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La Russie place le porte-parole de Meta, propriétaire de Facebook, sur une liste de personnes recherchées,
Quelques semaines après avoir classé Meta comme "une organisation terroriste et extrémiste"

Le , par Mathis Lucas

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La Russie place le porte-parole de Meta, propriétaire de Facebook, sur une liste de personnes recherchées
quelques semaines après avoir classé Meta comme "une organisation terroriste et extrémiste"

Andy Stone, directeur de la communication de Meta, serait désormais activement recherché en Russie. Son nom figure sur une liste de personnes recherchées dressée par le ministère russe de l'Intérieur, mais aucun détail n'a été fourni sur l'affaire le concernant. Selon les médias locaux, les autorités russes affirment simplement qu'il est recherché pour des "accusations criminelles". Cela intervient quelques semaines après que les autorités russes ont décidé de classer Meta - propriétaire de Facebook et Instagram - comme une organisation "terroriste et extrémiste". Ce qui ouvre la voie à d'éventuelles poursuites pénales contre les résidents russes qui utilisent ses plateformes.

Les relations entre le gouvernement russe et le géant américain des réseaux sociaux Meta se dégradent davantage. Les tensions entre les deux parties se sont exacerbées après l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Le dernier développement à ce sujet concerne l'inscription du directeur de la communication de Meta, Andy Stone, sur une liste de personnes recherchées par le ministère russe de l'Intérieur. Le média indépendant russe Mediazona est le premier à avoir fait état dimanche de l'inscription de Stone sur cette liste. Il rapporte qu'un tribunal russe a émis au début du mois un mandat d'arrêt contre Stone. Il serait accusé de "faciliter le terrorisme".

La nouvelle interroge plus d'un et les avis sont partagés sur la question. « Il s'agit d'une tentative évidente de soutenir la propagande et le discours du président russe Vladimir Poutine, mais c'est aussi l'occasion d'inspirer un peu de crainte aux grands pontes de Meta, qui le méritent probablement. Profiter et diriger une entreprise qui utilise sciemment la psychologie comme outil (arme ?) pour garder les enfants occupés (malgré des effets secondaires très néfastes) ne fait peut-être pas de vous un terroriste, mais cela fait de vous quelqu'un qui est prêt à blesser des enfants pour le profit », a écrit un critique. D'autres qualifient cette décision de scandaleuse.


Stone aurait été inscrit sur la liste des personnes recherchées en février 2022, mais les autorités n'ont fait aucune déclaration à ce sujet à l'époque et aucun média n'a parlé de cette affaire avant la semaine dernière. La base de données du ministère de l'Intérieur ne donne pas de détails sur le cas de Stone, indiquant seulement qu'il est recherché pour des accusations criminelles. Meta n'a pas répondu immédiatement à une demande de commentaire. Des sources suggèrent que l'affaire serait liée à la politique de Meta en matière d'incitation à la haine. Cette politique a été mise à jour par Meta peu après l'invasion de l'Ukraine par la Russie le 24 février 2022.

Après l'entrée des troupes russes en Ukraine, Stone a annoncé une mise à jour temporaire de la politique de Meta en matière d'incitation à la haine pour autoriser "des formes d'expression politique qui violeraient normalement (ses) règles, comme des discours violents tels que "mort aux envahisseurs russes"". Une initiative vivement critiquée par la Russie. Dans la même déclaration, Stone a ajouté que "les appels crédibles à la violence contre les civils russes resteraient interdits". Les analystes ont déclaré à l'époque que cette initiative était "dangereuse", car elle pouvait placer les plateformes de Meta au même rang que les forums tels que 4chan et 8kun.

En mars de cette année, le comité d'enquête fédéral russe a ouvert une enquête criminelle sur Meta. Le comité a affirmé que les actions de l'entreprise après l'invasion de l'Ukraine par la Russie le 24 février 2022 équivalaient à une incitation à la violence contre les Russes. Le rapport de Mediazona indique qu'un tribunal russe, dont le nom n'a pas été spécifié, avait émis au début du mois un mandat d'arrêt contre le porte-parole de Meta pour "facilitation du terrorisme". Le rapport ne précisait pas la source de cette information. Notons qu'en avril 2022, la Russie a également formellement interdit au PDG de Meta, Mark Zuckerberg, d'entrer sur son territoire.

