Microsoft classé parmi les entreprises les plus éthiques
Par Ethisphere Institut, Google sort de cette liste
Le 2011-03-18 13:36:24, par Gordon Fowler, Expert éminent sénior
En collaboration avec Hinault Romaric
Microsoft fait à présent partie des entreprises les plus éthiques du monde selon le classement annuel 2011 que vient de publier l'Institut Ethisphere.
Pour la première fois depuis sa création, l’éditeur apparaît dans cette liste des 110 sociétés les plus vertueuses de la planète.
Ethisphere s'appuie sur une analyse du code éthique, de l'historique des litiges, des infractions réglementaires, des investissements dans l'innovation et des méthodes de gouvernance des d'entreprises ayant fait actes de candidature.
Cette année, plus de 3.000 compagnies ont postulées. Seules 110 ont été retenues.
Parmi elles, 36 sociétés ont fait leur entrée dans ce club (dont Microsoft) tandis que 26 en sont sorties (dont Google, qui fait l'objet d'une enquête menée par l'Union européenne).
Ethisphere explique son choix. L'Institut indique que Microsoft a réglé son dernier procès antitrust, a amélioré ses méthodes de gouvernance d'entreprises et son respect de l'éthique, et a investit de manière substantielle dans l'innovation.
Plus généralement, l'Institut souligne que « être éthique peut payer ». Graphique à l'appui. « Investir dans l'éthique (sic) est bénéfique pour toutes les entreprises, y compris en période de récession ».
Pour le secteur du logiciel, on retrouve au coté de Microsoft quatre autres sociétés : Adobe Systems, Salesforce.com, Symantec et Teradata Corporation.
Source : Liste complète de Ethisphere
Microsoft fait à présent partie des entreprises les plus éthiques du monde selon le classement annuel 2011 que vient de publier l'Institut Ethisphere.
Pour la première fois depuis sa création, l’éditeur apparaît dans cette liste des 110 sociétés les plus vertueuses de la planète.
Ethisphere s'appuie sur une analyse du code éthique, de l'historique des litiges, des infractions réglementaires, des investissements dans l'innovation et des méthodes de gouvernance des d'entreprises ayant fait actes de candidature.
Cette année, plus de 3.000 compagnies ont postulées. Seules 110 ont été retenues.
Parmi elles, 36 sociétés ont fait leur entrée dans ce club (dont Microsoft) tandis que 26 en sont sorties (dont Google, qui fait l'objet d'une enquête menée par l'Union européenne).
Ethisphere explique son choix. L'Institut indique que Microsoft a réglé son dernier procès antitrust, a amélioré ses méthodes de gouvernance d'entreprises et son respect de l'éthique, et a investit de manière substantielle dans l'innovation.
Plus généralement, l'Institut souligne que « être éthique peut payer ». Graphique à l'appui. « Investir dans l'éthique (sic) est bénéfique pour toutes les entreprises, y compris en période de récession ».
Source : Liste complète de Ethisphere
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BarsyExpert confirmé
Envoyé par Chakra9 le 18/03/2011 à 14:06 -
SendushaMembre chevronnéLa mauvaise foi classique du fanboy Microsoft. Pour information : Applications > Logitèque Ubuntu.Installez une imprimante un peu exotique sur Ubuntu, faites de même sous Windows...
"Essaye d'installer cette imprimante sous Windows, puis fais de même sous Ubuntu..."le 18/03/2011 à 16:03 -
SendushaMembre chevronnéQui te parle de programme ? Je te parle de pilote. Si c'était si simple de faire fonctionner un pilote XP sous Windows 7, je pense qu'il serait temps de prévenir mes connaissances qui ont dû remplacer tout leur vieux matériel qui fonctionnait très bien (carte son externe, imprimante...) pour une simple question de pilote matériel inexistant sous Windows > à XP. Sous Linux, un matériel qui est supporté dans une version ne disparaît dans pas une version ultérieure.
De plus c'est toi qui a lancé à nouveau ce troll velu Linux vs Windows qui n'a rien à faire ici, pour une fois.le 18/03/2011 à 21:18 -
SendushaMembre chevronnéArticle très intéressant, on apprend des choses sur Microsoft, société si "vertueuse"...le 19/03/2011 à 14:16
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SendushaMembre chevronnéLe fait que Microsoft soit considérée comme une entreprise aussi vertueuse qu'une entreprise comme Symantec qui a réussi le tour de force d'imposer son anti-virus installé d'office, en version d'essai, sur tous les nouveaux ordinateurs, se fait connaître par sa politique d'abonnement exécrable avec renouvellement automatique, qui n'est souvent pas désinstallable sauf à installer un outil spécial de désinstallation, et dont le nom fait froncer les sourcils de n'importe quel informaticien un peu sérieux, ça me fait doucement rigoler.
