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Démantèlement des géants US de la tech : Sheryl Sandberg de Facebook rappelle que la Chine a aussi des poids lourds
Et ils ne seront pas touchés

Le , par Michael Guilloux

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9  0 
Le nouveau plan d'Elizabeth Warren : démanteler les géants Amazon, Google et Facebook
Pour promouvoir la concurrence dans le secteur technologique

Dans une déclaration vendredi, lors d’un événement de campagne dans le Queens, la sénatrice Elizabeth Warren a fait la promesse de démanteler des géants de la technologie comme Amazon, Google et Facebook si elle était élue présidente des États-Unis afin de promouvoir la concurrence dans le secteur technologique. La candidate démocrate à la présidence pour 2020 veut ainsi se démarquer des autres candidats démocrates en ciblant le pouvoir de la Silicon Valley avec son message populiste dans un contexte où les géants de l'Internet font face à une réaction politique grandissante avant les élections présidentielles de 2020, selon un article de Reuters publié vendredi.

La sénatrice Warren est connue pour avoir fait sa marque politique et beaucoup d'ennemis en s'en prenant aux grandes banques après la crise financière de 2007-2009. Elle continuerait au Sénat, par ailleurs, de critiquer ouvertement Wall Street, selon Reuters. Elle est également une chef de l'aile progressiste de son parti. Selon elle, il est grand temps de s'attaquer à la domination croissante des plus grandes entreprises technologiques des États-Unis qui ne permettent pas aux petites et aux nouvelles entreprises de s’épanouir sur un marché déjà conditionné par leur influence.

« Nous avons ces géants de la technologie qui pensent régner sur la terre », a-t-elle dit à une foule d'environ 300 personnes à Long Island City, dans l'arrondissement du Queens. « Je ne veux pas d'un gouvernement qui est là pour travailler pour les géants de la technologie. Je veux un gouvernement qui travaille pour le peuple. », a rapporté Reuters.


C’est au cours d’un événement de sa campagne qui s’est tenu non loin du site qui devait abriter le second siège d’Amazon que la sénatrice a fait sa déclaration. Selon elle, ce n’est pas normal que les grandes entreprises de technologie viennent dans des villes et des États et « invitent tout le monde à faire ce qu'elles veulent » et « reversent » les petites entreprises et les nouvelles entreprises qui représentent une menace pour elles. « Les géants n'ont pas le droit de racheter la compétition. La compétition a besoin d'avoir l'occasion de s'épanouir et de grandir », a-t-elle ajouté. Le discours de Warren a eu l’approbation de certaines personnes présentes à l’événement.

Pour rappel, dans la ville de New-York, Amazon avait un projet de construction d'un siège social qui aurait pu créer 25 000 emplois dans la ville. Cependant, les New-Yorkais ont fait des vagues après avoir appris les importantes réductions d'impôts dont bénéficierait Amazon s'il construisait un siège social à Long Island City. Amazon a du annuler son projet de construction après avoir été confronté à une réaction féroce et inattendue de la part des législateurs, des militants progressistes et des dirigeants syndicaux, qui ont affirmé qu'un géant technologique ne méritait pas près de 3 milliards de dollars en incitations gouvernementales.

Bien avant cette déclaration, Mme Warren avait déjà dévoilé, dans un post sur Medium, un projet agressif qui consistant à mettre fin au règne des géants Amazon, Google et Facebook dans le cadre d'un plan visant à réglementer les plateformes technologiques comme services publics.

Selon Reuters, cette proposition ambitieuse de la sénatrice imposerait de nouvelles règles à certaines plateformes numériques dont le chiffre d'affaires annuel s'élève à 25 milliards de dollars ou plus, ce qui forcerait Amazon et Google à se séparer de certaines parties de leurs entreprises et à abandonner leur contrôle écrasant sur le commerce en ligne. Le plan viserait également à mettre fin à certaines des fusions les plus médiatisées de l'industrie, comme les combinaisons d'Amazon et Whole Foods, de Google et DoubleClick, ainsi que l'acquisition par Facebook d'Instagram et de WhatsApp.

