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Avez-vous l'impression d'avoir réussi ou raté votre carrière
? Avez-vous acquis de l'expérience ou plutôt perdu votre temps ?

Le , par peter27x

6.2KPARTAGES

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D'avoir passé des années par exemple dans une boite à faire du dev qui ne vous a rien apporté (langage non porteur, méthodes de travail à la hussarde (pas d'analyse (imposé par votre chef abruti au possible)), métier cible des applis non porteur lui non plus, etc...).

Moi j'ai cette sensation parfois, quand je vois tout ce qui existe en terme de technos, de plateformes, etc... et que comme un con j'ai eu un parcours assez pourrave qui fait que maintenant j'ai la sensation d'être "à la rue" côté connaissances / compétences ... alors que pendant tout ce temps "perdu" j'ai pas arrêté de bosser ! Et pas qu'un peu...

A vous ?

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Avatar de seveillard
Membre du Club https://www.developpez.com
Le 18/08/2010 à 8:56
Bonjour a tous

j'ai parcouru vos réponses, légèrement en diagonale je l'avoue et certaines réponses m'ont fait sourire, je me voyais il y a 10 ou 15 ans ....

Pour ma part, j'ai aujourd'hui passé la quarantaine, et je suis RSI (le gars qu'on cache mais qui tient le SI a bout de bras ) depuis 10 ans dans une PME (parc 300 machines)
Dans mon boulot, 75% de ce que je fais me barbe plus ou moins.
Mais ce job me permet aujourd'hui de vivre avec une femme et deux enfants sans regarder mon compte bancaire dès le 15 du mois et c'est enorme

Réussir sa carrière professionnelle, c'est bien mais j'ai un peu laissé tomber
Réussir sa carrière extraprofessionnelle, ça m'éclate et c'est pas si facile qu'on veut bien le penser
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Avatar de anitshka
Membre confirmé https://www.developpez.com
Le 22/07/2013 à 12:04
Je repost plusieurs années après... un petit feedback en somme...

Ma carrière à beaucoup évoluée... Je suis passée d'une SII, à une PME (qui a coulée 1 ans après mon départ) puis une dernière PME qui grossit à vue d’œil.

Développeur généraliste, je suis aujourd'hui et surtout maman (en cours de fabrication du 2eme!) et je rejoins aujourd'hui la vision de "seveillard".

Ma carrière a été faite de belles réussites et aussi de gros projets de daube. Jeune diplômée, cette situation m'a gonflée au plus haut point.
Avec l'arrivée de ma fille, j'ai pris une claque dans ma carrière... J'ai formé avant mon congé maternité un petit jeune de 5ans mon cadet qui m'a été présenté comme mon nouveau chef en revenant une fois maman.... J'avoue que j'ai du la digérer celle la... tout comme les augmentations plus que palotes depuis que je ne suis plus nullipare. Heureusement mon nouveau chef est quelqu'un de très compétent et avec le recul il est clair que je n'aimerai certainement pas être à sa place.

Avec l'évolution de ma situation personnelle mais surtout celle de ma société, j'ai bien compris que je n'évoluerai plus professionnellement... La boite a beaucoup évoluée (on est passé de 25 à 100) et je reste un développeur généraliste, j'ai donc une casquette bâtarde de personne a qui on refile les trucs dont personne ne veut ou ne peut faire...
Mais qu'est ce que je m'en fout ! Aujourd'hui j'ai un job qui me plait la plupart du temps, ou je bosse une petite 40aine d'heures, à 10min de chez moi et qui est encore bien payé au vue des salaires de comparaison des mes potes de facs qui ont poursuivi dans la même branche. Ça me permet d'avoir pleins de projets perso à 10 000lieux de mon job et une vue assez lointaine de mon compte en banque!
J'ai tout de même réussi à me positionner sur des technos un peu plus mobiles (android et windows) mais c'est surtout pour ma petite gloire personnelle
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Avatar de Procrastinator
Membre à l'essai https://www.developpez.com
Le 02/02/2015 à 20:25
Je n'ai pas l'impression d'avoir raté ma carrière, je l'ai raté.

