IdentifiantMot de passe
Loading...
Mot de passe oublié ?Je m'inscris ! (gratuit)

Vous êtes nouveau sur Developpez.com ? Créez votre compte ou connectez-vous afin de pouvoir participer !

Vous devez avoir un compte Developpez.com et être connecté pour pouvoir participer aux discussions.

Vous n'avez pas encore de compte Developpez.com ? Créez-en un en quelques instants, c'est entièrement gratuit !

Si vous disposez déjà d'un compte et qu'il est bien activé, connectez-vous à l'aide du formulaire ci-dessous.

Identifiez-vous
Identifiant
Mot de passe
Mot de passe oublié ?
Créer un compte

L'inscription est gratuite et ne vous prendra que quelques instants !

Je m'inscris !

IBM et Dublin collaborent sur un projet de « Smarter City »
Big Data, Cloud et Internet des Objets sont-ils encore des objets de débats ?

Le , par Gordon Fowler

25PARTAGES

5  0 
Il y a ceux qui n’y croient pas. Ou qui pensent que cela arrivera dans un avenir lointain. Et il y a ceux – comme Bill Wasik du magazine Wired – qui prédisent que l’Internet des Objets et le M2M, c’est pour demain.

Voire pour cet après-midi.


Couverture de Wired USA, juin 2013

Et puis il y a ceux qui mettent en œuvre ces technologies à grande échelle et qui nous prouvent que les Smart Cars (Google), les Smart Clothes (Adidas) et les Smart Cities (SAP, Alcatel-Lucent et cie) sont déjà là.

Preuve supplémentaire, IBM a annoncé la semaine dernière l'aboutissement d'une initiative qui mélange Big Data et objets connectés pour aider la ville de Dublin.

Big Blue et la capitale Irlandaise ont « croisé les données issues des capteurs du réseau routier avec des données géospatiales [ce qui] permet aux fonctionnaires de la ville de mieux contrôler et de mieux gérer leurs autobus en temps réel ».

Ces capteurs – base des villes intelligentes – sont déjà en place. Depuis longtemps. Il s’agit, pêle-mêle, des pluviomètres, de caméras de surveillance de la circulation, des GPS des bus ou des boucles d’inductions magnétiques installées sur les routes pour mesurer la densité du trafic.

Toutes ces données, désormais centralisées, forment une « carte numérique » de la ville qui identifie les ralentissements (rien de nouveau - sauf que c'est du vrai temps réel), mais aussi qui apporte des éléments d’explications.

Sur le court terme, des itinéraires bis pourront être proposés. Sur le long terme, ce savoir devrait aider la ville à prendre des décisions (infrastructure, signalisation, etc.) pour améliorer la fluidité de la circulation.


Bus RH7 sur le Samuel Beckett Bridge, photo de Daren Hall sous Creative Commons

Un des premiers sujets abordés par IBM Research dans la ville de James Joyce (ou de la Guinness Factory, au choix) a été de comprendre dans le détail pourquoi certains bus, qui partent plusieurs minutes après un autre, rattrapent celui qui les précède. Question que plus d'un usager s'est déjà posée.

Les projets à venir viseront eux à prévoir l’impact de conditions météos extrêmes.

Cette collaboration entre IBM et Dublin pour en faire une « Smarter City » a débuté en 2010.

Pendant ce temps, le MIT étudiait des feux de signalisations pro-actifs, SAP travaillait avec une compagnie de taxis Tokyoïte et avec la ville de Rio. Et le port de Hambourg s’équipait pour devenir un « Smart Harbor ».

Pendant ce temps-là, ailleurs, l’Internet des Objets (n')est (qu')un objet de débat.

Source : IBM

Et vous ?

Pour vous Big Data, Cloud et Internet des Objets font-ils encore débats ? Ou sont-ils déjà le début de la réalité de demain ?

Une erreur dans cette actualité ? Signalez-nous-la !