
L’attaque consiste à envoyer à un analyseur syntaxique XML, un fichier malicieux qu’il n’est pas capable d’interpréter correctement. Parmi les conséquences de l’attaque XXE, on peut citer entre autres : l’accès aux fichiers locaux, le Déni de service, ou encore l’exécution à distance de code arbitraire.
Concrètement, les chercheurs ont envoyé aux serveurs de la firme de Mountain View un fichier XML malicieux pour personnaliser les boutons du « Google Toolbar Button galery ». Le résultat fut phénoménal. Ils ont réussi à l’aide de leur fichier malicieux à avoir l’accès aux fichiers passwd et hosts du dossier /etc, d’un des serveurs internes de production de Google.
Par la suite, ils ont contacté l’équipe compétente de Google pour lui faire part de la découverte de la vulnérabilité XXE. Pour récompenser leurs efforts, ils se sont vus gratifiés de cette belle somme.
Source : blog Detectify
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