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Emmanuel Macron lance une commission pour contrer les théories complotistes et la désinformation dans le débat public
Présidée par Gérald Bronner

Le , par Stéphane le calme

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6  0 
À quelques mois de la campagne des élections présidentielles, Emmanuel Macron a lancé une commission chargée de faire des propositions face à l’emprise des théories complotistes et de la désinformation dans le débat public. Les propositions de la commission baptisée « Les Lumières à l’ère numérique », qui a à sa tête le sociologue Gérald Bronner, sont attendues pour la mi-décembre. La commission est composée d’une quinzaine d’universitaires et personnalités.

En janvier 2018, lors de ses vœux à la presse, le Président français a annoncé des mesures visant à lutter contre les fausses informations durant les campagnes électorales. Emmanuel Macron a en effet révélé qu’un « texte de loi » allait être déposé « prochainement » pour lutter contre la diffusion des fake news sur Internet en « période électorale ». « Nous allons faire évoluer notre dispositif juridique pour protéger la vie démocratique de ces fausses nouvelles », avait déclaré Emmanuel Macron lors de son discours. « Les plateformes se verront imposer des obligations de transparence accrue sur tous les contenus sponsorisés afin de rendre publique l’identité des annonceurs et de ceux qui les contrôlent, mais aussi de limiter les montants consacrés à ces contenus », avait-il précisé.

Ce texte de loi a été effectivement proposé et définitivement adopté par l’Assemblée nationale le 20 novembre 2018.

Le Sénat l'avait rejeté une première fois en juillet 2018, puis une seconde fois en novembre de la même année, jugeant qu'il n'y avait « pas lieu de délibérer » sur les deux propositions de loi très controversées destinées à lutter contre les fausses nouvelles en période électorale. Ces deux propositions de loi (l'une ordinaire et l'autre organique) visent à permettre à un candidat ou parti de saisir le juge des référés pour faire cesser la diffusion de « fausses informations » sous 48h durant les trois mois précédant un scrutin national. Elles touchent également à l'organisation des pouvoirs publics et donnent un pouvoir accru au Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA). En vertu de cette loi, le gendarme de l'audiovisuel pourra par exemple se permettre de suspendre la diffusion d'une chaîne étrangère en période électorale ou résilier sa convention, sous certaines conditions. En plus du pouvoir accru du CSA, les deux propositions de loi imposent aux plateformes numériques des obligations de transparence lorsqu'elles diffusent des contenus sponsorisés. Ces obligations incluent le fait de décliner l'identité des annonceurs et le montant de la contrepartie financière.

En février 2020, Emmanuel Macron avait prévenu que la Russie « [allait] continuer à essayer de déstabiliser » les démocraties occidentales en s’ingérant dans leurs élections et en manipulant les réseaux sociaux. D'après lui, « face à ces attaques, nous avons extrêmement peu d’anticorps ».


Alors que les théories conspirationnistes et complotistes se multiplient sur les réseaux sociaux depuis au moins plusieurs mois, notamment avec la pandémie de Covid-19 ou le déploiement du réseau 5G en France, le gouvernement français entend lutter contre la désinformation.

Aussi, à la demande du président de la République, le sociologue Gérald Bronner va diriger « Les Lumières à l'ère numérique », une commission de lutte contre la désinformation et le complotisme. Voici le discours du Président :

« Nous vivons depuis maintenant un peu plus d’une décennie une révolution qui a envahi nos vies et qui mérite un grand débat dans la société : la révolution des modes d’information et de communication avec Internet. Là où hier, il y avait des rendez-vous de l’information, des rites, qu’étaient la lecture du journal, le journal télévisé, pour les enfants les temps de classe, existe aujourd’hui une profusion qui fait que chacun, via son téléphone portable, sa tablette, peut s’informer à portée de poche, à portée de main. Les Français passent en moyenne plus de la moitié de leur temps libre sur les écrans, plus de 2h par jour sur Internet, plus de 4h pour les 15-24 ans.

Internet est un progrès indéniable. L’information n’est plus seulement réservée à une élite, mais elle est accessible à tous. Jamais l’humanité n’a brassé autant de savoirs.

Mais cette révolution est aussi porteuse d’une face sombre. Car l’information ne s’est pas seulement démocratisée, elle a changé de nature. Nos sociétés sont confrontées à une fragmentation du débat, un phénomène de bulles où s’enferment des individus qui ne se parlent plus, à une résurgence de discours de haine, à un recul du savoir et de la science dans certaines circonstances.

