est bien plus avancée que ce que l’on imaginait. Ces rapports indiquent que les entreprises de médias sociaux détectent à peine 1 % des faux comptes utilisés par la Russie pour diffuser sa propagande et sa désinformation en ligne. Ces constats, remontant à l’année dernière, suggèrent que les efforts russes dans ce domaine se sont encore intensifiés, rendant probablement la détection encore plus difficile ces derniers mois.

Aujourd’hui, les médias sociaux représentent la principale source d’information pour une large partie de la population mondiale. Cependant, ils sont également devenus un champ de bataille où la désinformation prospère. Dans le contexte de la guerre en Ukraine, des rapports montrent que la Russie et l’Ukraine exploitent ces plateformes pour influencer l’opinion publique et se discréditer mutuellement.

Des fuites provenant de l’application Discord mettent en lumière les tactiques sophistiquées de la Russie pour manipuler les discours en ligne, surpassant largement les capacités des plateformes pour contrer ces pratiques. Les documents révèlent que le Kremlin a réussi à amplifier des narratifs mensongers sur l’armée ukrainienne et les vaccins en utilisant des centaines de milliers de faux comptes, faussant ainsi les classements des moteurs de recherche et les flux d’information.

Par ailleurs, un rapport publié par The Intercept révèle l’existence d’un portail spécial, hébergé par Facebook, permettant aux responsables gouvernementaux américains de signaler et de censurer des contenus jugés comme de la désinformation. Ce système a été utilisé pour cibler des publications sur des sujets tels que les origines de la pandémie de Covid-19, la justice raciale ou encore le soutien des États-Unis à l’Ukraine. Bien que le Département de la Sécurité intérieure (DHS) ait officiellement mis fin à son conseil de gouvernance de la désinformation, des documents montrent que ces efforts de censure se poursuivent en secret, souvent en collaboration avec des entreprises de médias sociaux.

De son côté, Meta, la maison mère de Facebook, a déclaré avoir récemment détecté et supprimé deux campagnes de désinformation menées par des groupes liés à la Russie et à l’Ukraine. L’une de ces campagnes consistait à publier de fausses informations sur l’invasion russe, tandis que l’autre cherchait à présenter l’Ukraine comme un "État défaillant". Ces campagnes s’appuyaient sur un réseau de faux comptes, bien que de taille relativement modeste, selon Meta.

En parallèle, des hackers affiliés à la Russie, connus sous le nom de Ghostwriter, auraient piraté les comptes de personnalités publiques et militaires ukrainiennes pour diffuser de fausses informations, notamment des vidéos truquées montrant une prétendue capitulation de l’armée ukrainienne. Meta affirme avoir bloqué ces tentatives et désactivé les domaines utilisés pour ces attaques d’hameçonnage.

Ces révélations soulignent l’ampleur et la sophistication des campagnes de désinformation menées sur les plateformes numériques, transformant les réseaux sociaux en outils de guerre informationnelle à une échelle mondiale.

L'urgence de protéger la souveraineté numérique face aux manipulations en ligne

La révélation des campagnes d'influence menées par la Social Design Agency met en lumière des failles préoccupantes dans la régulation des plateformes numériques comme Facebook. Bien que cette agence ait été sanctionnée par les États-Unis et l'Union européenne pour ses activités de désinformation, elle a néanmoins réussi à contourner les restrictions et à diffuser des publicités politiques touchant des centaines de milliers d'utilisateurs en Europe. Cette situation illustre l'insuffisance des mécanismes de surveillance de Meta et la lenteur de son adaptation face aux tactiques sophistiquées de manipulation de l'information.

L'utilisation de clones de sites d'information légitimes et de mèmes graphiques témoigne d'une stratégie d'influence élaborée, conçue pour brouiller les frontières entre les faits et la propagande. En exploitant des événements majeurs, comme la guerre en Ukraine ou les attaques terroristes, pour amplifier des récits biaisés, l'agence démontre une capacité inquiétante à influencer l'opinion publique rapidement et à grande échelle.