La proposition de Mme Warren contiendrait également un projet de loi qui obligerait les entreprises de technologie comme Google et Amazon qui offrent un marché ligne à s'abstenir de faire concurrence sur leur propre plateforme. Cela interdirait, par exemple, à Amazon de cibler les meilleurs segments de marché de ses participants et de vendre sur sa plateforme Amazon Marketplace.

« Les grandes entreprises technologiques d'aujourd'hui ont trop de pouvoir – trop de pouvoir sur notre économie, notre société et notre démocratie. Ils ont écrasé la concurrence, utilisé nos renseignements personnels à des fins lucratives et incliné le terrain de jeu contre tout le monde. Et ce faisant, ils ont nui aux petites entreprises et étouffé l'innovation », a écrit M. Warren dans son post sur Medium au sujet de sa proposition. « C'est pourquoi mon administration apportera de grands changements structurels au secteur de la technologie pour promouvoir plus de concurrence, y compris le démantèlement d'Amazon, de Facebook et de Google. », a-t-elle ajouté.


A propos des approbations accordées sous l'administration Obama qui ont favorisé certaines des fusions technologiques majeures qu'elle veut maintenant annuler, la sénatrice a déclaré à CNN dans une interview le vendredi à Harlem que « Je ne pense pas que ce soit la bonne décision », avant d’ajouter que « Je veux que les organismes de réglementation y retournent et qu'ils examinent la situation ». « Je pense que la bonne décision est de dire que la concurrence est protégée si, une fois qu'on a atteint cette taille, on n'a plus le droit d’absorber ses concurrents. »

Mais la proposition de la candidate démocrate aux élections présidentielles de 2020 n’a pas manqué d’attirer des positions contraires, même si elle bénéficie également de soutien des personnes qui sont pour la réglementation gouvernementale des géants de la Silicon Valley.

Les soutiens à la proposition de la sénatrice Warren

Parmi les soutiens de la sénatrice, Reuters a cité Tim Wu, professeur de droit, de science et de technologie à la Columbia Law School, qui a inventé le terme « neutralité du réseau » et qui a mis en garde contre une économie dominée par quelques grandes entreprises. Le professeur Wu a déclaré dans un tweet qu'il était « encourageant » de voir l'idée de briser les géants de la technologie gagner du terrain.

La sénatrice de l'État de New York, Julia Salazar, une opposante à l'accord de New York pour amener le deuxième siège d’Amazon dans le Queens, a accueilli avec enthousiasme la proposition de Warren. « Je suis heureuse de voir les dangers d'un pouvoir monopolistique sur le marché pris au sérieux par une candidate aux élections présidentielles de premier plan », a-t-elle déclaré dans un communiqué. « Le gouverneur Andrew Cuomo et d'autres politiciens pro-Amazon doivent voir le danger de sublimer toutes les facettes de notre vie quotidienne en une seule entreprise, ce qui est clairement le modèle économique d'Amazon. »

Les oppositions à la proposition de la candidate aux élections présidentielles 2020

Des investisseurs de la Silicon Valley ainsi que des opposants à la réglementation gouvernementale ne sont, bien évidemment, pas du même avis que la sénatrice Warren. Selon certains, la concurrence ne s’est jamais aussi bien portée avant et d’autres pensent que briser les géants de la Silicon Valley, c’est fait un pas en arrière.

NetChoice, un groupe de commerce électronique dont les membres comprennent Facebook et Google, a déclaré que le plan de Warren entraînerait une hausse des prix. « La sénatrice Warren a tort d'affirmer que les marchés technologiques manquent de concurrence. Jamais auparavant les consommateurs et les travailleurs n'avaient eu un meilleur accès aux biens, aux services et aux possibilités en ligne », a déclaré Carl Szabo, vice-président et avocat général pour NetChoice.

Le président de la Chambre de commerce des États-Unis, Tom Donohue, s’oppose aussi à la proposition de Warren. Selon lui, le démantèlement des grandes entreprises technologiques « nous ramènerait à l'âge de pierre ». « Ce n'est pas une vision pour l'avenir, mais une idée archaïque qui devrait être jetée à la poubelle de votre ordinateur. », a-t-il dit.