Cette interdiction concernant également 27 autres personnalités américaines. À l'époque, le ministère russe des Affaires étrangères a affirmé viser les cadres supérieurs, les intellectuels publics et les journalistes qui façonnent ce qu'il appelle "le récit russophobe" qui prévaut dans le débat public américain. Outre Mark Zuckerberg, l'interdiction inclut la vice-présidente des États-Unis Kamala Harris, de hauts fonctionnaires des départements de la Défense et de la Justice, les PDG de LinkedIn et de Bank of America, des commentateurs très en vue des Affaires étrangères, ainsi que le rédacteur en chef du site d'information Meduza, axé sur la Russie.

Le ministère a indiqué que les interdictions de voyage s'appliqueraient à perpétuité et que la liste des sanctions serait mise à jour régulièrement en réponse aux actions hostiles des pays occidentaux. Des restrictions similaires ont été imposées à 61 citoyens canadiens, accusés eux aussi d'être le fer de lance de politiques russophobes dans le pays. Parmi les personnes sanctionnées figurent Cameron Ahmad, directeur des communications du Premier ministre Justin Trudeau, et le commandant des forces d'opérations spéciales canadiennes Steve Boivin. La Russie a également fermé plusieurs missions consulaires en Europe et en Amérique du Nord.

Peu après l'invasion de l'Ukraine par la Russie, Meta a annoncé qu'elle limitait la portée des médias parrainés par l'État russe sur ses plateformes. En réponse, Moscou a bloqué l'accès aux plateformes Meta et à d'autres sites occidentaux. Ces sites ne sont désormais accessibles en Russie que par l'intermédiaire de VPN. Les autorités russes ont contesté de nombreuses informations publiées par les médias indépendants occidentaux, en particulier les rapports sur les décès externes qui dépassent de loin le décompte russe. Les autorités russes s'opposent aussi à la description de l'invasion comme étant une guerre plutôt qu'une opération militaire spéciale.

Le mois dernier, un sénateur russe a déclaré que la Russie bloquera les services VPN à partir de l'année prochaine. Ce qui signifie que les résidents de la Russie ne pourront plus utiliser les VPN pour accéder aux médias interdits dans le pays. D'après Artem Sheikin, sénateur du parti au pouvoir Russie unie, l'organisme russe de surveillance des communications (connu sous le nom de Roskomnadzor) prévoit de bloquer les VPN à partir du 1er mars de l'année prochaine. La demande de services VPN a grimpé en flèche après que la Russie a restreint l'accès à certains médias sociaux occidentaux à la suite de l'invasion de l'Ukraine l'année dernière.

Fin octobre, des rapports ont signalé que la Russie a intensifié la répression des VPN en bloquant 167 services VPN et plus de 200 services de messagerie électronique. Les protocoles tels qu’OpenVPN, IKEv2 et WireGuard sont également ciblés. En mars 2023, la Russie a lancé une campagne de messages d’intérêt public pour dissuader l’utilisation de VPN, affirmant que cela pourrait être pire que de ne pas utiliser de VPN du tout. Les publicités ont été diffusées par des organismes liés à l'État russe et les messages indiquaient que les VPN pourraient obtenir les détails du passeport des utilisateurs, ainsi que leur nom, leur adresse et leur date de naissance, etc.

Et vous ?

Quel est votre avis sur le sujet ?
Que pensez-vous du mandat d'arrêt russe contre le directeur de la communication de Meta ?
Comprenez-vous pourquoi les autorités russes ont pris cette décision contre le porte-parole de Meta ?
La mise à jour de la politique de Meta sur les discours de haine après l'invasion de l'Ukraine par la Russie est-elle justifiée ?
Selon vous, s'agit-il d'une incitation à la haine envers les Russes ? Pourquoi ?

