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Ne dites plus "Green IT" mais "éco-TIC",
Ou quand la langue française se penche sur le vocabulaire informatique

Le , par Gordon Fowler

362PARTAGES

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Citation Envoyé par Katleen Erna Voir le message
MAJ du 07.09.2009
La Délégation générale à la langue française et aux langues de France du ministère de la Culture est chargée d'enrichir la langue française et de la mettre à jour. Sa sous-section France Terme a elle pour mission de s'occuper de tous les mots ayant un rapport à l'informatique et aux nouvelles technologies. Plus que du référencement, son travail consiste surtout en une adaptation française des termes anglophones, comme "spyware" qui devient "logiciel espion" dans notre langue.

Ainsi, l'expression "Green IT" n'a pas échappé à la règle. Elle a été traduite en "éco-TIC" (écoTechniques de l'Information et de la Communication) et attend son éventuelle entrée dans la langue française (comme "bogue" ou "hameçonnage".
Que pensez-vous de la "Green IT" ?
Quel est le statut actuel de l'informatique écologique dans votre entreprise ?

Green IT ou Green computing c'est tout simplement l'idée de l'informatique écologique. Le but est d'essayer de tenir compte des contraintes et des coûts en énergie, comme par exemple l'alimentation électrique et la climatisation pour les matériels informatiques.

Il s'agit non seulement de réfléchir à l'efficacité énergétique des équipements et des centres de traitement informatique, mais aussi de se poser des questions sur l'ensemble du cycle de la vie des équipements informatiques, y compris la fabrication, l'utilisation et enfin le recyclage en fin de vie.

Green IT : quand l’informatique et le TIC se mettent au vert !
Né initialement d’un concept marketing, le green computing ou green IT (traduisez informatique verte) s’avère être aujourd’hui une tendance en pleine évolution et qui a atteint une maturité certaine. Tout un programme !

Naissance du greenIT
À l’origine fut l’initiative Energy Star. En 1992, alors que le monde informatique et les nouvelles technologies de l’information sont en pleine effervescence , ce programme du gouvernement américain a été chargé de la promotion de l’économie d’énergie et de la réduction de l’émission des gaz à effet de serre.

L’initiative s’est ensuite concrétisée en un label apposé sur tous les équipements respectant les normes environnementales. Malgré tout, la consommation énergétique liée à l’informatique n’a cessé d’augmenter et les quelques chiffres et statistiques connus à ce sujet peuvent donner le tournis. Sachez que le montant de l’énergie consommée par un ordinateur pendant son cycle de vie est supérieur à son prix d’achat. L’émergence des Datacenters a encore corsé la facture, en portant la part de la consommation énergétique du seul secteur des technologies l’information et de la communication à plus de 13% de la consommation nationale en France. Depuis 2007, ce secteur énergivore voit sa consommation s’accroître de 13% par an. Si cette croissance continue, il faudrait une dizaine de centrales électriques en plus aux États-Unis pour pouvoir répondre aux besoins de ces mastodontes que sont devenus les centres de traitement de données. Le terme de green IT a été d’ailleurs utilisé la même année par des universitaires et des journalistes pour préciser ce phénomène naissant.

Green IT et aspect financier
Au départ, l’administration américaine sensibilisait ses fonctionnaires à éteindre leurs postes de travail le soir en rentrant. Ensuite, les fabricants d’ordinateurs et les éditeurs de logiciel ont intégré à leurs équipements des programmes de mise en veille automatique. Mais au-delà des préoccupations purement environnementales, le facteur coût a été le plus décisif. Les options extinction, mise en veille des ordinateurs, utilisation de logiciels d’économie d’énergie pour gérer les parcs de machines ou de serveurs peuvent faire baisser les factures énergétiques jusqu’à 50%.