La domination des grandes entreprises de technologie et leur rôle dans le déplacement ou l'absorption d'entreprises existantes, et bien d’autres problèmes liés à l’émergence des plateformes du numérique avaient déjà fait l’objet d’examen lors d’une série d'audiences l'an dernier par le Congrès américain.

Amazon ayant été critiqué, entre autres, pour avoir remplacé les boutiques physiques avec son modèle d’entreprise ; Google critiqué, entre autres, pour son projet de moteur de recherche censuré en Chine et Facebook critiqué pour avoir perdu le contrôle des données des utilisateurs et pour n’avoir pas empêché la diffusion des fausses nouvelles et la désinformation sur sa plateforme de réseau social.

Source : Reuters, CNN

Et vous ?

Qu’en pensez vous ?
Selon vous, la proposition de la candidate aux élections présidentielles de 2020 pourra être mise en œuvre ou pensez-vous que c’est juste l’une des promesses de campagne qui sera vite oubliée après les élections ?

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Avatar de rawsrc
Expert éminent sénior https://www.developpez.com
Le 18/05/2019 à 7:31
Quelle rigolade ! Qui va croire que les US vont démanteler leurs géants technologiques pour les affaiblir ?
En plus imaginer que l'administration Trump pourrait le faire est d'une naïveté crasse.
Tout ça, ce n'est que pour justifier la prise de contrôle par le gouvernement d'une partie des contenus (à l'image de ce que fait la Chine, ni plus ni moins).
Et nous ne sommes pas en reste non plus : Audition de journalistes par la DGSI

Je ne sais pas vers quoi se dirige le monde mais ça dégringole à toute vitesse.
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Avatar de rawsrc
Expert éminent sénior https://www.developpez.com
Le 20/05/2019 à 10:13
Citation Envoyé par Ryu2000 Voir le message
Je n'utilise pas de moteur de recherche chinois, je n'utilise pas de boite email chinoise, je n'utilise de plateforme vidéo chinoise, je n'utilise pas d'OS chinois, je n'utilise pas de d'OS mobile chinois, je n'utilise pas de réseau social chinois, etc.

Donc non je m'en fous des poids lourds chinois, je n'ai jamais rien commandé sur Alibaba.
C'est bien dommage de t'en taper le coquillard car tu oublies juste un petit détail : l'économie de marché. Ces sociétés acquièrent localement au fil du temps un poids économique gigantesque et en vertu de l'économie de marché mondialisée, finissent par s'imposer sur tous les marchés petit à petit. Regarde attentivement ce que fait la Chine... Tu verras qu'en tant que consommateur éclairé et encore moins en tant que décideur, tu ne peux te permettre de faire l'impasse sur l'économie étrangère à périmètre régionalisé. Les répercussions, tu vas les avoir tôt ou tard, autant avoir un coup d'avance, non ?

Citation Envoyé par AoCannaille Voir le message
ça s'est déjà vu par le passé avec Rockfeller : https://www.capital.fr/economie-poli...istoire-516486
Ouaip, mais c'était à quelle époque ? Qu'est ce qu'il y avait en face capable de rivaliser avec l'empire Rockfeller ?
Aujourd'hui ce n'est plus du tout la même salade. Si les US avait réellement voulu s'attaquer aux monopoles, ils auraient déjà démantelé Microsoft depuis belle lurette.
Tout ça ce n'est que de la poudre aux yeux et autres postures de politicards.
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Avatar de plegat
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 06/11/2019 à 10:36
Bon, du coup, dans l'article quand il y a écrit "Facebook", c'est l'entreprise ou c'est l'appli?

Ca va être sympa à taper les prochains articles... va falloir désactiver le correcteur d'orthographe automatique ou mettre les exceptions qui vont bien!
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Avatar de AoCannaille
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 20/05/2019 à 10:01
Citation Envoyé par rawsrc Voir le message
Quelle rigolade ! Qui va croire que les US vont démanteler leurs géants technologiques pour les affaiblir ?
ça s'est déjà vu par le passé avec Rockfeller : https://www.capital.fr/economie-poli...istoire-516486
John Rockefeller devient le «Roi du pétrole» : sa fortune atteint 150 millions de dollars de l’époque[*] et son revenu est 20 000 fois plus élevé que le salaire moyen d’un Américain.