Ces campagnes posent également la question de la responsabilité des entreprises comme Meta. Malgré les bénéfices financiers qu'elle a tirés de ces publicités, la plateforme aurait dû redoubler d'efforts pour identifier et bloquer de telles opérations, conformément aux lois et sanctions en vigueur. Cette inaction relative pourrait aggraver les tensions entre Meta et les régulateurs européens, notamment dans le cadre de la loi sur les services numériques.


Enfin, cette affaire souligne l'importance d'une vigilance accrue de la part des gouvernements et des plateformes numériques pour contrer la désinformation et protéger la souveraineté numérique. Il est impératif de renforcer les systèmes de détection, d'améliorer la transparence sur les contenus sponsorisés et de responsabiliser les acteurs privés face à leur rôle dans la propagation de récits manipulatoires.

Ce rapport souligne l'urgence pour Meta d’intensifier ses efforts contre la désinformation et pour les régulateurs européens de s'assurer que leurs lois sont respectées, afin de protéger la souveraineté numérique de l'Union.

Source : Check First

Et vous ?

Quel est votre avis sur le sujet ?

La lenteur ou l’inefficacité de Meta dans la gestion de ces contenus est-elle due à des lacunes technologiques ou à un manque de volonté commerciale ?

Les lois européennes et américaines sont-elles suffisamment strictes pour contraindre des plateformes comme Meta à mieux modérer les contenus ?

Voir aussi :

Facebook dispose d'un portail spécial permettant aux autorités gouvernementales de demander que le contenu des utilisateurs soit limité ou supprimé, en cas de désinformation vaguement définie

Des documents divulgués montrent que les Russes se vantent du fait que seulement 1 % de leurs faux profils sociaux sont détectés, les efforts des plateformes de médias sociaux sont jugés insuffisants

Un groupe de pirates informatiques lié à la Russie se serait introduit dans des comptes Facebook et aurait publié de fausses vidéos de soldats ukrainiens se rendant, selon Meta

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Avatar de Jules34
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 20/01/2025 à 15:55
Ils étaient trop occupés à diffuser d'autres sources de désinformation ou à limiter certains sujets pour l'administration Biden, l'Union Européenne ou n'importe qui mettrait la main à la poche
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Avatar de noremorse
Membre actif https://www.developpez.com
Le 20/01/2025 à 20:30
LE RÉCIT DE DÉSINFORMATION RUSSE EST-IL RÉEL ? (par David Sacks) Question sérieuse pour les personnes qui se basent sur les faits.


Examinons les preuves :

1) Le récit de la désinformation russe a commencé avec le dossier Steele, un coup monté de la campagne d’Hillary Clinton utilisé d’abord pour salir son adversaire lors des élections de 2016, puis pour saper sa présidence. Il s’agissait d’une fraude créée par un ancien officier des services de renseignement britanniques. Les médias grand public ne se sont jamais excusés de l’avoir promu.

2) Ensuite, Mueller et son équipe de rêve de procureurs démocrates ont passé 2 ans et 32 ​​millions de dollars à traquer la campagne Trump pour collusion avec les Russes. Les médias ont rapporté à tue-tête que « les murs se refermaient » mais cela s’est avéré être un échec lorsque Mueller n’a trouvé aucune collusion.

3) Ensuite, les fichiers Twitter ont révélé que le tableau de bord de Hamilton68 était une fraude. Rappelons que Hamilton68, créé par d’anciens membres du renseignement américain, était la source de milliers d’articles de MSM affirmant que des robots russes étaient engagés dans des campagnes de désinformation sur les réseaux sociaux. Les robots russes auraient diffusé des termes comme « État profond » ou des hashtags comme #FireMcMaster , #SchumerShutdown , #WalkAway , #ReleaseTheMemo , #AlabamaSenateRace , #ParklandShooting , et bien d’autres. De l’aveu même des employés de Twitter, qui ont pu voir que les comptes sous-jacents étaient réels et non russes, c’était « des conneries ».

