
Les États membres ont été très actifs dans le soutien des écosystèmes de la blockchain, en commençant des expériences et en annonçant des actions au niveau gouvernemental. Le secteur privé est également un pionnier de la blockchain pour améliorer l'efficacité, renforcer la confiance et promouvoir la croissance. Les technologies de blockchain sont considérées comme particulièrement prometteuses pour assurer plus de sécurité, d'intégrité et de transparence lors de la fourniture de services, l'application de la réglementation et l'assurance de la conformité légale.
Les États membres coopéreront aussi pour stimuler la technologie et la capacité industrielle de l'Europe dans le domaine de l'IA notamment en améliorant l'accès aux données du secteur public. Ils conviennent également de s'attaquer aux défis socio-économiques, la modernisation des systèmes d'éducation et de formation en Europe, y compris l'amélioration des compétences et le recyclage des citoyens de l'UE.
La Commission prévoit aussi d'adopter un accord prévoyant entre autres « une infrastructure de données pour faire progresser la recherche, la prévention des maladies (infectieuses et complexes ) ». Les signataires de cette déclaration conviennent de travailler ensemble pour fournir des solutions de santé et de soins transfrontalières, axées sur les données au bénéfice des citoyens de l'Union.
Ils sont 25 pays au total à s’être engagés sur le volet IA. Particulièrement, la France s’est engagée sur l’IA et la blockchain pour des accords de coopération annoncés à Bruxelles le 10 avril à l’occasion du Digital Day, organisé par la Commission européenne. En revanche, elle ne valide pas ceux sur l’e-santé et le financement de la recherche.
Sources : IA, Blockchain, e-santé
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