Jamais utilisé perforce, ni CVS en fait (CVS je n'ai jamais rien fait d'autres avec que l'obtention des dernières sources). Ceci-dit, la vision énoncée ici semble assez réduite. Des SCM il en existe beaucoup plus que juste 3.
SVN aussi à ses plugins et interfaces graphiques pour tous les systèmes, ainsi que ses interfaces de programmation. Mais il y a aussi Git, Mercurial ou encore Bazaar. Bien qu'il aient un modèle distribué et non centralisé.
Personnellement, j'utilise Mercurial. Il se configure en 2 minutes, fonctionne très bien, propose de base une interface Web, est supporté par Redmine, possède ses intégration a l'explorateur Windows mais également aux équivalent Linux/Mac. Pas vu de problème de performance pour le moment. Il est utilisé par (ou pour des logiciels) qu'on peux difficilement qualifier de "petit projet persos", comme Mozilla, Python en encore Xen (et bien d'autre).
Mais on pourrait en dire autant de Git et de Bazaar. Le premier étant principalement utilisé pour le kernel de Linux, et le second étant sponsorisé par Canonical.
Pour moi ils sont tous très bon. Avec leurs avantages et leurs inconvénients. Les différences entres chacun n'étant pas flagrante, il faudrait plutot parler des SCM à éviter. Comme CVS puisqu'il est totalement remplaçable par SVN. Ou encore Visual SourceSafe 2005 (pas connus les autres versions). C'est ce qu'on utilise actuellement à mon travail, et c'est juste une horreur ce soft. Un répertoire FTP où chacun viendrait prendre les sources, merger en local via un logiciel de différences, puis déposer les nouvelles sources dans une nouvelle archive portant le nom de la version, serait une démarche plus efficace et sure que d'utiliser Visual SourceSafe 2005. Le logiciel est tellement bourré de bug qu'il lui arrive régulièrement d'obtenir les source au lieu de les commiter, résultat, avant un merge on est obligé de se faire une copie locale de nos fichiers, faire le merge via SourceSafe, puis vérifier qu'il n'a pas fait de connerie en comparant avec les sources sauvegardées.
Et je ne parle même pas de sa lenteur affligeante.
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