À l’occasion de la venue inédite en France d’Alan Clark, Président du Conseil d’Administration de l’OpenStack Foundation, chez Numergy le 24 octobre dernier, l’acteur majeur du Cloud français a dévoilé en avant-première sa roadmap technique 2014. Numergy va ainsi compléter son offre avec une nouvelle plateforme reposant sur la technologie Opensource d’Openstack.La volonté de Numergy de faire reposer sa plateforme de Cloud public sur la technologie Openstack s’explique au travers de trois éléments forts :
- Donner une nouvelle dimension au « datacenter virtuel » avec l’introduction de la gestion personnalisée de la flexibilité de l’infrastructure et ses ressources. Concevoir, opérer, posséder son infrastructure de service avec tous les composants critiques donnant plus d’agilité et de réactivité et ainsi ouvrir de nouveaux usages aux entreprises.
- Proposer une solution interopérable ou ouverte, capable de mettre en œuvre toutes les technologies de stockage, de calcul, de réseau et de sécurité.
- Offrir l’opportunité d’une stratégie multi-hyperviseurs, permettant de construire une passerelle naturelle entre l’informatique de l’entreprise et les infrastructures du Cloud public.
« Cette stratégie multi-hyperviseurs à l’échelle quasi-industrielle, sera capable d’accueillir et de satisfaire 90% de l’informatique des entreprises. », estime Patrick Debus-Pesquet, Directeur technique Numergy.
En prototype sur la version Grizzly depuis six mois, et après des tests concluants, Numergy a pour ambition de rendre opérable sa nouvelle plateforme au premier trimestre 2014. Elle reposera sur les éléments constitutifs de Grizzly, auxquels seront rajoutées les nouvelles fonctionnalités de Quantum, un module supplémentaire dédié à la gestion des réseaux.
Ainsi, au travers du choix technologique d’Openstack, Numergy a pour ambition de fabriquer les nouveaux standards en matière de virtual datacenter (VDC), le cœur même de la stratégie de la nouvelle plateformeNumergy. « Nous donnons les moyens de réaliser de plus grands projets : ceux de pouvoir fabriquer des villes et non des maisons. Tout est virtuel, les modèles et les schémas d’infrastructures se construisent aussi facilement qu’ils se réinventent », conclut Patrick Debus-Pesquet, Directeur technique Numergy.
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