Les principaux acteurs concernés

Les DSI.
Les DSI sont donc les premiers concernés et ont pris le devant en matière de greenIT. Leurs dirigeants reconnaissent à l’unanimité la nécessité d’avoir une stratégie volontariste. Et près d’un dirigeant sur deux a déjà lancé l’initiative greenIT au sein de leurs entreprises. Pour le moment, les grandes entreprises et le secteur public (collectivités locales et administrations) sont les plus actifs. Mais certains spécialistes, comme Christophe Corne, directeur général de Dotgreen restent tout de même extrêmement optimistes quant à l’adoption de cette initiative par les petites et moyennes entreprises. Les actions mises en place, en plus de la réduction de la consommation d’énergie, concernent notamment les achats écoresponsables, le recyclage des consommables et des équipements informatiques en fin de cycle, l’optimisation de l’utilisation des imprimantes. De plus en plus de Datacenters et de géants du TIC engagent également des actions en faveur de l’utilisation des énergies renouvelables. Yahoo a décidé, par exemple, de puiser une partie de sa consommation électrique en installant un centre informatique dans la ville de Lockport aux bords de la chute des Niagara. Un bâtiment de 17 000 m2 d’un coût global de 150 millions de dollars va être bâti par le numéro deux du web mondial d’ici 2012.

Les fabricants d’équipements et d’accessoires informatiques se mettent aux verts eux aussi depuis longtemps, pas seulement pour leurs consommations d’énergie, mais ils portent aussi les plus grandes des attentions aux produits développés et sortis par leurs usines. Les principaux fabricants de PC et d’ordinateurs portables s’ingénient pour mettre à la disposition des utilisateurs des produits informatiques « écologiques ». Un consortium de fournisseurs informatiques, le Climate Savers Computing Initiative (CSCI), recensant les produits « verts » offerts par les principales marques entre autres Dell, HP, Lenovo, Sun et Fujitsu-Siemens vient d’être créé. Ce projet est soutenu par le WWF (World Wildlife Fund) et par certains grands noms de l'informatique et du TIC mondial (Google, Intel, Lenovo, Yahoo!,…). À son actif : une première catalogue comportant pour le moment un peu plus de 300 modèles. Ces produits ont été sélectionnés sur la base de critères techniques et environnementaux plus que draconiens ! Bien que l’initiative ne soit encore qu’à son début, le catalogue diffusé en ligne par le Climate Savers Computing Initiative met à la disponibilité des utilisateurs un outil d’aide pour un achat écoresponsable.

L’initiative Guide to Greener Electronics de Greenpeace.
De son côté, cette organisation militante, a mis au point un classement mondial des fabricants de produits électroniques et vient d’ailleurs de dévoiler au public la 12e version de son rapport basé sur le Greenpeace Guide to Greener Electronics. L’enquête menée par Greenpeace passe au crible la
présence de substances chimiques nocives telles que le mercure, le PVC, toute sorte de retardateurs de flamme bromés, les antimoines, le béryllium, les phtalates… ; le rendement énergétique ; le cycle de vie ainsi que les possibilités de recyclage de chaque produit.

Le classement établi par Greenpeace a le mérite de considérer le produit vert dans toute son étendue. Pour Greenpeace, le concept couvre aussi bien la consommation énergétique du produit (économie d’énergie, émission de gaz…) que le taux de composants toxiques entrant dans sa fabrication. Et à l’issue de ce fameux douzième rapport, de grandes marques de PC et d’équipements informatiques ont été mal notées par Greenpeace. Dell, Lenovo et HP ont été notamment critiqués pour ne pas avoir respecté leurs promesses de mettre sur le marché des produits « verts ». D’autre comme Apple et Toshiba ont par contre enregistré des progrès notables et entrent désormais dans l’arène des entreprises ayant fournies le plus d’efforts pour normaliser leurs produits.

Trois produits émergent des quarantaines testées : l'ordinateur portable Sony Vaio TZ11, le mobile T650i et le PDA P1ide Sony Ericsson. Suivent ensuite l’ordinateur de bureau Hewlett-Packard Compaq 2710P, le Dell Optiplex 755, le Portégé R500 de Toshiba. Le téléphone N 95 de Nokia ferme la marche des produits en tête de classement des produits électroniques verts.