Il est toujours sain en démocratie de prendre un peu de recul sur ce que nous sommes en train de vivre. Ce qui n’existait pas pour la plupart d’entre nous a envahi nos vies en dix ou quinze ans. Nous passons plusieurs heures par jour sur cet espace qui est à la fois public et privé, Internet. Ce changement est vertigineux, il est nécessaire d’essayer de comprendre ce qui s’est transformé dans notre manière de nous informer, d’échanger, notre rapport à l’autre, au savoir, à la violence. C’est d’autant plus important qu’il n’y a pas une génération qui puisse guider l’autre par son expérience. Presque toutes ont été « conquises » à grande vitesse par ces nouveaux espaces.

Garant de l’unité de la Nation et de la pérennité de nos institutions, le Président de la République Emmanuel Macron a souhaité qu’un large débat s’engage sur le sujet des impacts d’Internet sur notre information, notre démocratie et ce qui unit notre société, qui soit de nature à provoquer un sursaut collectif. Il a chargé ce jour une quinzaine d'experts (historiens, universitaires, journalistes, acteurs de terrain etc.), autour du sociologue Gérald Bronner, dans une commission nommée « Les Lumières à l'ère numérique », pour penser l'espace de débat commun de notre démocratie.

D'ici la mi-décembre, la commission devra dévoiler une série de propositions concrètes dans les champs de l'éducation, de la régulation, de la lutte contre les diffuseurs de haine et de la désinformation ».


Plusieurs objectifs sont définis, notamment :
  • définir un consensus scientifique qui sera mis à disposition du grand public, des médias, des acteurs de la société civile sur l’impact d’Internet dans nos vies de citoyens : notre information, notre rapport à l’autre, notre représentation du monde et de nous-mêmes, notre exposition à des biais cognitifs qui peuvent enfermer ;
  • formuler des propositions dans les champs de l’éducation, de la prévention, de la régulation, et de la judiciarisation des entrepreneurs de haine afin de libérer la société des bulles qui enferment une partie de nos concitoyens et nourrissent les extrémismes, la haine, la violence, les dérives sectaires et les obscurantismes ;
  • proposer de nouveaux espaces communs de la démocratie, de la citoyenneté, du collectif qui puissent trouver leur place dans le monde numérique, donner du sens à des citoyens isolés ;
  • développer une analyse historique et géopolitique de l’exposition de la France aux menaces internationales qui pèsent sur notre démocratie et notre société au travers d’Internet et des recommandations sur les enjeux à porter dans le débat international et européen.

Composition de la commission :
  • Gérald Bronner : professeur de sociologie à l’Université de Paris, membre de l'Académie nationale de médecine, de l'Académie des technologies, de l'Institut universitaire de France, ainsi que du comité de rédaction de L’Année Sociologique ;
  • Roland Cayrol : politologue ;
  • Laurent Cordonier : directeur de la recherche à la Fondation Descartes à Paris ;
  • Frédérick Douzet : spécialiste des enjeux géopolitiques du cyberespace et professeure à l’Université Paris 8 ;
  • Rose-Marie Farinella : ancienne journaliste de la presse écrite et enseignante ;
  • Aude Favre : journaliste web ;
  • Jean Garrigues : historien spécialiste d’histoire politique de la France contemporaine ;
  • Rahaf Harfoush : anthropologue canadienne ;
  • Rachel Khan : juriste, actrice, écrivaine ;
  • Anne Muxel : sociologue et politologue ;
  • Rudy Reichstadt : fondateur et directeur de Conspiracy Watch ;
  • Iannis Roder : historien spécialiste de la Shoah ;
  • Guy Vallancien : chirurgien, professeur honoraire des Universités, membre de l’académie nationale de médecine ;
  • Annette Wieviorka : historienne spécialiste de la Shoah de l'histoire des Juifs au XXe siècle.

Cette décision du chef d’État français intervient trois mois après la parution d’un sondage Ifop révélant que 67 % des citoyens français émettent des doutes au sujet de la véracité des propos tenus par un média reconnu.

Source : Élysée

Et vous ?

Que pensez-vous de cette stratégie ? Est-elle susceptible d'être efficace pour contrer la désinformation ? Dans quelle mesure ?
En quoi pourrait-elle mieux réussir que des initiatives comme Decodex, proposée par le journal Le Monde pour lutter contre les fake news en donnant un indice de fiabilité des sites d'information, ou encore d'autres solutions comme celles proposées par Facebook, Google et Microsoft ?
La préparation d'un outil de censure sous couvert de la lutte contre la désinformation ?