Je pense que la raison principale est à chercher du côté de la motivation, je n'ai jamais eu de "carrière" en tête.
Je vais détailler un peu le cursus... ça aura le mérite d'en rassurer un ou deux lol

Je n'étais pas vraiment intéressé par mes études en sciences et techniques, j'ai néanmoins obtenu un BTS. Entre problèmes perso et mauvaises décisions, je n'ai pas poussé plus avant.

J'étais d'une certaines façon là "par hasard" ce que les recruteurs n'ont aucun mal à détecter. Premiers échecs en entretien, forte démotivation et rancœur envers les RH et le monde de l'entreprise.
De là j'ai passé plusieurs années à la dérive, perdu, j'ai peu travaillé, de l'intérim dans le tertiaire de temps en temps, idem dans la restauration, la grande distribution. Une forte impression de déclassement quand mes amis eux réussissaient, un mal-être qui m'empêchait aussi de m'intégrer dans mes environnements de travail. J'ai très certainement manqué des opportunités de carrière du fait de mon état d'esprit général.

J'ai fini par faire un bilan de compétence, on m'a orienté vers l'info. Parcours du combattant pour trouver une formation. Malgré des résultats bons je n'ai pu me faire financer qu'une formation de bas niveau et courte. La formation a eu un mérite valider mon profil au près des employeurs. J'ai trouver un CDD en hotline FaI, derrière une mission orientée exploitation informatique. Cela allait dans le bon sens puis j'ai fait une erreur et je suis rentré dans une SSII.
Première mission en fait du help desk de niveau 0 puis 2 missions sur site à faire du support bureautique.
dans un premier temps j'ai eu l'impression de laisser derrière moi ma jeunesse difficile et que les choses rentraient dans l'ordre; j'avais un CDI, une amie devînt ma femme, je faisait beaucoup de sport. Mon passé de "cas soc" semblait s'éloigner, à moi une certaine stabilité.
J'ai eu tout du long des horaires décalés aux quels je m'adapte mal, il m'est devenu difficile de faire du sport; je me suis endormi dans des missions ou je n'ai rien appris. Pire j'oubliais et je m'ennuyais atrocement. Le binge drinking du weekend était l'échappatoire facile.
In fine j'ai craqué d'un coup, je commence à reconnaître maintenant que c'était certainement une forme de burn-out comme on dirait maintenant.
Je suis parti sur une déception dans le pays de ma femme, sans projet. Nous sommes revenus 2 ans après.
Je ne suis plus sur la RP, je n'ai pas retrouvé de taf. J'ai décroché quelques entretiens mais j'avais l'impression que j'étais là comme faire valoir pour d'autres candidats. Le courant était plutôt bien passé avec les recruteurs, ils ont été gentils et francs: il y a des profils plus opérationnels.
Je suis passé très vite par la case hotline FAI et depuis je cherche une voix pour me réorienter.

C'est difficile dès que l'on met vraiment le nez dedans on se rend compte de l'horreur de la situation de l'emploi, la plus part des bruits qui courent sur les soi-disant métiers en tension ne reflètent pas la réalité du marché du travail.
Les média nous abreuvent de grands discours sur les nouvelles multiples carrières que nous serions sensés avoir au cours de notre vie ce que je peux dire c'est que à presque 40 ans on est vieux pour être débutant et dans de nombreux secteurs.
Je peux aussi dire que la qualité des formations pour adultes laisse à désirer, on fleurte avec le détournement de fond ou de façon plus positive on a plus souvent à faire des centres qui font œuvre sociale plutôt que œuvre de formation.

Je lorgne toujours sur l'info, côté développement, j'ai commencé un module du CNAM pour voir. Je ne pense pas avoir la passion nécessaire pour acquérir la somme de connaissances assez remarquable et nécessaire pour être vaguement employable.
Je réfléchis et pèse d'autres options, l'heure tourne cependant et il va falloir se décider.

Si c'était à refaire très certainement je ne poursuivrais pas des études +/- académiques et me tournerais vers une forme d'artisanat d'art.
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Avatar de Glutinus
Inactif https://www.developpez.com
Le 13/12/2015 à 22:49
Bonjour,

Je ne sais pas vraiment si j'ai réussi ou non ma carrière.
Quoiqu'il en soit, je sais qu'en tant que développeur "lambda", et étant de nature assez réservée et surtout impressionnable, j'ai pas mal subi les désirs de mes employeurs, les SSII.