Voir aussi

La Russie interdit l'entrée au PDG de Meta Zuckerberg et à d'autres responsables et personnalités américaines, pas à Parag Agrawal, le PDG de Twitter

La Russie prévoit de bloquer les services VPN à partir du 1er mars 2024, d'après le sénateur russe Artem Sheikin

La Russie déclare Meta coupable « d'activité extrémiste » sur ses plateformes Facebook et Instagram, mais autorise WhatsApp à continuer d'opérer
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Avatar de Jules34
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 20/01/2025 à 15:55
Ils étaient trop occupés à diffuser d'autres sources de désinformation ou à limiter certains sujets pour l'administration Biden, l'Union Européenne ou n'importe qui mettrait la main à la poche
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Avatar de noremorse
Membre actif https://www.developpez.com
Le 20/01/2025 à 20:30
LE RÉCIT DE DÉSINFORMATION RUSSE EST-IL RÉEL ? (par David Sacks) Question sérieuse pour les personnes qui se basent sur les faits.


Examinons les preuves :

1) Le récit de la désinformation russe a commencé avec le dossier Steele, un coup monté de la campagne d’Hillary Clinton utilisé d’abord pour salir son adversaire lors des élections de 2016, puis pour saper sa présidence. Il s’agissait d’une fraude créée par un ancien officier des services de renseignement britanniques. Les médias grand public ne se sont jamais excusés de l’avoir promu.

2) Ensuite, Mueller et son équipe de rêve de procureurs démocrates ont passé 2 ans et 32 ​​millions de dollars à traquer la campagne Trump pour collusion avec les Russes. Les médias ont rapporté à tue-tête que « les murs se refermaient » mais cela s’est avéré être un échec lorsque Mueller n’a trouvé aucune collusion.

3) Ensuite, les fichiers Twitter ont révélé que le tableau de bord de Hamilton68 était une fraude. Rappelons que Hamilton68, créé par d’anciens membres du renseignement américain, était la source de milliers d’articles de MSM affirmant que des robots russes étaient engagés dans des campagnes de désinformation sur les réseaux sociaux. Les robots russes auraient diffusé des termes comme « État profond » ou des hashtags comme #FireMcMaster , #SchumerShutdown , #WalkAway , #ReleaseTheMemo , #AlabamaSenateRace , #ParklandShooting , et bien d’autres. De l’aveu même des employés de Twitter, qui ont pu voir que les comptes sous-jacents étaient réels et non russes, c’était « des conneries ».

4) Ensuite, 51 anciens agents des services de renseignement ont été démasqués comme menteurs pour avoir signé une lettre affirmant que l'ordinateur portable de Hunter Biden était de la désinformation russe. En fait, l'ordinateur portable était réel. Mais l'épisode a montré à quel point le récit de la désinformation russe était profondément ancré. Sans aucune preuve, les anciens espions ont pu faire passer sous silence une importante série de révélations sur les transactions commerciales de la famille Biden simplement en utilisant les mots « désinformation russe ».

Conclusions :

Est-ce que je crois que le gouvernement russe ment ? Bien sûr. Tous les gouvernements le font, et le gouvernement russe ne fait certainement pas exception. Mais est-ce que je crois que les Russes mènent des campagnes secrètes à grande échelle pour influencer l’opinion publique américaine ? Je n’ai pas encore vu de preuves significatives pour étayer cette conclusion.

Au contraire, de nombreux éléments montrent que ce récit a été inventé par des partisans américains motivés pour mettre en cause à tort l’opposition. Comme dans le cas de l’ordinateur portable de Hunter Biden, ils l’ont invoqué lorsqu’ils avaient besoin de se distraire d’une histoire par ailleurs irréfutable.

Le fait que tant de membres de la communauté du renseignement américain aient été impliqués dans la création de ce récit – et qu’ils aient été pris en flagrant délit de mensonge en l’invoquant – laisse penser que ce récit est en soi une sorte de campagne de désinformation.