Greenpeace, grâce à son expérience et à son image auprès du public et des décideurs, peut se targuer d’être plus indépendante que l’initiative menée par le Climate Savers Computing Initiative. Autre point fort de l’évaluation de classement Greenpeace : le classement va au-delà des produits et concerne de plus en plus aussi les dirigeants, c’est-à-dire les principaux décideurs. Gare donc aux annonces séduisantes et non respectées, car Greenpeace veille aux grains ou plutôt … au vert !

Le TIC au centre des pratiques pour l’amélioration de l’environnement
Mais détrompez-vous, le TIC ne doit pas être taxé seulement de source de pollution, il peut être une des solutions les plus efficaces pour réduire les gaspillages et les nuisances environnementales de tout genre. Le récent rapport TIC et Développement durable des autorités publiques françaises le démontre clairement tout en restant assez prudent quant à l’adoption massive des télétravailleurs.

Premier constat
de ce rapport. Un million de tonnes de CO2 pourraient être économisées en France grâce notamment à l’adoption du télétravail. La France est un des pays européens où le taux de recours au télétravail demeure assez faible 7% par rapport au 13% de moyenne européenne. En évitant les déplacements pour se rendre au bureau et en permettant la réduction des espaces dédiés et les dépenses énergétiques liées au de travail (climatisation, chauffage), la France peut dégager des économies très significatives ainsi. Le plan numérique du gouvernement français insiste sur l’encouragement du télétravail en levant notamment les blocages liés aux aspects financiers et juridiques.

Deuxième constat. Les réunions à distance rendues possibles grâce à l’évolution de la technologie (la conférence téléphonique, la téléprésence, la visioconférence) vont réduire de 20% les voyages d’affaires. Et l’impact de cet autre choix de travailler autrement est estimé à environ 4 millions de tonnes de carbone économisées pour la France. Six fois plus d’économie seront ainsi réalisées au niveau mondial (23 millions de tonnes de CO2).

Troisième constat.
L’e-commerce a aussi son mot à dire dans la lutte acharnée que la planète mène contre l’émission de gaz à effet de serre, un million de tonnes de CO2 sont en jeu. Presque la moitié de cette économie sera dégagée sur les achats alimentaires si les consommateurs effectuaient seulement 10% de leurs besoins sur des sites de vente en ligne. Seule ombre au tableau : les transports nécessaires pour les livraisons des achats effectués sur internet peuvent avoir un impact négatif sur le bilan carbone de l’ e-commerce.

Quatrième constat.
L’e-administration, comme l’e-commerce, contribue aussi à la réduction d’émission de gaz à effet de serre. Dans ce domaine, la carte Sésame Vitale qui a permis d’économiser près d’un milliard de feuilles maladie en est la première illustration de l’économie de CO2 réalisée en supprimant impression, stockage et transport liés à leur traitement. De même, l’adoption massive de la télédéclaration par les entreprises françaises a aussi permis une importante économie allant dans ce sens.

Cinquième et sixième constat
. Le bâtiment et le transport intelligents seront aussi des sources d’économie importante en matière de bilan carbone. Et cela grâce encore aux nouvelles technologies. Les TIC peuvent assurer la régulation continue des bâtiments aux conditions climatiques extérieures.

Lire aussi
Le Forum de discussion sur l'écologie et la "Green IT"

Que pensez-vous de la Greent It ? Quel est le statut actuel de l'informatique écologique dans votre entreprise ?

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Avatar de Marco46
Expert éminent sénior https://www.developpez.com
Le 01/07/2009 à 16:58
Bah les chiffres sont faciles à trouver. Je suis au boulot là donc bon je les ai pas sous la main mais ya le site de bilan carbone, ya les travaux de vulgarisation de Jancovici, etc... qui montrent bien qu'une économie tertiaire est encore pire qu'une économie basée sur le secondaire.

