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Programmation : quelles sont les qualités essentielles pour être un acteur de la filière ?
Quelles sont celles qui montrent qu'on est fait pour ce job avant d'entamer un programme d'études ?

Le , par Patrick Ruiz

196PARTAGES

9  0 
Quelles sont les qualités essentielles pour être un développeur informatique ?
Être curieux
73 %
Avoir un sens logique aiguisé
65 %
Désireux de s'améliorer jour après jour
53 %
Faire preuve de tolérance à la frustration
42 %
Faire preuve d'humilité
41 %
Être minutieux
40 %
Être tenace
38 %
Faire preuve de créativité
31 %
Démontrer de la passion
29 %
Être bon en langue anglaise
25 %
Aimer le travail en équipe
13 %
Être bon en maths
10 %
Autres (à préciser)
5 %
Voter 115 votants
De façon traditionnelle, l’exercice en tant que professionnel de l’informatique en général est conditionné par le passage du postulant par une formation qui mène à un diplôme dans le domaine. Là où l’on a coutume de citer les mathématiques comme faisant partie des connaissances requises pour intégrer un de ces cursus de formations, il faut dire que l’on oublie souvent de parler des traits de personnalité essentiels pour devenir un acteur de la filière. Qu’est-ce qu’il en est ? Quel est celui qui, plus que les autres, permet de savoir si on est fait pour ce job avant même d’entamer un programme d’études ?

L’ouverture aux nouvelles expériences : elle inclut des sous-traits de personnalité comme la curiosité, la créativité et le désir de s’améliorer jour après jour. Elle offre à l’acteur les gages de survie dans un univers où la technologie est très évolutive. De nouveaux langages sortent pour répondre à des besoins bien spécifiques, d’autres pour enrichir leurs bibliothèques. La technologie de la filière programmation informatique n’est donc pas statique. La résultante est très simple : ce qui semble être à la pointe de la technologie aujourd’hui en matière de logiciel ou de matériel peut s’avérer obsolète dans les années voire les mois à venir. Bien sûr, il y a des langages de programmation qui résistent à l’influence du temps, mais ce sont là des exceptions, pas des règles.

La ténacité : c’est de façon ramassée l’avis de Peter Norvig – directeur de recherche en intelligence artificielle chez Google – sur la question de savoir quel est le trait de personnalité essentiel pour être un acteur de la filière de la programmation informatique. Y faire référence est une autre manière de toucher à la tolérance à la frustration nécessaire pour faire face au mur de l’adversité qui se dresse au moment d’intégrer des éléments d’un nouveau langage de programmation ou lors de recherche de bogues au sein de bases de code importantes.


Faire montre de réel intérêt et de passion : c’est un facteur à aligner avec la réalité de chaque pays, mais dans bon nombre le développement informatique fait partie des métiers qui paient le mieux ses intervenants. Les tiers en quête d’emploi ont donc tendance à s’intéresser à la filière dans le seul but de se faire de l’argent. C’est un besoin légitime, mais que l’on a de fortes chances de combler si l’on intègre l’ingrédient qui permet de rester assis des nuits entières à rechercher la solution à un problème ou a mettre au point de nouvelles créations, ce, pendant que d’autres prennent du repos. Après tout, l’un des éléments clés de la réussite de façon indépendante du domaine dans lequel on œuvre est de faire montre d’intérêt et surtout d’aimer ce qu’on fait.

Laisser de côté son ego : l’un des pièges dans la filière de la programmation informatique est de s’identifier à la technologie que l’on maîtrise et ainsi de risquer de passer à côté de tous les changements qui ont cours dans le domaine. Cela peut fonctionner pendant une décennie, mais l’heure de l’obsolescence des connaissances finit toujours par arriver et à mettre le travailleur de la filière dans la position du « vieux rouillé. » Garder une posture constante d’apprenti s’avère être un must. Faire référence à cet aspect c’est aussi appeler à l’humilité nécessaire pour admettre qu’on a tort lors d’une évaluation par des pairs ou pour une remise en question constante de son propre code source.

Que se passe-t-il dans la tête des programmeurs lorsqu'ils sont lancés dans leur exercice de mise sur pied de logiciels ? En s’appuyant sur des techniques d’imagerie issues des neurosciences, il est possible de déterminer quelles zones du cerveau sont en fonctionnement pour des activités données. C’est l’approche qu’a adoptée une équipe de chercheurs allemands pour savoir lesquelles le sont lors de la lecture et de la compréhension de programmes informatiques. Résultat : les régions cérébrales les plus actives au moment de la réalisation de ces activités sont celles qui sont également pertinentes dans le traitement du langage naturel.