Quant à régler son dernier procès antitrust, disons que Microsoft a surtout eu beaucoup de chance que Bush ait été élu président et soit violemment pro-Microsoft... sinon l'entreprise aurait été divisée en deux.le 18/03/2011 à 15:15 -
_skipExpert éminentMais les raisons qui poussent à ne pas divulguer les sources sont aussi stratégiques.
L'entreprise dans laquelle je travaille est une start-up, nous avons investi 3 ans en tout cas dans le développement et l'affinage des algorithmes à la base de notre service. Si nous publions notre code, nous pouvons fermer l'entreprise car n'importe quel concurrent pourra se servir sur un plateau sans y passer 3 ans, pour cette raison, il pourra proposer moins cher et plus avantageux.
Pour moi c'est utopique de croire que c'est une licence qui va te protéger et empêcher le plagiat ou l'utilisation de ton travail à tes dépens. Tout le monde trouve normal qu'un grand cuisinier ou un grand chocolatier ne révèle pas ses recettes transmises de père en fils, tout le monde trouve normal que michelin ne divulgue pas ses secrets de fabrication de ses pneus mais dès qu'il s'agit de logiciel on devrait tout laisser à disposition du premier venu sous peine d'être privateur de liberté.
Ne pas être libre/open source pour une société commerciale, c'est aussi une question de survie. Avec le nombre de logiciels craqués que j'ai vu en entreprise ou installés chez des clients, je peux me permettre de croire que c'est pas une licence qui bloque quoi que ce soit.le 21/03/2011 à 9:24 -
BarsyExpert confirméPour ma part, j'ai mis -1 car je ne vois pas le rapport entre "éthique" et "logiciel libre".
Je constate que Chakra9 essaie encore de nous refourguer son adjectif. Je te félicite pour avoir su l'orthographier correctement cette foisle 19/03/2011 à 17:00 -
_skipExpert éminentTu veux rire
???
Faudra que tu me dises si depuis le début tu parles de petits trucs d'hobbyistes ou de *weekend coders* passionnés. Car moi je te parle de produits professionnels sur lesquels une boîte peut s'appuyer pour vivre, avec des assurances qualité et des milestones. Et ce que tu décris là, avec le développeur qui fait ce qu'il a envie sans contrainte d'entreprise, c'est un monde parallèle avec un arc-en-ciel et des créatures poilues qui ont des coeurs dessinés sur le bide.
Je veux pas me montrer condescendant mais tu es lycéen je viens de voir, on en reparlera quand tu auras goûté aux joies du monde professionnel.le 21/03/2011 à 21:37 -
SendushaMembre chevronnéNon parce qu'elles savent pertinemment que ce concours est bidon et ne sert qu'à se faire mousser ; les entreprises comme Canonical préfèrent travailler que de se pavaner comme fait Microsoft.
Tu sais que tu peux être payé en temps que développeur pour réaliser du logiciel libre ? C'est ce qui se fait notamment pour certains développeurs du noyau Linux et ceux des entreprises Canonical et RedHat. Certains clients sont prêts à payer pour voir certaines fonctionnalités développées ; le fait qu'elles soient sous forme de logiciel libre signifie qu'ensuite tout le monde peut l'utiliser et l'améliorer sans rien payer, mais le travail initial a été payé.le 23/03/2011 à 7:40 -
SendushaMembre chevronnéCe qui prouve que tu ne m'as même pas lu. Justement on peut très bien être payé pour le développement d'un logiciel libre, en temps que développeur, par une entreprise qui t'emploie pour faire du code libre.
Bien sûr, le code étant libre, il n'est pas ici question d'ensuite s'assurer une rente par la vente de licence d'utilisation. Si on veut une rente, il faudra donc passer par autre chose : services, supports, etc... A la limite, c'est ici le problème de l'entreprise qu'il t'emploie : où elle va trouver ses fonds, où elle va s'y retrouver avec le logiciel libre.
Mais moi je te parle bien du niveau développeur, donc de l'employé ; celui qui développe du code libre et qui reçoit son gagne pain pour son travail de développement, et c'est chose courante dans les entreprises investissant dans le développement de distributions majeures ou de gros composants du libre (notamment le noyau).le 23/03/2011 à 23:21