
Cette étude a été réalisée auprès de 650 décideurs IT dans plusieurs pays d’Europe, au Royaume-Uni, au Canada, dans les régions DACH et en Amérique du Nord. Elle regroupe le secteur de la télécommunication, l’informatique, les services financiers, le secteur public et les organisations gouvernementales, tant dans le domaine privé que public.
« L’ampleur du problème des compétences mainframe est évidemment inquiétante. Cependant, le fait de voir que les responsables informatiques reconnaissent la nécessité d’agir est encourageant. Ces résultats montrent que des efforts pour renforcer les compétences du personnel existant, ou attirer de nouveaux talents vers de vieilles plateformes ne suffisent simplement pas à résoudre cette crise. C’est maintenant le moment pour les organisations de migrer leurs applications clés pour leur métier vers des systèmes ouverts modernes et d’en récolter les fruits », dit Mark Cresswell, CEO de LzLabs
Les formations sont insuffisantes
Afin de remédier à ces problèmes, il a été décidé que des efforts seront faits pour enrichir les formations. Il ne faut pas oublier que les failles proviennent surtout des formations. Une proportion massive des directeurs des systèmes d’information interrogés ont avoué que les formations leur faisaient grandement défaut. Pour preuve, 14 % d’entre eux ont affirmé ne former leurs équipes que sur une base mensuelle tandis que 37 % déclarent le faire sur une base trimestrielle et enfin, 16 % ont admis qu’ils ne le font qu’une fois par an. Si cela ne suffisait pas, l’insuffisance de cursus répondant aux demandes des entreprises confrontées aux manques de personnes spécialisées en mainframe vient accentuer le problème. Selon Thilo Rokcmann, directeur des opérations de LzLabs : « les conclusions de l’enquête de l’année dernière soulignaient la frustration des responsables informatiques face au coût et à la rigidité de leurs applications. Ce que nous constatons cette année, c’est la prise de conscience du fait que la perte de compétences mainframe constitue une menace importante dans les années à venir et que des approches fragmentées ne suffiront pas à résoudre ce problème ».
Source : Lzlabs
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