En 1980 déjà, les travaux du célèbre informaticien néerlandais Edsger Dijkstra l’avaient mis en avant : la compréhension du langage naturel joue un rôle central dans la programmation informatique. En d’autres termes, la filière (programmation informatique) fait plus appel à des qualités linguistiques qu’à d’autres, d’après ce qui ressort de publications de recherche qui s'enchaînent.

« À notre surprise, nous n'avons observé aucune activité dans le sens du raisonnement mathématique ou logique, ce qui serait conforme à la perspective selon laquelle la programmation est un processus formel, logique et mathématique. Le résultat le plus frappant est une activation de certaines zones de l’hémisphère gauche du cerveau lors des activités de compréhension de programmes », indiquent les chercheurs allemands.

Doué en langues donc doué en programmation informatique est la conclusion sur laquelle s'accordent plusieurs récentes publications de recherche. Certaines sur cet axe viennent même rompre de façon totale avec l'idée selon laquelle un acteur de la filière programmation informatique doit forcément être bon en maths ou avoir un esprit logique très aiguisé.

Et vous ?

Quel est de votre point de vue le trait de personnalité essentiel pour savoir qu’on peut être un acteur de la filière programmation informatique avant même d’avoir entamé un programme d’études y relatif ?
Quels sont les traits de personnalité qui manquent selon vous à l’appel de cette liste ?
Quels sont ceux qui vous ont été les plus utiles au cours de votre carrière ? Partagez votre expérience
Grosso modo, quelles sont les qualités essentielles pour être un développeur informatique ?

Voir aussi :

Qu'est-ce qui fait un bon programmeur ? Un senior liste cinq caractéristiques d'un bon programmeur

Faut-il éliminer le mythe du programmeur génie ? Selon un sénior, « la plupart des gens sont moyens » et cela n'est pas grave

Le talent et la passion suffisent-ils pour faire un bon développeur ? Les créateurs de Django, PHP et Rails n'étaient pas des passionnés du code

Tout le monde ne peut pas devenir développeur, il faut d'abord disposer de certains prérequis

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Avatar de el_slapper
Expert éminent sénior https://www.developpez.com
Le 12/10/2020 à 16:28
J'allais cocher 8 ou 9 cases, puis je me suis dit : non, une seule. L'humilité.

https://blog.codinghorror.com/why-im...-in-the-world/

Tout le reste vient après. Toutes mes plus grosses erreurs, c'est à chaque fois que mes chevilles ont gonflé et que je me suis cru plus fort.
10  1 
Avatar de Franck.H
Rédacteur https://www.developpez.com
Le 22/10/2020 à 13:59
Je vais vous parler de mon expérience personnelle et de mon petit parcours, tout ceci par rapport à ce que j'ai pu lire plus ou moins en diagonale dans les posts précédent

Avoir des diplômes d'ingénieur ou autre ne font pas qu'un développeur soit un bon développeur ou sache réellement coder de façon logique.

J'ai démarré dans la vie active avec un CAP d'installateur sanitaire et je suis issu d'une famille d'ouvriers !

L'informatique a toujours été ma passion et celle-ci a bien entendu, démarré avec mes premiers salaires d'apprenti. J'ai démarré le codage sur Amiga à l'époque avec du AMOS puis sur PC avec du BASIC. Il y a 14 ans j'ai intégré une entité de la fonction publique dans laquelle j'ai démarré comme égoutier grâce bien sûr, à mon CAP. Des années plus tard, j'ai vu qu'un poste de développeur était vacant dans cette boîte, j'ai postulé et il s'avère que j'étais meilleur que certains avec un barda de diplômes et même avec plusieurs années d'expérience !

Il y a maintenant deux ans, j'ai validé une VAE qui m'a permis d'obtenir une licence de concepteur/développeur informatique et ça fait 7 ans que je suis sur ce poste ! L'année prochaine j'ai prévu de prendre des cours du soir et à distance pour passer une maîtrise en management de projets pour ensuite aller vers un diplôme d'ingénieur en modélisation de données, j'ai 43 ans !

L’ascenseur social n'est effectivement plus ce qu'il était mais j'estime qu'il faut quand même se donner les moyens tout en sachant bien sûr qu'on en a les capacité sinon ce n'est pas la peine d'essayer. C'est effectivement dommage qu'en France ce sont avant tout les diplômés voir même les grands diplômés qui sont prioritaires mais il existe néanmoins encore des entreprises qui sont assez grosses et qui permettent des promotions et mouvements interne.