Le fait que les médias grand public continuent d’y adhérer et de le diffuser, sans preuve, démontre la puissance de la matrice narrative dans laquelle nous vivons. Il est important pour ceux d’entre nous qui souhaitent avoir des débats politiques honnêtes aux États-Unis de se débarrasser des étiquettes maccarthystes utilisées pour protéger le récit de désinformation russe des critiques évidentes fondées sur des faits et de l’appeler ce qu’il est : un canular.

Mensonges et désinformations des occidentaux sur la guerre en Ukraine (par Chay Bowes)

L’une des plus grandes tromperies de l’Occident est que les États-Unis n’ont commencé à « soutenir » l’Ukraine qu’après que les troupes russes ont finalement traversé la frontière en février 2022.

La ligne de « l'invasion non provoquée » est continuellement colportée par les médias clients de l'Occident, alors examinons les faits et décidons ensuite si les actions de la Russie étaient effectivement « non provoquées ».

La vérité est que dès les années 1940-1950, la CIA a établi des « contacts étroits » avec l'Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN) et l'Armée rebelle ukrainienne (UPA), deux groupes de collaborateurs nazis brutaux (now largement célébrés comme des héros dans l'Ukraine du dictateur Zelensky) et auteurs de massacres indescriptibles de Juifs, de Polonais et de Russes aux côtés de leurs alliés nazis pendant la Seconde Guerre mondiale.

La CIA leur a fourni des armes, de l'argent, du soutien et une formation dans le but de déstabiliser l'Ukraine et de promouvoir l'ultra nationalisme ukrainien.

Puis, dans les années 1950, la CIA a lancé « l'opération Aérodynamique », qui visait à soutenir les réseaux néo-nazis de Banderite en Ukraine, aboutissant en 1953 à la création par la CIA d'une unité spéciale appelée « Unité 2245 » pour capturer et analyser le matériel militaire russe en utilisant les Banderites antisémites et meurtriers pour faire leur sale boulot.

Au cours des années 1950-1960, la CIA a infiltré des ultra-nationalistes ukrainiens et a accru son soutien à leurs opérations terroristes en Ukraine. Ces opérations se sont poursuivies jusqu'aux années 1970, lorsque la CIA a mené des opérations de propagande noire en Ukraine et a apporté son soutien à des groupes antirusses de toute sorte, quelles que soient leurs méthodes ou leur penchant pour le meurtre et le terrorisme.

Au cours des années 1980 et 1990, la CIA a continué à soutenir les groupes nationalistes ukrainiens et à fournir des renseignements sur les activités militaires soviétiques en Ukraine, tentant d'utiliser des groupes néo-nazis pour des opérations de sabotage et de terrorisme dans le pays.

Dans les années 1990, avec l'effondrement de l'Union soviétique, la CIA a réorienté ses efforts vers le soutien à la transition de l'Ukraine vers la « démocratie » et a dépensé des centaines de millions d'argent noir pour contrer l'influence russe en finançant la corruption et en déstabilisant des groupes politiques et des médias légitimes.

2014-présent : Suite à l'action de la Russie en Crimée en réponse au coup d'État de Kiev soutenu et planifié par la CIA, et au renversement illégal du président légitime de l'Ukraine qui s'en est suivi, la CIA s'est lancée dans une vaste opération complexe avec le redoutable service de sécurité ukrainien SBU, en l'aidant à planifier des opérations telles que l'assassinat de femmes journalistes non armées, le ciblage de politiciens et de fonctionnaires russes dans le Donbass et à Lougansk et d'innombrables autres actions qui, si elles étaient menées contre un allié américain, seraient immédiatement classées comme terroristes.