La dématérialisation de l'économie à la base d'une croissance verte est une blague. C'est juste faux quand on fait les comptes de la pollution générée pour la matériel et l'énergie. Quand tu fais l'effort de t'informer par toi-même sur ce sujet, c'est à dire pas au journal de 20h ni dans les grands quotidiens (qui ne font qu'effleurer les choses et les tourner dans le sens qu'ils ont envie) mais sur Internet et dans les livres écrits par des professionnels de l'énergie, ces choses là sont expliquées très très bien et sont très accessibles et c'est assez énervant de voir des gens qui ont vu un reportage à la télé qui débarquent ensuite avec leurs gros sabots pour expliquer la solution miracle pour la planète.

Typiquement, quelqu'un comme Jacques Attali par exemple est totalement à côté de la plaque sur ces questions. Sans même parler de dérèglement climatique (comme sur un autre fil), il s'agit de réserves énergétiques, le challenge demandé aux ingénieurs pour réduire la consommation (division par 4 à effectuer le plus vite possible) tout en continuant de faire croitre le PIB c'est juste pas possible physiquement.

D'où, je pense, l'énervement de Furikawiri que je partage (mais je suis un peu sanguin sur ces sujets). La lobotomie de beaucoup de gens par les médias traditionnels m'énerve à un point pas possible et j'ai envie de foutre des grandes tartes dans la gueule de ces gens pour leur faire rebooter leur cerveau. (encore que pour certains un p'tit format C: soit nécessaire ...)

La remarque de Jidefix est caractéristique, bien que visiblement un peu plus éveillé que le commun des mortels, il n'a pas la notion des ordres de grandeurs sur cette question et ne s'est donc pas renseigné sur le sujet. Sinon il saurait que couper les serveurs la nuit c'est une goutte d'eau dans l'océan des économies à réaliser, tout comme faire pousser des éoliennes. On perd notre temps avec ces conneries alors qu'il faudrait informer les gens qu'on est dans une merde noire pour ne pas qu'ils refusent en bloc la situation quand ça va devenir vraiment craignos. Il nous faut diviser notre consommation par 4 dans les décennies à venir, et pour les USA par 8. Et tout ça tout en continuant à faire croitre le PIB. Est ce que vous vous rendez compte de ce que ça signifie ? Ça s'appelle juste croire au Père Noël.

Donc tant qu'on ne saura pas faire des composants électroniques à base de patate, l'écologie et l'informatique c'est pour de rire, pour faire un p'tit sujet de 2 min au 20h pour donner bonne conscience à Madame Michu, qu'elle sache que ses enfants vivent dans une société responsable qui prépare le futur en toute connaissance de cause et avec responsabilité.
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Avatar de Louis Griffont
Inactif https://www.developpez.com
Le 02/07/2009 à 8:45
Citation Envoyé par nicorama Voir le message
C'est vrai qu'entre sacrifier Airbus ou les Bangladais, le choix est rude. Mais comme dirait l'autre, nous sommes tous des décideurs.
Ceci est un postulat parfaitement faux ! Nous ne décidons de rien ! On nous impose tout.

Nous n'avons aucun pouvoir (et ne me parler pas d'élections).
Les Politiques n'ont aucun pouvoir n'ont plu !

Les seuls qui ont un réel pouvoir sont les boursicoteurs, les actionnaires des grosses entreprises. Voila ou est le pouvoir. Et clairement, eux ils s'en foutent ! Le jour ou faire de l'écologie rapportera plus que polluer, alors la planète sera verte, mais alors verte, même qu'on aura un problème parce que l'air sera trop pur !
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Avatar de Katleen Erna
Expert éminent sénior https://www.developpez.com
Le 08/09/2009 à 4:44
MAJ du 07.09.2009

La Délégation générale à la langue française et aux langues de France du ministère de la Culture est chargée d'enrichir la langue française et de la mettre à jour. Sa sous-section France Terme a elle pour mission de s'occuper de tous les mots ayant un rapport à l'informatique et aux nouvelles technologies. Plus que du référencement, son travail consiste surtout en une adaptation française des termes anglophones, comme par exemple "spyware" qui devient "logiciel espion" dans notre langue.