Par "chance", je cumule pas mal de points positifs :
- école d'ingénieur (je n'envisageais pas moins, et mes parents j'avais les possibilités financières de la faire)
- j'ai toujours été à Paris, donc pas dans l'esprit "c'est quoi cette ville de fous ? Allez, je fais 5 ans ici et je me tire à la montagne / mer / campagne"

Et hasard des choses, j'ai été "bien orienté".

Diplômé en électronique et systèmes embarqués, j'ai difficilement trouvé un stage intéressant, n'ayant jamais appris à me démerder moi-même. J'ai trouvé par piston des stages en banque, puis chez un gros industriel, mais je n'arrivais pas à trouver de CDI.

La chance a voulu que le secteur banques soit très porteur en veille de crise. On prenait à peu près n'importe qui avait un bac+5, le formait à l'informatique, et on lui donnait un salaire de 34K à Paris.

*Développeur Java, j'ai fait une première mission en java comme mon souhait

*Puis pus une mission en ETL. Ma société a misé un max dessus, m'a envoyé en formation, et j'ai fait une mission courte.

* Je suis reparti sur une autre mission faire du java, malheureusement ce fut un piège ! Le java fut envoyé en Inde en off-shore, les développeurs venus faire du java ont été sur une maintenance sur un langage qui n'est plus utilisé, et par le plus affreux / heureux des hasards j'ai été désigné comme responsable du datawarehouse.

Du coup, je suis devenu à terme consultant (je souligne le mot, consultant) en business intelligence et en particulier chargement de données.

Est-ce que j'ai raté ma carrière ?

Ce qui me fait dire non est que globalement j'ai un bon salaire (et plus encore aujourd'hui, je reviendrai dessus encore après), et au moins une assurance d'employabilité même au delà des 35 ans, même si je reste développeur.

Ce qui me fait dire oui, c'est qu'au final je n'ai pas l'impression d'avoir été maître de ma carrière. Balancé d'une mission à l'autre, j'ai eu globalement des technos sympathiques et revendables, contrairement à d'autres qui sont bloqués vis-à-vis de leur propre technologie. Et également balancé au niveau des missions.
Soit bloqué par les commerciaux, j'ai eu naïvement confiance en ma commerciale et haut management de cette troisième mission et ce n'est que la menace d'une démission, pré-crise, qui m'ont fait sortir. Une mission sans qu'il ne se passe rien, et la peur de la crise. Une autre mission encore plus inintéressante, mais de bons horaires, je me suis encroûté, et je suis resté car les horaires légers de certains jours m'ont permis d'être tranquille sur mon projet immobilier.

Je suis conscient d'avoir quand même un facteur chance élevé, il n'empêche que si je veux reprendre en main ma carrière, je ne suis de ceux qui réussissent à imposer facilement mon désir d'orientation. Si de nombreux développeurs veulent devenir chef de projet, ce n'est plus mon choix aujourd'hui, bien que j'ai essayé, mais que je n'ai jamais trouvé les leviers nécessaires, et sûrement qu'il me manque quelques qualités pour le devenir.

Assez récemment, j'ai voulu porter ma carrière vers de l'AMOA. Même si cela peut être un piège à c*ns pour avoir une carrière où l'on peut faire des recettes inintéressantes, je suis encore dans l'espoir de pouvoir faire le pont entre la connaissance métier et l'architecture technique existante. Il n'empêche que malgré le fait que j'ai déjà fait des spécifications fonctionnelles et de la recette, je tombais toujours sur des écueils lors de recrutement.
" Mais pourquoi ne pas continuer en tant que développeur en ETL ? Vous avez fait ça depuis longtemps, vous êtes très bon dessus ! Et dans quelques années vous pourrez être même chef de projet..." à croire que les recruteurs savent manier l'art de la flatterie, et que l'on se fasse recruter pas toujours par la compétence, mais également par l'art de se vendre et des fois un sacré coup de pot...