Cette position exceptionnelle va se retourner contre lui. Si les Etats-Unis adulent et respectent la figure de l’entrepreneur, surtout s’il est parti de rien, en revanche, la concentration des affaires suscite une forte inquiétude, voire une franche hostilité. Pour l’opinion publique, la domination du marché par quelques groupes géants va à l’encontre de la liberté d’entreprendre. Le « trust» apparaît comme protecteur d’intérêts privés étroits opposés au bien public. Les politiques eux-mêmes mènent la charge, à l’instar du président des Etats-Unis, Theodore Roosevelt, qui, dès 1901, fait de Rockefeller une de ses cibles favorites. C’est ainsi qu’un procès, aussi long que retentissant, oppose le pouvoir fédéral à la Standard Oil, jusqu’à ce que la Cour suprême ordonne, en 1911, la dissolution de la fi rme, laquelle doit alors céder le contrôle de ses 33 filiales. La dislocation de l’empire donne naissance à des entreprises indépendantes : Amoco, Chevron, Mobil, Esso… Forcé d’abandonner son bien en revendant la totalité de ses actions, Rockefeller devient le premier milliardaire américain et l’homme le plus riche du monde.
[*] J'ai pas trouvé d'acualiseur pour un peu avant 1900. En tout cas d'après ce site, le dollard de 1913 vallait 2013 fois plus que celui d'aujourd'hui, ce qui revient à dire si mes calculs sont exacts, que Ce cher Rockfeller était à la tête d'une fortune de 300 milliards de dollar (3x Jeff Bezos), et qu'une fois passé milliardaire (en supposant qu'il n'avait qu'un seul milliard), il avait l'équivalent de 2000 milliards de dollar actuels (La France à un PIB d'environ 2500 Milliards de Dollar, ce qui veut dire qu'il a amassé en 60 ans ce que 65 millions de Français produisent en 1 an ).

Mes estimations sont a prendre avec des pincettes, la valeur du dollard ayant pu évoluer dans un sens comme dans l'autre juste avant la 1ere guerre mondiale. Mais à mon avis l'ordre de grandeur est conservé, qu'on passe de 2000x à 1500x ou 2500x, les chiffres sont éloquents.
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Avatar de Ryu2000
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 06/11/2019 à 10:45
Dans l'article l'ancien nom est utilisé, c'est comme quand on dit « le RPR est devenu l'UMP », ici l'entreprise "Facebook" est devenu "FACEBOOK", à partir de maintenant il faut parler de la société "FACEBOOK".
Il y a 4 applications :
FACEBOOK Facebook
FACEBOOK Messenger
FACEBOOK WhatsApp
FACEBOOK Instagram

Je trouve que ça rend mal "FACEBOOK" mais le but ce n'est pas d'être joli, mais d'utiliser des moyens légaux pour essayer d'éviter le démantèlement.
Google fait parti d'Alphabet Incorporation ça rend mieux que Facebook fait parti de FACEBOOK.
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Avatar de AoCannaille
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 20/05/2019 à 10:42
Citation Envoyé par Ryu2000 Voir le message

Là le problème c'est Google qui est tentaculaire. (moteur de recherche, OS mobile, cartographie, email, vidéo, news, etc)
Rien que se dire que Google, Android, YouTube sont dans le même groupe c'est flippant.

Les politiciens ont raisons d'avoir peur des trop grosses entreprises.
Les entreprises peuvent avoir plus de pouvoir que les politiciens.
De toute façon, Google a amorcé sont démantellage seul pour évité d'être démantelé par le gouvernement. Alphabet est là exactement pour ça.
Avant Google pouvait faire de la R&D à perte sur des tas de sujets sans qu'on se rende compte des sommes abyssales investie, maintenant que la voiture autonome et la branche de robotique BostonDynamics sont "seuls", ça saute aux yeux : Google a quelques poules aux oeufs d'or et des dizaines de gouffres financiers partout ailleurs. Honnêtement c'est tout à leur honneur... Tant qu'ils respectent la loi ^^
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Avatar de Darkzinus
Expert éminent sénior https://www.developpez.com
Le 20/05/2019 à 11:26
Citation Envoyé par Ryu2000 Voir le message
Ouais mais là c'est 8 coups d'avance pas 1...
Aucune entreprise chinoise n'est sur le point de dépasser Google, Microsoft, Amazon, Facebook, Twitter, etc.

