A partir d'aujourd'hui donc, les développeurs peuvent commencer à réaliser des extensions avec l'API d'Opera et les standard web HTML5 et JavaScript.
Même avec une assez faible part de marché, la firme norvégienne « Opera Software » rappelle que son navigateur totalise 50 millions d'utilisateurs pour la version desktop.
Elle fait aussi savoir que toutes les extensions uploadées par les développeurs seront soumises à un contrôle de sécurité rigoureux. Un modèle a priori différent de celui de Chrome et de Mozilla qui vérifient a posteriori les extensions. Il est vrai également que le nombre d'extensions pour Opera risque de ne pas être aussi important que celui de ses deux concurrents. La vérification « a priori » sera certainement plus aisée.
Le but de la démarche est de prévenir toute présence d'extensions défectueuse ou malicieuse dans son écosystème.
Opera vient par ailleurs d'ouvrir une API aux développeurs pour son service de synchronisation « Opera Link ». Les développeurs Java ou Python peuvent donc créer des applications qui s'intégreront avec ce service en ligne.

Source : le communiqué de presse d'Opera Software
Et vous ?

En collaboration avec Gordon Fowler