Ainsi, l'expression "Green IT" n'a pas échappé à la règle. Elle a été traduite en "éco-TIC" (écoTechniques de l'Information et de la Communication) et attend son éventuelle entrée dans la langue française (comme "bogue" ou "hameçonnage".
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Avatar de nicorama
En attente de confirmation mail https://www.developpez.com
Le 01/07/2009 à 9:24
Euh, hier j'ai acheté un climatiseur 33° à Toulouse toute la semaine.

Par contre je refuse absolument de prendre l'avion quand il y a possibilité de prendre le train, même au même prix et cela devrait - hors considération de crise - être plus habituel.
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Avatar de Marco46
Expert éminent sénior https://www.developpez.com
Le 01/07/2009 à 10:44
Il y a pas plus énergivore que le tertiaire. Alors l'écologie et les ordinateurs c'est une bonne blague pour le moment.
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Avatar de Furikawari
Inactif https://www.developpez.com
Le 01/07/2009 à 11:00
Citation Envoyé par Marco46 Voir le message
Il y a pas plus énergivore que le tertiaire. Alors l'écologie et les ordinateurs c'est une bonne blague pour le moment.
L'informatique en général est une catastrophe pour l'environnement. Matériaux utilisés, consommation d'énergie, etc.
Je rejoins le point de vue de Marco, l'écologie et les ordinateurs c'est une vaste blague.
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Avatar de Jidefix
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 01/07/2009 à 11:07
Justement c'est là qu'il y a le plus de boulot !
Il y a pas longtemps on avait vu un exposé sur l'énergie gâchée par les serveurs web inutilisés (genre je pense pas qu'impots.gouv.fr soit très utilisé à 3h du matin), et les possibilités de réduction d'énergie en cas d'inactivité, un peu comme pour les ventilos qui ralentissent quand l'ordinateur est froid.

Je ne sais pas trop si ça a avancé...
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Avatar de MaliciaR
Membre confirmé https://www.developpez.com
Le 01/07/2009 à 11:08
Salut,

J'ai trouvé que cette page méritait d'être citée ici : Greener electronics. Les liens sur la bande à gauche sont très intéressants aussi.
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Avatar de Furikawari
Inactif https://www.developpez.com
Le 01/07/2009 à 11:10
Citation Envoyé par Jidefix Voir le message
Ben justement c'est là qu'il y a le plus de boulot!
Il y a pas longtemps on avait vu un exposé sur l'énergie gâchée par les serveurs web inutilisés (genre je pense pas qu'impots.gouv.fr soit très utilisé à 3h du matin), et les possibilités de réduction d'énergie en cas d'inactivité, un peu comme pour les ventilos qui ralentissent quand l'ordinateur est froid.

Je sais pas trop si ça a avancé...
Poudre aux yeux, c'est peanuts comparé au coût écologique de la production du dit serveur. Encore une fois, avec ce genre d'économies à 2 balles qui épatent le gogo devant son 20h on noie facilement le poisson.
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Avatar de nicorama
En attente de confirmation mail https://www.developpez.com
Le 01/07/2009 à 12:34
C'est plus complexe que cela.

Internet évite de transporter des tonnes de courrier, et évite des déplacements professionnels.

Mais pour ma part, sans Internet, je ne serais jamais allé aux usa car je n'aurais jamais envoyé mon CV pour 50 € dans 50 écoles. Or mon bilan carbone a explosé lors de mes trajets en avion.

L'informatique est créateur d'économies mais aussi d'opportunités. Savoir si c'est au final bien ou pas, peu importe. Mais on peut travailler à limiter la consommation.
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