Après Samsung l'intérêt grandit autour de l'OS, qui n'est pas à vendre
Samsung n'est pas le seul constructeur a pouvoir être intéressé par WebOS. Le magazine économique Challenge croit savoir que HTC « va convoquer un comité exécutif d'ici à la fin du mois pour une éventuelle reprise de l'éditeur de logiciels mobiles américain Palm, dont HP se désengage ».
L'encart paru dans le numéro daté du 25 août va dans le sens de l'analyse, dont certains se sont fait l’écho ici, qui souligne que le constructeur taïwanais n'a aucun OS maison et qu'il est par conséquent encore plus à la merci des décisions de Google que Samsung.
HTC avait d'ailleurs été en concurrence avec HP pour le rachat de Palm et de WebOS il y a un an.
Le nom du constructeur avait par la suite été évoqué parmi les clients potentiellement intéressés par la souscription à une autorisation d'exploitation lorsque HP avait émis l'idée d'émettre des licences pour WebOS, suivant ainsi le même modèle de Google avec son Android.
Rien ne prouve d'ailleurs que HP ne concrétisera pas cette stratégie plutôt qu'une vente de WebOS qui, d'après son Board, ne serait pas d'actualité.
Source : Challenge
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