Le fondateur de WikiLeaks est désormais recherché par Interpol, en plus des gouvernements australiens et américains
Au lendemain d'une grosse fuite de 251.287 documents diplomatiques ultra-sensibles via le site WikiLeaks, son fondateur se retrouve en ligne de mire : il est désormais recherché par Interpol. Il ne s'agit pas d'un mandat d'arrêt international, mais l'homme fait désormais parti de la "wanted list" de l'organisation.
Les faits qui lui sont reproches n'ont rien à voir avec la divulgation des papiers secrets : il est accusé d'avoir violé deux femmes suédoises en août 2010.
En dehors de cela, l'homme est également recherché aux Etats-Unis pour espionnage, et pour crime (en rapport avec les divulgations de WikiLeaks) dans son pays natal : l'Australie.
La question est de savoir : quelle nation lui mettra la première le grappin dessus ? L'avantage qu'à Interpol, est que même si son mandat n'est pas international (l'homme ne peut être arrêté qu'en Suède), il permet en revanche à l'organisation de communiquer internationalement. Puis, si le fugitif est retrouvé dans un autre pays, nul doute qu'Interpol saura être persuasif dans une demande d'extradition.
Julian Assange a plutôt intérêt à bien se cacher...
Source : The Guardian
Le fondateur de WikiLeaks est désormais recherché par Interpol
En plus des gouvernements australiens et américains
Le fondateur de WikiLeaks est désormais recherché par Interpol
En plus des gouvernements australiens et américains
Le , par Katleen Erna
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