Après un an seulement d’existence en France, Aruba, le fournisseur de services d'infrastructure IT en mode Cloud, a su se faire une place sur le marché du Cloud français.Disposant d’un Datacenter localisé en France – qui de ce fait n’est pas soumis au Patrioct Act et donc est à l’abri de l’espionnage de la NSA – Aruba a su allier performance et sécurité pour offrir une plateforme Cloud, dont les utilisateurs restent propriétaires de leurs données, qui ne sont ni copiées, ni déplacées.
Aruba revendique « une offre technologique robuste, sécurisée et flexible ». Concrètement, son Cloud repose sur des serveurs « de toute dernière génération » et en matière de virtualisation, Aruba propose le support de 3 hyperviseurs (VMware vSphere 5, Hyper-V, Hyper-V Low Cost). Il prévoit d’en supporter d’autres rapidement.
La plateforme Cloud dispose d’un nouveau service de répartition de charge, ou load-balancing, qui permet de créer une infrastructure capable de distribuer la charge entrante sur plusieurs serveurs Cloud. Elle s’est également enrichie d’un service de Cloud Monitoring permettant de surveiller l'ensemble de ses sites Web, serveurs Cloud, serveurs dédiés qu'ils soient hébergés au sein des datacenters d'Aruba ou bien chez d'autres fournisseurs.
Aruba mise également sur la simplicité avec VisualCloud, une interface d’administration qui permet d’activer des services par simple glisser-déposer
Pour les développeurs, une interface applicative de programmation (API) permet d’intégrer leurs applications métiers à l’infrastructure Aruba Cloud.
Durant cinq mois d’affilé au cours de la seconde moitié de 2013, Aruba a été numéro 1 sur le benchmark Cedexis, qui compare les performances des principaux acteurs du Cloud.
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