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Le Sénat de Géorgie adopte un projet de loi qui interdit aux médias sociaux de supprimer ou de censurer du contenu
Mais l'industrie technologique affirme que la mesure est illégale

Le , par Stéphane le calme

170PARTAGES

4  0 
Pour ou contre la suspension des comptes des politiciens par les réseaux sociaux ? La Floride prévoit des amendes pour ceux qui les bannissent
dans le cadre d’un projet de loi

Le compte Twitter de Donald Trump fait l’objet de suspension définitive suite à des émeutes au Capitole. Liberté d’expression du Président américain sortant mise à mal ? Le réseau social justifie la manœuvre par la nécessité de lutter contre l’incitation à la violence véhiculée par ses publications. Une oligarchie numérique menace-t-elle les démocraties ? L’État de Floride aux USA répond avec un projet de loi qui dresse un listing d’amendes pour les plateformes qui bannissent les politiciens.

Le projet de loi a fait l'objet de proposition en février par le gouverneur Ron DeSantis, un partisan de l'ancien président Trump. Les républicains de Floride insistent pourtant sur le fait que le projet de loi n'a rien à voir avec l'ancien président. Il aurait plutôt pour objectif de défendre la liberté d’expression des résidents de Floride.

La Chambre des représentants de Floride a adopté le projet de loi SB 7072 par 77 voix contre 38. Le Sénat de l'État avait voté quelques jours avant contre cette mesure. La version du Sénat prévoyait des amendes de 10 000 dollars par jour pour l'interdiction d'un candidat politique et de 100 000 dollars si le candidat se présentait aux élections. La version de la Chambre a fait passer les amendes journalières à 25 000 et 250 000 dollars.

La loi ne s'appliquerait pas à l'interdiction temporaire d'un candidat sur les médias sociaux, ni aux cas où une plateforme supprime des messages spécifiques qui violent les conditions d'utilisation de cette plateforme. Cependant, toute interdiction d'accès aux médias sociaux qui dure plus de 60 jours entraînerait une amende et les plateformes devraient mettre à la disposition des utilisateurs tout contenu publié par le candidat avant que son compte ne devienne inactif.

Le projet de loi contient également une exemption très spécifique à la Floride pour tout "service d'information, système, moteur de recherche Internet ou fournisseur de logiciel d'accès exploité par une société qui possède et exploite" un parc à thème ou un grand complexe de divertissement. Un représentant républicain de l'État a déclaré que cette exemption a été incluse pour que le service de streaming Disney Plus soit exempté de la mesure en cours de gestation. Le parc Disney World d'Orlando rapporte d'importantes recettes fiscales à l'État de Floride qui dépend largement de l'argent du tourisme.

Le projet de loi SB 7072 interdit également aux plateformes de médias sociaux de restreindre les entreprises de la filière journalisme. Ces dernières sont classées comme des entités qui font des affaires en Floride et qui ont au moins 100 000 utilisateurs actifs mensuels ou 50 000 abonnés payants. Après l’étape du Sénat, le projet de loi est attendu sur la table du gouverneur de l’État où il devra faire l’objet de signature.


Suite à la suspension du compte Twitter de Donald Trump, le ministre français de de l'Économie et des Finances – Bruno le Maire – s’était positionné : « Ce qui me choque dans la fermeture du compte Twitter de Donald Trump est que ce soit Twitter qui ferme. La régulation des gens du numérique ne peut pas se faire par l'oligarchie numérique elle-même. L'oligarchie digitale est une des menaces qui pèsent sur les États et sur les démocraties. La régulation est nécessaire, mais doit se faire par le peuple souverain, par les États et par la justice. »

Même son de cloche en Allemagne avec la sortie du porte-parole d’Angela Merkel : « La chancelière considère la suspension définitive du compte d’un président en fonction comme problématique. Des droits tels que la liberté d’expression peuvent faire l’objet d’entraves, mais par la loi et dans le cadre défini par le législateur et non sur la décision d’une entreprise. »