Contrairement à ce que racontent les otano-kieviens, l'Ukraine a déjà perdu la guerre face à la Russie.
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Avatar de noremorse
Membre actif https://www.developpez.com
Le 20/01/2025 à 20:53
Opération Mockingbird : quand la CIA contrôlait les médias

Écoutes de la NSA, surveillance des réseaux sociaux, fausses accusations de collusion entre Trump et la Russie (Russiagate), étouffement, à la veille des élections de 2020, des révélations explosives contenues dans le pc portable d’Hunter Biden…

Derrière ces scandales se profile, ravivant la rumeur persistante d’un État dans l’État, l’ombre des renseignements américains. Dernièrement, Robert Kennedy a provoqué l’ire des gros médias de grand chemin en déclarant : “L’Opération Mockingbird est belle et bien vivante.” Opération Mockingbird (oiseau moqueur), le mot est lâché ! Il désigne l’opération de la CIA, une des plus controversées de son histoire, révélée en 1975 par la commission Church. Son objectif ? Manipuler les médias américains et étrangers au profit des États-Unis. (https://www.ojim.fr/operation-mockin...it-les-medias/)

CIA's use of journalists and clergy in intelligence operations
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Avatar de marsupial
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 22/08/2024 à 18:18
Partagez-vous les avis selon lesquels la guerre entre la Russie et l’Ukraine n’a rien de nouveau en ce qu’elle ramène juste en surface des cas d’utilisation perverse de la technologie que l’on a tendance à négliger au quotidien ?
Dans l'ensemble, pour nous, cela paraît à peu près évident, mais pour monsieur-tout-le-monde, c'est du chinois. Et que lui dire si ce n'est d'en laisser le moins possible sur son smartphone ? Le cloud ? Et comprendra-t-il notre conseil ? Même en lui expliquant patiemment ?
Aujourd'hui, plus de 27 000 personnes sont suivies en France et font l'objet de la nouvelle loi sur les moyens de renseignement (source lefigaro.fr) qui, au début, temporairement, comme l'état d'urgence, promis juré, ne devaient être utilisé que dans les cas de terrorisme. Maintenant, il s'agit du grand banditisme et de la criminalité.

Et demain ce sera quoi ? Certainement pire pour masquer l'incompétence derrière du bruit technologique et liberticide. Alors profitons du soleil du jour présent. Demain il pleut.
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Avatar de Anselme45
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 22/08/2024 à 19:50
La Russie devrait aussi demander aux USA de débrancher leur satellites espions
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Avatar de _toma_
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 22/08/2024 à 22:16
J'ai arrêté de prêcher dans le vide depuis longtemps sur la question des données personnelles et des impacts de la technologie.
Le retour de bâton sera inévitable et y'a des chances pour qu'il soit violent.
Je sais pas si ça fera réfléchir les gens ("bah si les ukrainiens peuvent le faire, n'importe qui d'autre peut aussi le faire..." mais en tout cas c'est une communication officielle que je trouve plutôt cocasse.
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Avatar de Aiigl59
Membre actif https://www.developpez.com
Le 24/01/2025 à 1:44
Il y a une erreur dans le titre, au lieu de :
"Les campagnes de désinformation russes ont échappé aux efforts de Meta pour les bloquer" il faut lire
"Les campagnes d'information russes ont échappé aux efforts de Meta pour les bloquer"
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Avatar de Jean GVE
Membre habitué https://www.developpez.com
Le 24/01/2025 à 9:19
Les «campagnes de désinformation» quelle que soit l'origine, sont définies par les Étasuniens… et bizarrement ces campagnes viennent des concurrents commerciaux ou des pays dont les dirigeants n'obéissent pas à Washington !
Et bien sûr, nous, tous les vassaux, ON raconte la même chose…
ALORS !……
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Avatar de dvilink
Membre régulier https://www.developpez.com
Le 24/01/2025 à 10:09
Sinon le FBI pro-démocrate chez Facebook ça passe crème ?
Et les pressions pour censurer les contenus dérangeants les labos pendant le covid ça passe crème ?

Plus rien de ce qui vient de l'UE et de ses officines n'est crédible. La confiance a totalement disparu.
L'UE est une boussole qui indique le sud.
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