Tout un écosystème s'était formé autour de cette technologie spécifique que beaucoup voyait – à tort ou à raison – comme un langage Web bridé.
Pour le remplacer, Facebook a choisi iFrame. Une décision qui ouvre en grand les portes de la plate-forme au trio HTML, CSS, JavaScript.
Un pas vers l'ouverture, donc. Mais surtout une main tendue aux développeurs de ces trois langages même si quelques limitations du FBML persistent (pas de lancement automatique de la lecture d'une vidéo par exemple).
Que ceux qui ont utilisé FBML pour leurs créations se rassurent, les onglets ainsi générés ne sont pas effacés (en tout cas pas jusqu'à nouvel ordre). Ils auront donc le temps de gérer la transition et de modifier leurs codes en conséquence.
Que l'on juge cette évolution positive ou négative, une réalité demeure. Facebook fait – un peu - ce qu'il veut, quand il veut, avec les technologies qu'il autorise aux développeurs. Et sans véritablement prévenir à l'avance de ses intentions.
Un peu comme pour son interface - diront les mauvaises langues. Une UI qui enchaîne les expérimentations plus ou moins heureuses (nouvelle visionneuse d'image très peu ergonomique, obligation de faire MAJ+Entrée pour aller à la ligne dans un message, etc.), là aussi sans prévenir.
Pour autant, cela ne veut pas dire que développer pour et sur Facebook soit un mauvais choix.
Il faut juste intégrer cette dimension « mouvante » dans les projets.
Source : Facebook Developer Roadmap
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