Ce qui définit un bon développeur ? Selon moi:
  • Etre rigoureux dans son travail pour faire du code propre et maintenable
  • Etre passionné, cela permet de faire face aux moments difficiles
  • Ne pas avoir peur des défis (domaines qu'on maîtrise moins par exemple)
  • Etre curieux
  • Avoir envie de se maintenir à jour dans l'évolution des outils et techno
  • Savoir travailler en équipe et ne pas avoir peur de ne faire qu'une partie d'un projet


Je pense que je vais arrêter là même si je pourrais continuer à vous conter une histoire
9  0 
Avatar de foetus
Expert éminent sénior https://www.developpez.com
Le 15/10/2020 à 21:20
Citation Envoyé par Mister Nono Voir le message
C'est du grand n'importe quoi les réponses...

C'est être bon en math, logique, prêt à travailler dur, organisé, efficient... et j'en passe.
Parce qu'en France, on n'en rien à carrer du programmeur développeur (du manuel)

Il faut du chef (chef de projet, chef B.U. [Business Unit], consultant sur telle ou telle technologie, Product Owner, [Scrum Master] ...) mais pour les petites mains, il faut bourrer pour en avoir le moins possible ... parce que les chefs et les commerciaux ont du mal à les gérer et ils coûtent déjà assez cher comme cela
8  0 
Avatar de Escapetiger
Expert éminent sénior https://www.developpez.com
Le 17/10/2020 à 17:38
Citation Envoyé par foetus Voir le message
Parce qu'en France, on n'en rien à carrer du programmeur développeur (du manuel)

Il faut du chef (chef de projet, chef B.U. [Business Unit], consultant sur telle ou telle technologie, Product Owner, [Scrum Master] ...) mais pour les petites mains, il faut bourrer pour en avoir le moins possible ... parce que les chefs et les commerciaux ont du mal à les gérer et ils coûtent déjà assez cher comme cela
Un rappel pour celles et ceux qui ne connaîtraient pas, ça circulait déjà avant la démocratisation de l'accès à la toile (avant 1998 ~), mais avec les Américains (au sens USA) à la place des Japonais:

La fable du rameur et des barreurs

Philippe Lefournier,
publié le 05/03/1998 à 09:59

Art d'exécution ou science de l'abscons, le management se prête bien aux fables. Celle-ci circule en ce moment sur Internet.

" Une firme japonaise et une société française décident de faire une course d'aviron. Les deux équipes s'entraînent dur. Les Japonais gagnent avec plus de 1 kilomètre d'avance. Les Français sont très affectés. Leur management se réunit pour chercher la cause de l'échec. Une équipe d'audit constituée de senior managers est désignée. Après enquête, ils concluent que l'équipe japonaise est constituée de huit rameurs pour un barreur, alors que l'équipe française a huit barreurs pour un rameur.

A la lecture de l'audit, le management décide de louer les services de consultants. Après avoir perçu d'énormes honoraires, ils rendent leur avis : l'équipe française doit avoir plus de rameurs et moins de barreurs. La structure de l'équipe française est donc réorganisée. Mais, comme personne ne veut devenir rameur, il est décidé de créer quatre postes de barreurs superviseurs, trois de barreurs superintendants et un de barreur superintendant assistant manager.

Les Français mettent aussi en oeuvre un système de stimulation pour encourager le seul rameur de l'équipe à travailler plus. Baptisé "La qualité et le zéro défaut", il repose sur des réunions, des dîners et une prime sur objectif pour le rameur. La course a lieu, et, cette fois, les Japonais gagnent avec 2 kilomètres d'avance. Humiliée, la direction française licencie le rameur, stoppe la mise en chantier d'un nouvel aviron, vend le bateau et annule tout investissement. Puis elle récompense les barreurs managers de leurs efforts en leur donnant le prix de la Performance. Enfin, elle distribue l'argent économisé par ces mesures de restriction à tous les directeurs seniors.

" Tout cela ne vous rappelle pas quelque chose ?
Source: La fable du rameur et des barreurs - L'Express L'Expansion
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Avatar de grunk
Modérateur https://www.developpez.com
Le 20/10/2020 à 10:12
Et j'ai bénéficié de rencontrer des personnes intelligentes qui ne m'ont pas fermé la porte au nez merci à eux .
Malheuresement aujourd'hui c'est des choses qui n'arrivent quasiment plus. Un candidat un peu attypique , qui ne coche pas toutes les cases ne se verra probablement même pas proposé un entretien alors qu'il pourrait avoir du talent.
On préfèrera largement quelqu'un qui fait du dév de facon alimentaire , parce que c'est porteur ces dernières années, mais qui à les bon diplômes et les bonnes relations (forcément ca garantie un candidat exceptionnel ).
6  0 
Avatar de Jamatronic
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 14/10/2020 à 19:20

Actuellement, si tu es jeune et que tu acceptes le salaire que l'on t'offre, tu seras un acteur de la filière.
C'est celui qui t'embauche qui est ou sera un acteur de la filière.


