Net Applications a révélé les statistiques autour de l'utilisation des navigateurs web sur le mois de novembre. Avec 58,36 % des parts, IE (Internet Explorer), le navigateur de Windows, est encore majoritairement utilisé par les internautes. Dans le détail, la version la plus utilisée du navigateur est IE8 avec 21,74 % des parts. Le fait que ce soit la dernière version accessible depuis Windows XP pourrait contribuer à expliquer cette proportion. Vient ensuite IE10 avec 17,5 %. Jusqu'à récemment, cette version était la plus récente accessible depuis Windows 7 et 8. Et enfin vient IE9 avec 9,25 % d'utilisation. La grosse surprise provient certainement d'IE11 qui a été adopté par 3,27 % des utilisateurs IE, malgré sa sortie tardive (fin du mois d'octobre 2013).
Le navigateur de Mozilla, Firefox, occupe la seconde place avec un pourcentage de 18,54 %. Il est mené par la version Firefox 25 avec 10,43 % d'utilisation. Chrome s'en sort avec une honorable troisième place grâce à ses 15,44 % d'utilisation. Chrome 31 et 30 sont à la tête des versions les plus utilisées du navigateur de Google avec respectivement 6,77 % et 5,94 % d'utilisation.
Les chiffres et les classements diffèrent chez StatCounter. Sur le podium trône le navigateur de Google avec 40,44 % des parts. A la seconde marche se retrouve IE avec 28,96 % d'utilisation et enfin Firefox avec 18,11 %.
Concernant la méthodologie des deux sources de statistiques, il faut savoir que StatCounter tire ses moyennes en se basant sur environ 15 milliards de pages vues. Net Applications quant à lui analysera 160 millions de visiteurs uniques.
Sources :
Net Applications, StatCounter
Et vous ?
Qu'en pensez-vous ? Quelle est la méthodologie qui vous semble la plus pertinente ? Pour quelles raisons ?
IE utilisé par 58,36% des internautes selon le baromètre de Net Applications,
Firefox intéresse 18,54% tandis que 15,44% optent pour Chrome
IE utilisé par 58,36% des internautes selon le baromètre de Net Applications,
Firefox intéresse 18,54% tandis que 15,44% optent pour Chrome
Le , par Stéphane le calme
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