La situation mettait en lumière un point de désaccord majeur entre les États-Unis et l'Europe sur la manière de réglementer les plateformes de médias sociaux. L'UE veut donner aux régulateurs plus de pouvoirs pour obliger les plateformes Internet telles que Facebook ou Twitter à supprimer les contenus illégaux. Elle vient d’ailleurs de faire passer une loi controversée qui impose le retrait des contenus dits terroristes en une heure. Aux États-Unis par contre la surveillance des contenus publiés sur leurs plateformes relevait jusqu’ici des fournisseurs de services en ligne. Néanmoins, des mesures politiques visant à restreindre leurs libertés réglementaires soient de plus en plus fréquentes. Plusieurs membres du Congrès travaillent sur des projets de loi qui limiteraient les protections juridiques dont disposent les entreprises de médias sociaux pour être poursuivies en justice pour des contenus tiers publiés sur leurs sites. D'autres font pression en faveur d'un nouveau projet de loi fédérale sur la protection des données, qui pourrait refléter le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) de l’Union européenne.

Les débats en lien aux pouvoirs des réseaux sociaux et à l’interprétation à donner à la liberté d’expression font rage. Les intervenants se regroupent en plusieurs factions dont : celles qui pensent que les réseaux sociaux ne sont ni des services publics, ni bénéficiaires d’un monopole en matière de communication et celles qui pensent que ces plateformes peuvent être considérées comme des services publics si on les considère sous l’angle de leur expansion.


Les réseaux sociaux ont longtemps évité de tels débats en se positionnant en neutres quant au contenu. Mais depuis la prise d'assaut du Capitole, il est devenu de plus en plus évident qu'elles ont un pouvoir et une responsabilité sur le débat public.

Source : Sénat de Floride

Et vous ?

Que pensez-vous de ce projet de loi ?
Êtes-vous pour ou contre la suspension des comptes des politiciens par les réseaux sociaux ?
Quelle place accordez-vous aux réseaux sociaux dans le débat public ?

Voir aussi :

« Ici ce n'est pas la Chine », des experts indiquent que Trump n'a aucune autorité légale pour fermer Twitter. « Il est clair qu'il est en train d'intimider Twitter pour diffuser ce qu'il veut »
Un ingénieur de Facebook décide de démissionner en guise de protestation. Il accuse la société de « profiter de la haine aux États-Unis et dans le monde » et indique ne plus vouloir y contribuer
Le compte Twitter de Donald Trump piraté ! Victor Gevers, un chercheur néerlandais, affirme avoir eu accès au compte du président américain, mais Twitter et la Maison-Blanche nient ces allégations
Le président US a menacé de « réglementer » ou de « fermer » des plateformes de réseaux sociaux, après que ses tweets ont été marqués comme véhiculant des informations non vérifiées
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Avatar de calvaire
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 17/05/2022 à 13:44
Citation Envoyé par stardeath Voir le message
les propos sont ils vraiment racistes, ou alors sont ils suffisamment "malins" pour ne pas tenir de propos qui seraient jugé racistes?
parce que si c'est la seconde partie de la phrase, ça me rappelle la volonté de certains de bannir l'utilisation de certains mots "considérés" racistes, mais visiblement, il n'y aurait pas besoin de ça dans ce cas ...
oui enfin des débiles ont considéré que le signe OK était devenue un signe raciste... Des trolls avaient publiées pleins d'image de personnalité d'extrême droite faire ce signe et les SJW débiles ont voulue interdire ce symbole
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Avatar de vanquish
Membre chevronné https://www.developpez.com
Le 13/05/2022 à 14:45
Citation Envoyé par stardeath Voir le message
je n'ai pas lu qui a sorti ça ni le contexte, mais aux dernières news l'antisémitisme et le racisme ne sont pas devenus légaux, si la loi continue de restreindre les contenus illégaux, cette personne mélange les torchons avec les serviettes ...
Aux Etats Unis, la liberté d'expression est quasi totale.
S'ils ne peuvent plus être cagoulés, le KuKluxKlan peut tenir meeting et tenir des propos d'un racisme des plus primaire sans être inquiété.