4) Ensuite, 51 anciens agents des services de renseignement ont été démasqués comme menteurs pour avoir signé une lettre affirmant que l'ordinateur portable de Hunter Biden était de la désinformation russe. En fait, l'ordinateur portable était réel. Mais l'épisode a montré à quel point le récit de la désinformation russe était profondément ancré. Sans aucune preuve, les anciens espions ont pu faire passer sous silence une importante série de révélations sur les transactions commerciales de la famille Biden simplement en utilisant les mots « désinformation russe ».

Conclusions :

Est-ce que je crois que le gouvernement russe ment ? Bien sûr. Tous les gouvernements le font, et le gouvernement russe ne fait certainement pas exception. Mais est-ce que je crois que les Russes mènent des campagnes secrètes à grande échelle pour influencer l’opinion publique américaine ? Je n’ai pas encore vu de preuves significatives pour étayer cette conclusion.

Au contraire, de nombreux éléments montrent que ce récit a été inventé par des partisans américains motivés pour mettre en cause à tort l’opposition. Comme dans le cas de l’ordinateur portable de Hunter Biden, ils l’ont invoqué lorsqu’ils avaient besoin de se distraire d’une histoire par ailleurs irréfutable.

Le fait que tant de membres de la communauté du renseignement américain aient été impliqués dans la création de ce récit – et qu’ils aient été pris en flagrant délit de mensonge en l’invoquant – laisse penser que ce récit est en soi une sorte de campagne de désinformation.

Le fait que les médias grand public continuent d’y adhérer et de le diffuser, sans preuve, démontre la puissance de la matrice narrative dans laquelle nous vivons. Il est important pour ceux d’entre nous qui souhaitent avoir des débats politiques honnêtes aux États-Unis de se débarrasser des étiquettes maccarthystes utilisées pour protéger le récit de désinformation russe des critiques évidentes fondées sur des faits et de l’appeler ce qu’il est : un canular.

Mensonges et désinformations des occidentaux sur la guerre en Ukraine (par Chay Bowes)

L’une des plus grandes tromperies de l’Occident est que les États-Unis n’ont commencé à « soutenir » l’Ukraine qu’après que les troupes russes ont finalement traversé la frontière en février 2022.

La ligne de « l'invasion non provoquée » est continuellement colportée par les médias clients de l'Occident, alors examinons les faits et décidons ensuite si les actions de la Russie étaient effectivement « non provoquées ».

La vérité est que dès les années 1940-1950, la CIA a établi des « contacts étroits » avec l'Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN) et l'Armée rebelle ukrainienne (UPA), deux groupes de collaborateurs nazis brutaux (now largement célébrés comme des héros dans l'Ukraine du dictateur Zelensky) et auteurs de massacres indescriptibles de Juifs, de Polonais et de Russes aux côtés de leurs alliés nazis pendant la Seconde Guerre mondiale.

La CIA leur a fourni des armes, de l'argent, du soutien et une formation dans le but de déstabiliser l'Ukraine et de promouvoir l'ultra nationalisme ukrainien.

Puis, dans les années 1950, la CIA a lancé « l'opération Aérodynamique », qui visait à soutenir les réseaux néo-nazis de Banderite en Ukraine, aboutissant en 1953 à la création par la CIA d'une unité spéciale appelée « Unité 2245 » pour capturer et analyser le matériel militaire russe en utilisant les Banderites antisémites et meurtriers pour faire leur sale boulot.

Au cours des années 1950-1960, la CIA a infiltré des ultra-nationalistes ukrainiens et a accru son soutien à leurs opérations terroristes en Ukraine. Ces opérations se sont poursuivies jusqu'aux années 1970, lorsque la CIA a mené des opérations de propagande noire en Ukraine et a apporté son soutien à des groupes antirusses de toute sorte, quelles que soient leurs méthodes ou leur penchant pour le meurtre et le terrorisme.

