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69 % des professionnels de la gouvernance, du risque et de la conformité (GRC) veulent des solutions de plateforme no-code
Afin de pouvoir se passer des développeurs, selon une étude d'Onspring

Le , par Anthony

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Parmi les professionnels de la gouvernance, du risque et de la conformité (GRC) ayant répondu à une nouvelle enquête, 69 % déclarent que le déploiement d'une plateforme GRC ne nécessitant pas le soutien d'un développeur améliorerait leur rôle.

L'étude d'Onspring révèle que 73 % des personnes interrogées ont encore besoin d'un développeur pour mettre à jour et administrer leurs programmes de GRC, ce qui indique un besoin évident de technologies ne nécessitant pas l'intervention d'un développeur.

Cette situation s'explique en partie par la pénurie de développeurs. Un récent rapport de Gartner indique qu'il y a plus d'un million de postes vacants de développeurs de logiciels dans les entreprises américaines, alors qu'on prévoit que seuls 65 000 développeurs seront diplômés de l'université chaque année. Il n'est donc pas surprenant que 66 % des personnes interrogées dans le cadre de l'enquête d'Onspring déclarent avoir l'intention de mettre en œuvre une forme d'automatisation supplémentaire dans leurs programmes de GRC au cours de l'année à venir. En outre, plus de la moitié des responsables GRC (56 %) s'attendent à gagner entre quelques jours et quelques semaines sur le temps de réalisation des tâches en n'ayant plus besoin de faire appel à des développeurs.

"Nous ne sommes pas surpris que tant de responsables GRC fassent appel à un développeur pour apporter des changements à la technologie, car les outils GRC existants n'ont pas suivi l'évolution de l'environnement GRC", déclare Chris Pantaenius, PDG et cofondateur d'Onspring. "Ces résultats montrent clairement que les responsables GRC ont besoin de plates-formes GRC capables de leur offrir de solides capacités d'intégration, des gains d'efficacité dans les flux de travail et des fonctions de reporting dynamiques, ce qui leur permet d'économiser du temps et de l'argent."


Source : Rapport d'Onspring

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Quel est votre avis sur le sujet ?

Trouvez-vous que les résultats de cette étude d'Onspring sont pertinents ?

Que pensez-vous en général des outils no-code et low-code ? Représentent-ils une menace, ou une opportunité, pour le métier de développeur ?

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Avatar de walfrat
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 16/05/2023 à 12:50
En soit c'est une évidence, si les gens avaient leurs AGL qui leur permettraient toujours de répondre à leur besoin sans avoir besoin d'un développeur, ce serait leur paradis. Les gars métier font quelques clics et ils ont l'applis pour pouvoir faire leur boulot.

Malheureusement, mappé la réalité de tout les cas possible que tu peux avoir a gérer dans ton métier sur un AGL générique, ça ne marche pas, ou alors l'AGL générique n'arrive pas à suivre assez rapidement, ou alors ça donne des outils imbitabble avec "champ 1/2/3" et demmerde toi pour savoir quoi remplir (oui oui déjà, vu, et si tu saisie ça dans le champ 6 ,faut remplir le champ 9 sinon ça bloque, et évidemment ça te le dit pas dans le formulaire).

Et finalement, l'AGL parfaitement générique, ou celui qiu s'en rapproche le plus, c'est Excel, mais ça ne marche pas. Rien que par le fait que quand tu fais une applis, que les utilisateurs peuvent pas modifier l'IHM, les colonnes, ça le fait chier oui, mais ça obligé bien a ce que les gens communique de la même façon, plutôt qu'avoir chacun leur feuille Excel.
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