Mais, je me demande comment ils vont faire pour appliquer des lois contradictoires, Etat par Etat, Pays par Pays.
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Avatar de kain_tn
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 09/12/2022 à 21:34
Citation Envoyé par Bill Fassinou  Voir le message
[B][SIZE=4][...]mais également que les entreprises vérifient la véracité de cette information à l'aide d'une carte d'identité avec photo.[...]

Hum... Exiger des voleurs de données qu'ils collectent encore plus de données sur les utilisateurs, sous prétexte de vérifier l'âge de leurs victimes... Mais qu'est-ce qui pourrait bien mal se passer?
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Avatar de totozor
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 05/04/2023 à 8:27
Citation Envoyé par HaryRoseAndMac Voir le message
Liberté permise parce que pour le cas de la France (même si là on parle des USA, c'est au fond pareil), l'islamisation n'avait pas fait ses ravages et apportés la violence qui vient avec cette religion.
Et donc les gosses pouvaient aller seul à l'école sans risquer quoi que ce soit, sauf cas très rare.
C'est vrai que c'était mieux avant, je n'ai pas grandi avec des infos qui parlaient de plasticages de résidences en Corse, d'assassinats de différents groupes indépendantistes (Claude Erignac est mort dans un malheureux accident de voiture), de tournantes dans les caves de banlieues, le ministre de l'intérieur n'a pas été Charles Pasqua qui n'avait pas du tout une approche aggressive et mafieuse du maintien de l'ordre, Malik Oussekin ou Steve ne sont pas mort de violences policières, je n'ai pas non plus connu cette grande période où la pédophilie faisait les grands titres des infos (Marc Dutrou ce grand islamiste n'a pas traumatisé toute une génération) et mes parents ne m'ont pas dit de me méfier de n'importe quel adulte qui souhaite me parler. Je n'ai pas non plus été animateur de colo où l'une des premières choses que nous disaient nos directeurs étaient "Ne soyez jamais seul avec un enfant vous pourriez finir au tribunal".
Quelle belle jeunesse j'ai eu! Malheureusement les méchants islamistes sont arrivés pour pourir mon monde si pacifique.

Je ne dit pas que nous vivons des années très roses mais l'islamisation n'a pas amené la violence en France.
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Avatar de totozor
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 04/09/2023 à 8:42
Citation Envoyé par TotoParis Voir le message
Mais le décision du juge est bien exrême. Ce serait bien que ses enfants mineurs soient concernés...s'il en a.
Ils le sont s'il en a.
Ceci dit j'ai l'impression que son message n'est pas de laisser les enfants accéder à ces sites mais que la méthode de contrôle doit être plus raisonnable.
Pour moi il y a quelques grandes différences entre entrer physiquement dans un sex shop et sur un site web:
_ J'ai plus la tête d'un mineur donc si je rentre dans un sex shop on ne me demanderais même pas de preuve de ma majorité. Donc on ne me demandera probablement rien.
_ Si on me demandais une preuve de ma majorité je tendrais ma carte d'identité, 2023-1983 >> 18, on passe à la suite. Le vendeur ne se rappellera même pas de mon prénom. Si un site me demande une preuve de mon identité je vais lui fournir le numéro de ma carte, recherche dans une base, prénom : Toto, nom : zor, date de naissance : xx/yy/1983 etc comment avoir la garantie que toutes ces informations ne sont ni exploitées ni enregistrées? Surtout quand on vit dans un pays qui se puritanise et qui risque de faire la chasse aux "déviants" (et je ne parle pas de pédophiles & co qui ne vont pas sur ces sites qui ne contiennent pas ce genre de contenu mais de fétichistes ou d'homosexuels)

