
Au menu, le support du SPDY, ce protocole proposé par Google pour accélérer le chargement des pages et de Web Socket (« depuis que les problèmes de sécurité ont été résolus » explique Opera Software), de nouvelles API pour créer des extensions, une meilleure intégration dans Mac OS X Mountain Lion et le support des écrans Retina.
Des améliorations sur le zoom tactile ont également été faites pour la version Windows 8 du navigateur.
Côté HTML 5 et standards Web, la bêta permet d’utiliser l’API Full Screen qui comme son nom l’indique affiche vidéos, pages et jeux en pleine page. Autre nouveauté, pas encore finalisée toutefois, l’arrivée du support de l’API Page Visibility, qui permet à un onglet de savoir s’il est affiché ou pas. Le but dans ce deuxième cas est de le mettre en veille pour économiser les ressources machines.

Depuis quelques mois, Opera recule sur le marché des mobiles. Un secteur où il était traditionnellement fort avec notamment une technologie de compression de pages webs. Ces pages transitent par les serveurs de l’éditeur avant d’être renvoyées, en version légère, vers le Smartphone.
La 3G et les abonnements illimités ont semble-t-il modifié les priorités des utilisateurs. Ancien numéro 1, Opera est aujourd'hui dépassé en popularité par Safari et par le navigateur d'Android (une variation de Chrome).

Opera Software place donc beaucoup d’espoir dans la rapidité de ses futures version pour rebondir sur ce marché (Opera Mobile est disponible pour Android, et Opera Mini sur iOS, Android et BlackBerry). Un marché qui s'étend aujourd'hui aux tablettes.

NB : cette version était précédemment numérotée 12.50
Source : Opera Software
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