J'estime avoir des qualités mais pas suffisantes pour évoluer là où je devrai, ou alors je ne me mets pas les moyens. Mais je reconnais que le soir, je suis suffisamment fatigué pour pouvoir me lancer dans une nouvelle formation de moi-même ou sur de la veille techno. Le fantasme du gars de la France qui se bouge qui cravache une fois arrivé chez lui à 20h jusqu'à 2h du matin pour créer sa boîte ou faire marcher sa start-up, j'y crois moyennement...

* PS : j'insiste sur le fait d'être "consultant" car je ne trouve pas de meilleurs mots pour définir ce que je fais au sein même de la mission. Je ne m'estime pas "simple développeur" puisque pour moi j'ai la "responsabilité" d'une ou plusieurs applications, et doit limite faire le pont fonctionnel directement avec les utilisateurs puisque le gusse qui portait l'application, a rédigé les specs fonctionnelles et la recette, a disparu depuis belle lurette et qu'à défaut qu'un utilisateur veuille bien comprendre que l'IT ce n'est pas "un bouton OK qu'on place ici ça prend pas 3 jours ???" il faut bien faire le pont entre diverses équipes...
* PPS : concernant le salaire, je suis aujourd'hui freelance ; en soit c'est un gros projet, mais au final mon métier de tous les jours ne change pas, c'est juste que je réduis les marges d'une SSII vu que je n'ai pas d'intercontrat involontaire aussi long. Donc définitivement, en terme de rémunération à court terme, non je n'ai rien raté.
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Avatar de NextPlease
Membre régulier https://www.developpez.com
Le 24/08/2013 à 16:53
J'ai parcouru un peu ce thread et ça me conforte dans l'idée que d'une manière générale en informatique, on vieillit ... vite !
C'est peut-être aussi le cas dans les autres domaines mais c'est particulièrement vrai en info il me semble.

J'ai 35 ans ... et l'impression d'être un dinosaure parfois
C'est peut-être dû au fait que les forums (developpez.com, hardware.fr ... etc) sont envahis de 17/30 ans. Possible mais pas seulement.
L'impression que si à terme, vous n'arrivez pas à passer coté management, les hordes de jeunes geeks diplômés aux dents longues vont vous bouffer tout cru.

Quand je pense qu'il va falloir qu'on bosse jusqu'à 65/70 ans et qu'on est limite considéré comme vieux et hasbeen à 35/40 ans ... il se passe quoi pour les gens de 50 ans et + ?

C'est dommage que les plus "vieux" ne postent pas (car - enclins à raconter leur vie sur le net) parce qu'il serait vraiment intéressant de savoir ce que l'informaticien lambda de + de 45/50 ans fait .... ?

Il est clair que vous ne pouvez pas être toute votre vie au top technologiquement parlant, ya un moment ou on décroche je pense, par usure et pas démotivation. Je vois mal un développeur ... coder toute sa vie!
Et puis à 50 ans, vous êtes juste 3x + cher qu'un jeune développeur qui a envie de tout casser et pas bcp moins efficace. Disons que le rapport qualité/prix n'est plus intéressant du tout.
Certes il n'y a pas que le dev en informatique, mais même dans les domaines annexes de l'informatique, faut rester à la page technologiquement parlant et rester crédible face aux plus jeunes.

Du coup, on fait quoi après ? Car tous les informaticiens n'auront pas la chance/l'envie/l'opportunité de passer vers un poste de management ou de conseil.

===> L'informatique me fait penser à un sport de haut niveau où ta carrière ne dure pas toute une vie.
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Avatar de Traroth2
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 26/05/2009 à 13:06
En réponse au message initial : après les études, en 1998, je me suis retrouvé en train de pondre du SQL et du shellscript à longueur de temps dans une grosse entreprise de logistique. Après 2 ans, j'ai rejoins une SSII, où je suis resté un an. Pendant 6 mois, j'ai fait travaillé en gros sur les mêmes technos (SQL et shell), mais dans une banque, et ensuite, j'ai fait du C chez un opérateur télécom, pendant 6 mois aussi.

Ca nous amène à 2001, et ce n'était pas forcément les technos les plus sexy du moment. Et surtout, je me suis dit que touts mes emplois reposaient à 100% sur des technos que j'avais apprises durant mes études, ce qui était inquiétant pour le futur.