Pour ceux qui pensent que je fantasme cette peur des "déviants" envers ceux qui voudraient leur qu'ils disparaissent : ce weekend ma ville organisait un évènement de recrutement pour les assos locale, mon asso y participait et proposait de s'inscrire à une session d'initiation (dans l'inscription nous demandons le pronom des personnes, autre façon de demander leur genre), une personne vient s'inscrire et nous explique qu'elle n'a pas mis ses vraies informations parce qu'elle s'est faites aggressée il y a quelques semaines et qu'après avoir recroisé ses aggresseurs en rue elle est devenue parano et a peur de mettre ces infos sur un feuille lisible de tous.
Alors oui il y a une surréaction dûe à un traumatisme récent mais on aussi réduit le nombre de personnes pas page parce que quelques personnes sont venues s'interressé à notre club visiblement plus pour la fiche d'inscription que pour ce que nous avions à proposé.
Citation Envoyé par wandapanel Voir le message
En plus c'est pas à la loi de définir l'éducation des enfants, c'est au parent de le faire, surtout qu'il existe de multitude système qui permet au parent de bloquer ces chose la.
Moi j'ai été éduqué à la fessé et au tarte derrière la tête, aujourd'hui j'ai 30 ans j'ai un travail, je suis propriétaire d'un appartement, j'ai jamais manquer de respect a qui ce soit, et j'ai jamais insulté mes parents.
Quand je vois ces nouveau enfants qui dise ta-gueule, connasse, …, à leur mère et père, et que les parents ne peuvent rien faire contre leur enfants car la lois interdit toute sorte de punissions.
Une psychologue à même dit que envoyer sont enfant dans ca chambre était de la maltraitance.
Alors il existe aussi la théorie et la pratique.
J'ai eu à peu près la même éducation mais j'étais plus rebelle (j'ai clairement dit ta gueule à ma mère, ce qui m'a valu des claques à chaque fois), et je suis devenu un adulte relativement descent.
Mais j'étais animateur de centre aéré et il m'est arrivé une fois de frapper un enfant, il se foutait de moi depuis le matin et il venait de dépasser les bornes, je lui donne une claque. Il me menace de le dire à ses parents, je lui répond que quand son père viendra le chercher je lui raconterais le détails de la journée, ce qui l'a calmé. Je ne dit pas que frapper les enfants est bien, je dis juste qu'il existe des circonstance où ça se justifie, et que tout un chacun (normal) est capable de le comprendre.
Mais les gens sont idiot regarder ce qui c'est passer avec Macron, juste avant d'être réélu il a crié haut et fort qu'il aller mettre la retraite en 64 ans et les gens on voté pour lui, et ces même gens on fait la grève contre la réforme des retraite.
On nous a demandé de choisir entre la peste et le choléra, certains ont choisi, d'autres ont choisi de ne pas choisir.
Quand j'étais gamin on avait ce truc de nous demander de choisir entre deux trucs nuls, le deuxième tour des présidentielles me demande ça depuis ma majorité. je n'ai jamais voté pour quelqu'un en qui je croyais au deuxième tour, par contre j'ai souvent voté contre quelqu'un, donc oui je n'ai pas voté contre la retraite à 64 ans mais contre la représentante d'un parti hérité de personnes fort peu recommandables.
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Avatar de Christophe
Responsable Systèmes https://www.developpez.com
Le 09/03/2022 à 19:52
Un réseau social est soumis aux mêmes règles qu'un hébergeur. Il n'a pas obligation de surveiller en permanence les contenus mais sa responsabilité sera engagée en cas de signalement non traité suivi d'un dépôt de plainte, ou bien-sûr injonction en bonne et due forme des autorités.
En droit français en tout cas.
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Avatar de walfrat
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 13/05/2022 à 11:23
Mais s'il est considéré comme legal au Texas mais pas ailleurs, on fait comment ?
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Avatar de stardeath
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 13/05/2022 à 11:36
Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
« Ce projet de loi abandonne les valeurs conservatrices, viole le premier amendement et oblige les sites web à héberger des contenus obscènes, antisémites, racistes, haineux et autrement affreux....
je n'ai pas lu qui a sorti ça ni le contexte, mais aux dernières news l'antisémitisme et le racisme ne sont pas devenus légaux, si la loi continue de restreindre les contenus illégaux, cette personne mélange les torchons avec les serviettes ...
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Avatar de stardeath
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 17/05/2022 à 11:00
Citation Envoyé par vanquish Voir le message
S'ils ne peuvent plus être cagoulés, le KuKluxKlan peut tenir meeting et tenir des propos d'un racisme des plus primaire sans être inquiété.
les propos sont ils vraiment racistes, ou alors sont ils suffisamment "malins" pour ne pas tenir de propos qui seraient jugé racistes?
parce que si c'est la seconde partie de la phrase, ça me rappelle la volonté de certains de bannir l'utilisation de certains mots "considérés" racistes, mais visiblement, il n'y aurait pas besoin de ça dans ce cas ...