Au cours des années 1980 et 1990, la CIA a continué à soutenir les groupes nationalistes ukrainiens et à fournir des renseignements sur les activités militaires soviétiques en Ukraine, tentant d'utiliser des groupes néo-nazis pour des opérations de sabotage et de terrorisme dans le pays.

Dans les années 1990, avec l'effondrement de l'Union soviétique, la CIA a réorienté ses efforts vers le soutien à la transition de l'Ukraine vers la « démocratie » et a dépensé des centaines de millions d'argent noir pour contrer l'influence russe en finançant la corruption et en déstabilisant des groupes politiques et des médias légitimes.

2014-présent : Suite à l'action de la Russie en Crimée en réponse au coup d'État de Kiev soutenu et planifié par la CIA, et au renversement illégal du président légitime de l'Ukraine qui s'en est suivi, la CIA s'est lancée dans une vaste opération complexe avec le redoutable service de sécurité ukrainien SBU, en l'aidant à planifier des opérations telles que l'assassinat de femmes journalistes non armées, le ciblage de politiciens et de fonctionnaires russes dans le Donbass et à Lougansk et d'innombrables autres actions qui, si elles étaient menées contre un allié américain, seraient immédiatement classées comme terroristes.

Contrairement à ce que racontent les otano-kieviens, l'Ukraine a déjà perdu la guerre face à la Russie.
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Avatar de noremorse
Membre actif https://www.developpez.com
Le 20/01/2025 à 20:53
Opération Mockingbird : quand la CIA contrôlait les médias

Écoutes de la NSA, surveillance des réseaux sociaux, fausses accusations de collusion entre Trump et la Russie (Russiagate), étouffement, à la veille des élections de 2020, des révélations explosives contenues dans le pc portable d’Hunter Biden…

Derrière ces scandales se profile, ravivant la rumeur persistante d’un État dans l’État, l’ombre des renseignements américains. Dernièrement, Robert Kennedy a provoqué l’ire des gros médias de grand chemin en déclarant : “L’Opération Mockingbird est belle et bien vivante.” Opération Mockingbird (oiseau moqueur), le mot est lâché ! Il désigne l’opération de la CIA, une des plus controversées de son histoire, révélée en 1975 par la commission Church. Son objectif ? Manipuler les médias américains et étrangers au profit des États-Unis. (https://www.ojim.fr/operation-mockin...it-les-medias/)

CIA's use of journalists and clergy in intelligence operations
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Avatar de Aiigl59
Membre actif https://www.developpez.com
Le 24/01/2025 à 1:44
Il y a une erreur dans le titre, au lieu de :
"Les campagnes de désinformation russes ont échappé aux efforts de Meta pour les bloquer" il faut lire
"Les campagnes d'information russes ont échappé aux efforts de Meta pour les bloquer"
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Avatar de Jean GVE
Membre habitué https://www.developpez.com
Le 24/01/2025 à 9:19
Les «campagnes de désinformation» quelle que soit l'origine, sont définies par les Étasuniens… et bizarrement ces campagnes viennent des concurrents commerciaux ou des pays dont les dirigeants n'obéissent pas à Washington !
Et bien sûr, nous, tous les vassaux, ON raconte la même chose…
ALORS !……
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Avatar de dvilink
Membre régulier https://www.developpez.com
Le 24/01/2025 à 10:09
Sinon le FBI pro-démocrate chez Facebook ça passe crème ?
Et les pressions pour censurer les contenus dérangeants les labos pendant le covid ça passe crème ?

Plus rien de ce qui vient de l'UE et de ses officines n'est crédible. La confiance a totalement disparu.
L'UE est une boussole qui indique le sud.
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