Le sondage ne concerne pas la France et l'Europe mais il donne une idée de l'impact des réseaux sociaux sur le monde du travail.
Selon une étude effectuée par Harris Interactive auprès de 2.667 recruteurs et professionnels des ressources humaines aux Etats-Unis fin mai-début juin, 45% des employeurs n'hésitent pas à utiliser des sites de réseaux sociaux pour obtenir des informations sur un candidat à un emploi.
C'est deux fois plus que l'an passé, à la même époque.
Ce sondage commandé par le site CareerBuilder.com révèle que 35% de ces employeurs connectés sur Facebook, MySpace ou LinkedIn ont écarté des candidats après avoir découvert des informations sur son profil en ligne.
Voici des exemples des critères de rejet :
- Mise en ligne de photos dérangeantes (53%)
- Aveu d'usage de drogue ou d'ébriété (44%)
- Déclarations peu flatteuses à l'égard d'un ancien patron ou de collègues (35%).
Mais tout n'est pas si gris, puisque 18% des patrons reconnaissaient avoir choisi un postulant en surfant sur leur profil.
Pour cela, ils sont 29% à utiliser Facebook et 26% LinkedIn. Viennent ensuite MySpace, les blogs en général et le nouveau venu Twitter.
Source : Communiqué de presse de CareerBuilder.com (en anglais)
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