Citation Envoyé par Nancy Rey Voir le message
«[...]Le premier amendement est crucial pour notre démocratie[...]»
alors la démocratie, c'est le peuple, pas les entreprises privées qui ont bien trop souvent montré qu'elles s'en moquent du peuple ...

Citation Envoyé par Nancy Rey Voir le message
«les politiciens texans ont fait passer les intérêts des utilisateurs d'Internet avant ceux des politiciens»
... et donc ça serait parfait techniquement, c'est quoi le problème? considérer que le peuple est trop stupide et qu'on doit le parquer pour qu'il pense correctement?

bref, si c'est ça l'argumentaire de certains contre la loi texane, il y a beaucoup de soucis à se faire.
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Avatar de escartefigue
Modérateur https://www.developpez.com
Le 05/04/2023 à 13:41
@OrthodoxWindows, vous semblez avoir manqué des épisodes, il fallait d'abord lire l'article, puis la réponse d'HaryRoseAndMac.

Il n'était pas nécessaire de faire un gros effort, puisque la réponse est dans les toutes premières lignes dudit article :
Citation Envoyé par Patrick Ruiz  Voir le message
[B][SIZE=4]
L'Utah est devenu le premier État américain à exiger des entreprises de médias sociaux qu'elles obtiennent le consentement des parents pour l'utilisation de leurs applications par les enfants et qu'elles vérifient que les utilisateurs ont au moins 18 ans. Une proposition de loi similaire est en examen en France et prévoit que les jeunes en dessous de l’âge de 15 ans devront obtenir un accord parental pour s’inscrire sur un réseau social (Facebook, Twitter, etc.) Problème : les mesures semblent inutiles sans l’effectivité d’un contrôle des âges des internautes qui pourrait mener à une levée de l’anonymat sur Internet.

Il donc est bien mentionné que l'Utah demande expressément l'accord parental, et que la France envisage de faire de même.

Ce à quoi, HaryRoseAndMac a répondu :
Citation Envoyé par HaryRoseAndMac  Voir le message
Un enfant ça a besoin de faire des erreurs, de tester, de découvrir, ...
Un parent, ça a besoin de mettre des cadres, des limites et parfois d'interdire.

Mais en aucun cas, jamais, d'aucune manière, ça doit être à l'état de le faire.

D'où ma réponse, que je maintiens
Citation Envoyé par escartefigue  Voir le message
Ce n'est pas ce que dit l'article : ici ce sont les parents qui doivent autoriser les enfants.
Par ailleurs, il existe plein de lois en France qui interdisent aux mineurs telles ou telles choses, par exemple l'achat de tabac ou d'alcool.
En quoi serait-ce un problème ?


À partir de là, cette réponse est hors de propos ou a but uniquement polémique.
Citation Envoyé par OrthodoxWindows  Voir le message
Ah bon ? Il existe en France une loi qui interdit aux mineurs de parler à quelqu'un sans une autorisation parentale ?

Au passage, vous n'avez pas lu le post de HarryRoseAndMac, sinon vous ne sortiriez pas une tels ineptie.

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