Peut-être que dans un futur très lointain la Chine sera un problème pour nous comme le sont les USA aujourd'hui.
Cela peut arriver plus vite qu'on croit s'ils y mettent les moyens. Quand on voit leur percée sur le marché des smartphones par exemple ...
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Avatar de Ryu2000
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 20/05/2019 à 11:37
Citation Envoyé par Darkzinus Voir le message
Cela peut arriver plus vite qu'on croit s'ils y mettent les moyens.
Perso je vois mal quelles offres pourraient pousser les internautes à migrer vers d'autres plateformes que YouTube, Twitter, Google, etc.

Bon à la limite au niveau du hardware ok, il y a des entreprises chinoises qui font de très bons téléphones (comme One Plus par exemple).
Mais là les USA redeviennent protectionniste (ils ont promu le mondialisme tant qu'ils en étaient les gagnants), et Google veut interdire Huawei d'utiliser le magasin Android (en gros).
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Avatar de Ryu2000
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 14/10/2019 à 13:43
En parlant d'Elizabeth Warren, elle revient dans l'actualité, apparemment en ce moment c'est elle la favorite à la primaire démocrate.
Pourquoi le programme d’Elizabeth Warren fait trembler le monde des affaires
La candidate favorite pour l’investiture du Parti démocrate à la présidence a proposé des changements radicaux au fonctionnement actuel du monde des affaires. De nombreux dirigeants s’attendent à ce que sa politique se recentre par la suite
Citation Envoyé par Patrick Ruiz Voir le message
« Vous avez quelqu'un comme Elizabeth Warren qui pense que la bonne réponse est de démanteler les entreprises ... Si elle est élue présidente, je parie que nous irons devant les tribunaux et que nous gagnerons ce procès. Ce que je veux dire est que je ne veux pas d'un procès majeur contre notre propre gouvernement. Ce n'est pas une situation dans laquelle on souhaite se retrouver. Nous nous soucions de notre pays et nous voulons travailler avec notre gouvernement pour faire de bonnes choses. Mais au bout du compte, si quelqu'un essaie de menacer quelque chose d'existentiel, alors il faut faire opposition, se battre », lance-t-il dans un des extraits audio.

On ne peut être plus clair : Marc Zuckerberg n’envisage pas de démantèlement de Facebook sans grosse bataille judiciaire. Le CEO du réseau social se veut clair sur la question : il entend faire prévaloir tous les moyens légaux pour empêcher la fragmentation de Facebook. Dans une publication récente publication parue sur le réseau social, Marc Zuckerberg confirme que les enregistrements audio sont authentiques.
Elizabeth Warren doit :
- gagner les primaires démocrates
- gagner la présidentielle de 2020
- qu'elle essaie de tenir cette promesse de campagne
- qu'on lui laisse la réaliser (Trump essaie de construire un simple mur et il galère comme pas possible, pourtant c'est plus simple que démanteler des grosses entreprises)

Facebook a encore du temps avant que le gouvernement essaie de le démanteler.
Zuckerberg parle des moyens légaux, mais au pire il a également les moyens illégaux, il a les moyens de corrompre des élus.

GAFA : faut-il les démanteler ?
Nos quotidiens dépendent des grandes entreprises du numérique, mais Google, Apple, Facebook et Amazon suscitent l'inquiétude, même aux États-Unis. Donald Trump, lui-même, juge les Gafa très monopolistiques au point que le département de la Justice a lancé une enquête sur d'éventuels abus de position dominante. Mais pourquoi les Gafa inquiètent-ils exactement ?
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Avatar de Fleur en plastique
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 10/11/2019 à 18:38
Donc juste en changeant la casse du nom de la société, on espère échapper aux accusations de monopole et de collusions illégales entre Facebook et ses rachats. C'est pathétique.
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