Si en plus, tu as de supers gros diplômes, tout le monde va te prendre pour le futur Bill Gates.
Oh non. Tu vas faire du CRUD comme tout le monde.
5  0 
Avatar de JPLAROCHE
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 20/10/2020 à 1:26
Bonjour, quand j'ai commencé l'informatique je crachais du feu dans la rue et couchait dans les caves. J'avais 26 ans cataloguer par la société SDF avec en poche à peine le certificat d'études, cela ne m'a pas empêché de trouvé des beugs et de faire l'objet d'arrêter des productions international....

même si aujourd'hui on peu dire que j'ai réussi, soit par ma carrière soit par la reconnaissance de mes pères soit par les soft qui son actuellement encore inclus sur de nombreux ordinateurs etc...

mon regret les math et la langue anglaise.

les math parce que même si je retrouvais les mêmes algorithme j'aurais certainement pu aller plus loin, l'anglais parce que j'aurais encore plus partager . Quand aux idées devant une page blanche ils ne m'ont jamais défauts, encore aujourd'hui à 70 ans je me penche sur du code ma passion ( chef de projet et directeur pour moi c'était pour manger ) et je n'hésite pas à remettre encore et encore mon métier en question, et apprendre un nouveau language par contre je met beaucoup plus de temps à choisir car j'ai le temps pour moi et je suis plus exigeant sur le coding.

Enfin de compte faire de l'informatique c'est être à l'école on ne peu jamais dire je sais ...

Et j'ai bénéficié de rencontrer des personnes intelligentes qui ne m'ont pas fermé la porte au nez merci à eux .

Merci à la PROVIDENCE.
5  0 
Avatar de Claude40
Membre actif https://www.developpez.com
Le 16/10/2020 à 10:58
L’humilité certes ! C’est comme quand vous êtes cruciverbiste et que vous passez un temps fou à trouver un mot et que vous n’avez pas eu le réflexe de remettre en cause d’autres mots précédemment inscrits et qui paraissaient évidents.
La « vocation » : Il faut se lancer dans la programmation, non pas parce que c’est réputé être bien payé, mais parce que vous sentez que vous allez y prendre du plaisir.
L’esprit « Sherlock Holmes » : Vous avez un certain goût et une certaine propension à résoudre les problèmes, à trouver les solutions, à détecter les anomalies et leurs causes. C’est une disposition d’esprit qui n’est pas donnée à tout le monde. Vous gagnerez du temps en mise au point de vos programmes.
Une certaine capacité à résister à la pression et au stress, au besoin en ne comptant pas ses heures. On stresse si on passe son temps à regarder le temps qui s’égrène alors que le code ne progresse pas assez vite pour tenir les délais. Ceci est un investissement pour l’avenir, car lorsque vous serez reconnu comme « bon programmeur », c’est vous qui aurez la confiance de votre hiérarchie pour estimer les charges et les délais.
L’aisance dans l’apprentissage des langues est également le signe d’une bonne prédisposition à comprendre la philosophie d’un langage.
4  0 
Avatar de moldavi
Inactif https://www.developpez.com
Le 20/10/2020 à 23:14
Bonjour.

Citation Envoyé par Mister Nono Voir le message
Donc c'est normal, un bon informaticien doit avoir une formation assez longue et de qualité (et non pas quelques semaines) : je réponds en soit au sondage...

Un autodidacte peut se former longuement et de manière qualitative, sans passer par un diplôme. Il sera aussi compétent à la fin.
4  0 
Avatar de Mat.M
Expert éminent sénior https://www.developpez.com
Le 15/10/2020 à 13:51

Si en plus, tu as de supers gros diplômes, tout le monde va te prendre pour le futur Bill Gates.
dans le système français oui où on favorise les gens diplômés; tout le monde sera d'accord là-dessus.
Mais Bill Gate a ceci de paradoxal qu'il n'avait au départ aucun diplôme pour démarrer un buisiness...
C'est qu'il était là au bon moment pour vendre un produit que les entreprises voulaient acheter et donc il a pu gagner de l'argent au départ.
J'avais lu quelque part qu'il avait commencé à passer son temps à faire des lignes de code en Basic donc il y a un début à tout n'est-ce pas
Pour fonder une multinationale par la suite.

Donc moralité avoir des diplômes ça ne suffit pas il faut trouver le bon modèle économique d'entreprise.
La réussite sociale dans le monde anglo-saxon n' a pas la même connotation que dans le monde français...
Citation Envoyé par Jamatronic Voir le message

Oh non. Tu vas faire du CRUD comme tout le monde.
+1000.
Donc si un salarié diplômé ingénieur passe son temps à faire du CRUD en SSII c'est un gâchis de compétences non ?
3  0