Voir aussi :

La France va créer une agence de lutte contre les manipulations de l'information, plateforme informatique d'influence au service de l'exécutif français ?
Macron : « Je ne veux plus de l'anonymat sur les plateformes internet », le Président français confirme qu'il veut bien la fin de l'anonymat en ligne

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Avatar de stardeath
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 04/10/2021 à 15:49
Les medias ont créé les fake news, n'ont pas été punis, ont perdu leurs lecteurs.
En retour, ils font maintenant du fact checking tout aussi mensonger, et ne seront toujours pas punis.

Et maintenant, on a nos chers incompétents, qui ont participé et profité des points précédents qui veulent punir les «propagateurs»? Ils seront jugés coupables comment? Par qui?

Je pense que les réponses sont déjà connus...
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Avatar de Jon Shannow
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 04/10/2021 à 16:13
Citation Envoyé par stardeath Voir le message
Et maintenant, on a nos chers incompétents, qui ont participé et profité des points précédents qui veulent punir les «propagateurs»? Ils seront jugés coupables comment? Par qui?

Je pense que les réponses sont déjà connus...
Mais, ça ne changera rien, car le système est fait de telle sorte que le "peuple souverain" n'est qu'un paravent démocratique qui cache une dictature ploutocratico-oligarchique des plus sournoise.

Quand un mec comme Xavier Bertrand (qui veut devenir président de la république, excusez du peu) se félicite d'avoir recueilli la confiance des électeurs, et le résultat obtenu lui donne la légitimité pour mettre en place sa politique, alors même qu'il n'a obtenu que 55.07% des votes exprimés, ce qui représente : 19.23% des inscrits.


Y a pas à dire, ça doit lui donner une sacré confiance, 19% !
Ces gens ne doutent de rien.

Et le système est très bien fait pour les protéger.
En 2007 : Vous ne voulez plus des vieux de la vieille, vous voulez du renouveau ? Bon, on vous donne Sarkozy.
En 2012 : OK Sarkozy a fait la même chose que les vieux de la vieille (en pire) ? Bon, on vous donne Hollande.
En 2017 : OK, Hollande a fait comme Sarko. Vous allez voir le changement, ni droite, ni gauche, on vous donne Macron.
Et en 2022, re-belote et dix de der. Le suivant sera exactement comme les précédents, à moins qu'on nous resserve du rab de Macron, qui sait. Des fois qu'il n'y ait personne d'autre.
Mais, même avec 80% d'abstention, le prochain Président de la République sera investi par la confiance obtenu par la victoire des urnes !
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Avatar de olaxius
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 04/10/2021 à 15:58
Loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse

Article 27
Version en vigueur depuis le 01 janvier 2002
Modifié par Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 - art. 3 (V) JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002
La publication, la diffusion ou la reproduction, par quelque moyen que ce soit, de nouvelles fausses, de pièces fabriquées, falsifiées ou mensongèrement attribuées à des tiers lorsque, faite de mauvaise foi, elle aura troublé la paix publique, ou aura été susceptible de la troubler, sera punie d'une amende de 45 000 euros.

Les mêmes faits seront punis de 135 000 euros d'amende, lorsque la publication, la diffusion ou la reproduction faite de mauvaise foi sera de nature à ébranler la discipline ou le moral des armées ou à entraver l'effort de guerre de la Nation.
Je viens de leur trouver la solution .
Le plus dur est fait . Maintenant ils peuvent aller se gaver de petits fours ...
Quand on voit les personnes , que l'on classe parmi l'élite intellectuelle qui se fourvoient dans ce genre de commissions , c'est à vomir .
A quand une loi pour interdire les commissions qui ne servent à rien ??
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Avatar de TotoParis
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 04/10/2021 à 20:52
http://h16free.com/2021/10/04/69566-...le-complotisme



Et aussi : https://insolentiae.com/inflation-co...harles-sannat/
6  1 
Avatar de Jon Shannow
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 04/10/2021 à 16:32
Citation Envoyé par walfrat Voir le message
On peut dire ce qu'on veut, je pense que les gens sont aussi responsables. Ils votent à la tête du client plus qu'a leur compréhension du programme ou se laisse volontiers mener par le bout du nez dans des punchlines mélodramatiques alors qu'on sait tous aujourd'hui que c'est bidon.

Je connais quelqu'un de pas mal à droite, il a bien indiqué que Mélanchon a la télé c'est un con, mais il a assisté a un de ses conférences sur de la géopolitique (donc pas un "débat politique a la télé), et il maitrise son sujet et il n'est pas con dans ce cas là.

