Facebook totalise actuellement plus de 600 millions d'inscrits de par le monde, dont près de 20 millions de Français. Ce qui signifie qu'environ un tiers de nos compatriotes (et potentiellement vous) possède une page sur le réseau social. Et donc un mur, des amis, et un comportement sur le site communautaire.
Un journaliste du Nouvel Observateur à eu l'idée de catégoriser tous ces utilisateurs de Facebook en six grands profils. Et vous, auquel correspondez-vous ?
Le posteur fou : Collectionneur obsessionnel, il passe sa vie à dénicher des vidéos sur Youtube/des clips introuvables sur Myspace/ des photos rigolotes sur Flick’r. C’est le boute- en- train du web 2.0. Il poste des commentaires plus vite que son ombre, "like" toutes les publications de ses amis (faut pas faire des jaloux), souhaite tous les anniversaires, ce qui fait beaucoup, car il a désormais 1240 amis (il ne refuse aucune "invitation à devenir ton ami", c’est pas gentil).
Le Glasnost : "Il est 10 heures. J’ai envie de Pepito." De sa vie, le glasnost, nous raconte tout. L’hyper-transparence est son credo. Sa dernière soirée arrosée/son week-end en amoureux/son séminaire d’entreprise, rien ne nous sera épargné. Des kilo-octets d’ennui, en photos ou vidéos. Mais c’est quand il se lance dans la grande aventure de la reproduction humaine que Glasnost devient vraiment pénible. Echographies, premier sourire, premiers vomis, premiers gouzi gouzi : on a suivi en direct live l’évolution de sa progéniture. Et on n’en peut plus.
Le voyeur : Il passe son temps à mater les profils des autres mais ne publie jamais rien sur le sien. Il adore aller regarder les albums photos – en particulier ceux de ses ex-, épier les conversations de ses amis –et surtout de ses ennemis, qu’il a acceptés dans sa liste de friends, bien sûr-, voire leurs déplacements, grâce à ce merveilleux outil qu’est la géolocalisation. Allo Stasi j’écoute ?
Le control-freak : Un chouïa paranoïaque, le control-freak se sent oppressé par l’existence même de Facebook, ce Big Brother des temps modernes. Pour duper l’ennemi, il s’est néanmoins construit plusieurs profils, sous pseudo, évidemment. Schizophrène, il jongle désormais entre plusieurs identités, plusieurs mots de passes, plusieurs mails. Il passe des heures à verrouiller les paramètres de confidentialité, on ne sait jamais. Son dernier message publié "attention aux informations que vous laissez sur Facebook " n’a du coup été visible que par une seule personne : lui.
Le personal-brander : Très professionnel, il a pris des cours de "personal branding" pour savoir comment gérer au mieux son image sur le web. Il est spécialiste dans le marketing de lui-même. Réseauteur acharné, il bosse pour avoir le plus de "followers" sur Twitter, travaille son référencement sur Google, s’est inscrit sur toutes les plateformes de networking. Son fil d’actualité Facebook est une longue litanie de projets/réalisations/slides Power Point. Quel ennui.
Le militant : Il ouvre plein de groupes sur Facebook (contre le racisme, contre les violences faites aux animaux, contre l’inégalité homme femmes). Il fait circuler des pétitions et des appels. Il relaie en direct de Twitter des témoignages des révolutions arabes et de dissidents chinois. Sa photo de profil : celle de Stéphane Hessel. Indignez vous !
Le Glasnost : "Il est 10 heures. J’ai envie de Pepito." De sa vie, le glasnost, nous raconte tout. L’hyper-transparence est son credo. Sa dernière soirée arrosée/son week-end en amoureux/son séminaire d’entreprise, rien ne nous sera épargné. Des kilo-octets d’ennui, en photos ou vidéos. Mais c’est quand il se lance dans la grande aventure de la reproduction humaine que Glasnost devient vraiment pénible. Echographies, premier sourire, premiers vomis, premiers gouzi gouzi : on a suivi en direct live l’évolution de sa progéniture. Et on n’en peut plus.
Le voyeur : Il passe son temps à mater les profils des autres mais ne publie jamais rien sur le sien. Il adore aller regarder les albums photos – en particulier ceux de ses ex-, épier les conversations de ses amis –et surtout de ses ennemis, qu’il a acceptés dans sa liste de friends, bien sûr-, voire leurs déplacements, grâce à ce merveilleux outil qu’est la géolocalisation. Allo Stasi j’écoute ?
Le control-freak : Un chouïa paranoïaque, le control-freak se sent oppressé par l’existence même de Facebook, ce Big Brother des temps modernes. Pour duper l’ennemi, il s’est néanmoins construit plusieurs profils, sous pseudo, évidemment. Schizophrène, il jongle désormais entre plusieurs identités, plusieurs mots de passes, plusieurs mails. Il passe des heures à verrouiller les paramètres de confidentialité, on ne sait jamais. Son dernier message publié "attention aux informations que vous laissez sur Facebook " n’a du coup été visible que par une seule personne : lui.
Le personal-brander : Très professionnel, il a pris des cours de "personal branding" pour savoir comment gérer au mieux son image sur le web. Il est spécialiste dans le marketing de lui-même. Réseauteur acharné, il bosse pour avoir le plus de "followers" sur Twitter, travaille son référencement sur Google, s’est inscrit sur toutes les plateformes de networking. Son fil d’actualité Facebook est une longue litanie de projets/réalisations/slides Power Point. Quel ennui.
Le militant : Il ouvre plein de groupes sur Facebook (contre le racisme, contre les violences faites aux animaux, contre l’inégalité homme femmes). Il fait circuler des pétitions et des appels. Il relaie en direct de Twitter des témoignages des révolutions arabes et de dissidents chinois. Sa photo de profil : celle de Stéphane Hessel. Indignez vous !
A quel profil Facebookien appartenez-vous ?