Et là, j'ai pris un gros risque. Je me suis formé à Java et j'ai sauté le pas en me faisant embaucher comme développeur Java dans une boite en Allemagne. Je ne suis jamais revenu en arrière au niveau technologique, même s'il est évident que mes compétences en bases de données me servent toujours. J'ai ajouté quelques autres cordes à mon arc depuis.

Ce que je veux dire, c'est que tu ne peux pas compter sur ton employeur pour t'apporter les connaissances dont tu as besoin. Il faut te former en permanence. C'est ce qui te permet de changer facilement de branche si tu te sens mal là où tu es.
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Avatar de el_slapper
Expert éminent sénior https://www.developpez.com
Le 21/02/2019 à 16:34
Citation Envoyé par SOPHIELEAC Voir le message
dans beaucoup de secteurs, on peut connaitre la déception... Si seulement il n'y avait que dans l'informatique!
C'est marrant, j'étais en entretien mensuel avec mon chef, et ce sujet est venu sur le tapis. Il m'a dit, en gros "le grand mensonge de l'informatique, c'est que 90% du boulot, c'est de corriger les bug des autres, pas de créer depuis une page blanche - ce qui démotive pas mal les gens".
3  0 
Avatar de Filippo
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 07/12/2008 à 9:49
Citation Envoyé par tehcyse Voir le message
Moi on me l'a pas appris mais j'ai eu beaucoup de chance dans mes choix et je ne peux maintenant qu'approuver cette affirmation. Après, je ne suis qu'en début de carrière et je me creuse la tête à savoir quelle orientation prendre: spécialisé dans une techno / business analyst / multiples technologies / attendre

Concernant le premier post, je trouve la remise en question un peu tardive! 10 ans c'est long, tout de même
Entre 13 et 23 ans ça paraît long 10 ans; entre 23 et 33 ça passe plus vite tu verras
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Avatar de chaplin
Membre chevronné https://www.developpez.com
Le 16/12/2008 à 18:26
Pendant plusieurs années j'ai fait ce que je voulais. La dev c'est 80 % à se faire chier derrière un écran et 20% de plaisir quand tu vois tourner le basard comme une horloge Suisse. Ma chance, c'est qu'en arrivant tout foirait, bugs sur bugs, alors j'ai fait le médecin.

Le problème, c'est comme tout marchait à la perfection, ça énervait mon chef et comme je lui faisais de l'ombre, il a utilisé toutes les méthodes de manipulations mentales à travers sa croyance pour me détruire psychologiquement comme il se plaisait à le dire à mes collègues.

Aujour'hui, je me sert de cette haine pour le prochain boulot.
Ma motivation, c'est de trouver un job quelqu'il soit avant que je mette la machine de guerre en route.

J'ai appris à travers mon métier de développeur l'existence du pouvoir occulte, bien que ça ne soit pas de l'informatique
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Avatar de anitshka
Membre confirmé https://www.developpez.com
Le 18/12/2008 à 16:27
salut,

j'ai pas encore assez d'expérience pour vraiment parler de carrière par contre... aujourd'hui je me sens vieille... et c'est désagréable...

Au tout début de ma vie pro, j'ai fait un mauvais choix, j'ai pris un boulot pour son salaire et je l'ai payé cher. Heureusement j'ai réagi assez vite et j'ai recadré le tir. En quelques mois, j'ai repris le cours de la carrière que je voulais mener.

J'aime mon métier mais ma boîte actuelle a subi tellement de rebondissements à la Dallas qu'aujourd'hui je m'en vais et le boulot est passé au second plan. Moi qui était qualifiée de grosse carriériste à 2 balle par mes proches, bah aujourd'hui, je cherche ma motivation. En fait, j'ai réagis beaucoup moins vite qu'il y a quelques années... c'est peut être ça devenir vieux... ne plus être aussi réactif; accepter pendant quelques mois ce qu'on aurait pas supporté quelques semaines en début de contrat; se dire pendant 6 mois que ce n'est qu'un mauvais moment qui va finir par passer...

J'espère en changeant de boite, qu'elle reviendra cette belle motivation. Que de bosser avec d'autres gens et sur d'autres problématiques vont me permettre de me sentir mieux dans ma peau professionnelle.
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