Les gens veulent voter pour des cons à punchlines, ils ont donc des gens qui se déguisent en cons à punchlines à la télé.
Pas tout à fait d'accord. Quand tu as plus de 63% d'abstention, on ne peut plus dire que les gens votent pour des cons. Justement, ils ne votent plus parce qu'ils ne font plus confiance dans ceux qui se présentent. Mais, ces derniers n'en ont rien à faire. Dans tous les cas, il y en a un qui a 50% et 1 voix de ceux qui ont voté. Et on se rapproche petit à petit du moment ou les seuls votants seront les affiliés aux partis ! Mais, ça ne les gênera en aucun façon.
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Avatar de Cpt Anderson
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 04/10/2021 à 16:42
Ces gens nous ont tellement menti ces 40 dernières années, et aujourd'hui on vient nous casser les pompes avec ces histoires de complotistes !
Vous remarquerez qu'à chaque fois qu'un homme politique se fait prendre pour n'importe quoi d'illégale, il hurle O complot. Strauss khan se fait prendre, c'est un complot. Sarko, c'est un complot. Fillon c'est un complot ! Bien sur !
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Avatar de escartefigue
Modérateur https://www.developpez.com
Le 04/10/2021 à 15:34
Les réponses ne sont pas exclusives, une loi peut être nécessaire (sous réserve de son contenu) dangereuse pour les libertés (également sous réserve de son contenu) et étendue à différents types de média.
La qualité ou pas de ses résultats et les entraves aux libertés dépendront aussi des décrets d'application.

Bref, faute de projet de loi concret, on en est au stade du "il parait que peut-être que ça se pourrait bien que si ça se trouve il se passera quelque chose mais c'est pas sûr"
3  0 
Avatar de Fagus
Membre expert https://www.developpez.com
Le 04/10/2021 à 17:01
On y trouve même Guy Vallancien, médecin condamné pour faux certificat (condamnation au pénal normalement, qui a juste aboutit à un infime blâme ordinal), et qui selon le Dr Irène Frachon (médecin lanceuse d'alerte ayant combattu avec grand courage les fâcheux laboratoires servier), était un fervent défenseur du médiator (qui je le rappelle est sans aucun doute le plus grand scandale pharmaceutique français où une industrie a délibérément et en parfaite connaissance de cause vendu un coupe faim donnant des cardiopathie parfois mortelles et a sciemment caché le fait).

Comme ces titres de gloire sont ressortis , il a été défendu immédiatement par le président du la-dite commission car c'est un "très grand chirurgien", et qu'en tant qu'urologue de 75 ans, il est à mon avis donc on ne peut mieux placé pour connaître les manipulations réalisées par les algorithmes secrets des réseaux sociaux.

Tiens au fait, c'est curieux : Il n'y a pas d'informaticien ou de mathématicien de réseaux dans cette commission, alors même que c'est le sujet. Sacré Macron, faire, et ne pas faire, "en même temps" : quel talent.
3  0 
Avatar de Pierre Fauconnier
Responsable Office & Excel https://www.developpez.com
Le 04/10/2021 à 17:26
Citation Envoyé par walfrat Voir le message
On peut dire ce qu'on veut, je pense que les gens sont aussi responsables[...]
Le problème, c'est votre système à deux tours : Au premier tour on vote Le Pen, au second, on a la pétoche et on vote pour le rescapé (entendez, le second, le perdant du premier tour)... En fait, en France, vous avez un président "par défaut", c'est-à-dire le moins mauvais des deux... Wouah la démocratie...

En Belgique, c'est BEAUCOUP mieux: Grâce à la proportionnelle, on a une coalition de perdants, vu que personne ne fait au moins 50%, ils s'assemblent entre perdants (même s'ils semblent se détester, mais en fait ils ne se détestent pas, ils s'aiment tellement qu'ils mettent leurs filles et leurs fils au pouvoir) et on voit les mêmes têtes depuis 30 ans, et quand ils crèvent, on voit leurs filles et leurs filles, qui ont les mêmes têtes...

Au cas où ça vous intéresserait: Ce gars touche 11.000 euros de pension payés par nos deniers, et triche parce qu'il n'en gagne pas encore assez. Plutôt que d'aller en Justice et de foutre ce type en prison, on lui réduit sa pension... Le pôvre... Et s'il va en Justice avec son armada d'avocats, il "risquerait" encore bien de recevoir des dédommagements... On comprend qu'ils s'arrangent entre eux pour maintenir un système dans lequel les citoyens sont les grands perdants.

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Avatar de phil995511
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 05/10/2021 à 11:16
A l’image de Poutine, il tente de bâillonner une certaine opposition juste avant les élections ;-(

Que l'on soit en accord ou pas avec certains courants de pensée, vive le liberté d’expression...
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