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Les développeurs nés dans les années 70 auraient commencé à écrire leurs premières lignes de code plus tôt
Que les générations suivantes

Le , par Stéphane le calme

837PARTAGES

10  0 
Qu'est-ce qui vous a motivé à apprendre un langage plutôt qu'un autre ?
La curiosité
67 %
Pas le choix, obligatoire durant ma formation
33 %
Les demandes des entreprises (offres d'emploi)
29 %
La syntaxe me semblait familière
17 %
Les conseils des personnes plus avisées
15 %
Voter 48 votants
HackerRank a publié la première édition de son Developer Skills Report qui, comme son nom le suggère, s’intéresse aux talents des développeurs.

« Pour la toute première fois, nous avons interrogé notre communauté de 3,2 millions de développeurs afin de connaître l'état actuel des compétences des développeurs. Plus de 39 000 développeurs ont partagé leurs réflexions sur les nouvelles compétences qu'ils apprennent, la manière dont ils évaluent les employeurs, les langages et les frameworks qu'ils préfèrent, et bien plus encore », s’est réjoui le PDG et cofondateur Vivek Ravisankar.

Le début

Il a été demandé aux développeurs à quel âge ils ont commencé à coder. Plus d’un développeur sur quatre a commencé à écrire ses premières lignes de code avant l’âge de 16 ans.


L’étude note que parmi tous les développeurs qui ont commencé à coder après l'âge de 26 ans, 36 % sont maintenant des développeurs seniors ou même de niveau supérieur, qui se développent rapidement dans leur carrière.

« Contrairement aux générations suivantes, si les enfants des années 70 voulaient voir une technologie innovante, ils devaient la construire eux-mêmes – ils n'avaient pas d'autre choix. Il n'y avait pas de ressources généralisées pour leur apprendre à développer un logiciel. Près de la moitié des développeurs (47 %) âgés de 45 à 54 ans ont commencé à coder avant l'âge de 16 ans. Pendant ce temps, les développeurs entre 18 et 24 aujourd'hui sont les moins susceptibles d'avoir commencé à coder avant 16 ans (seulement 20 %).

« Les développeurs âgés de 45 à 54 ans ont été parmi les premiers à mettre la main sur des PC relativement puissants, comme les Acorn Archimedes, TRS-80, Commodore 64 et Apple II. Avec un accès limité ou inexistant à l'éducation formelle, les jeunes de la Révolution PC ont eu une volonté inhabituellement forte d'apprendre à coder par eux-mêmes. »


La plupart des développeurs ont également fait savoir qu’ils ont appris d’eux-mêmes. La prolifération des tutoriels, des forums d’entraide, des communautés, des MOOC (formation en ligne ouverte à tous), des livres (format numérique ou papier) et d’autres outils disponibles sur Internet y sont probablement pour quelque chose.

« L'autoapprentissage est la norme pour les développeurs de tous âges. Même si 67 % des développeurs ont des diplômes en sciences informatiques, environ 74 % ont déclaré qu'ils étaient au moins partiellement autodidactes. »


Selon l’étude, en moyenne, les développeurs connaissent quatre langages et veulent en apprendre quatre autres. Le degré de soif d'apprendre varie d'une génération à l'autre – les jeunes développeurs âgés de 18 à 24 ans prévoient apprendre six langages, tandis que les jeunes de plus de 35 ans prévoient seulement d’en apprendre trois.

« Puisque la programmation est centrée sur la recherche indépendante visant à relever de nouveaux défis, l'autoformation est une partie importante de la réussite d'un développeur. En choisissant ce qu'il faut apprendre ensuite, le meilleur principe directeur est de vous implanter dans une discipline et d'apprendre des outils comme moyen pour évoluer. Les outils vont toujours changer. En fin de compte, c'est la curiosité et l'intérêt véritable pour les programmes qui devraient alimenter la volonté d'apprendre de nouveaux outils et de s'adapter au paysage en évolution de la technologie. »

Les développeurs apprennent les langages les plus demandés par les employeurs

Selon HackerRank, les langages les plus demandés, toutes industries confondues, sont (dans l’ordre) JavaScript, Java, Python et C++


Bien entendu, ce classement peut varier d’une industrie à l’autre. Par exemple, dans le secteur répertorié comme étant « Computer Hardware », les quatre premiers sont C, C++, Python et Java.

« Les langages de programmation ne sont pas adoptés dans l'industrie aussi rapidement qu'ils sont créés, mais JavaScript change le jeu avec ses frameworks. Un certain nombre des frameworks les plus demandés sont des frameworks JavaScript - c'est le seul langage assez polyvalent pour construire des extensions frontend, backend, mobile et navigateur. Par conséquent, JavaScript dirige le Web. Le plus souvent, les employeurs veulent des développeurs qui connaissent AngularJS, Node.js et React. »


Selon l’étude, presque tous les employeurs donnent la priorité aux compétences de résolution de problèmes en premier : « Démontrer sa capacité de résoudre des problèmes complexes de grande envergure est tout aussi utile (sinon plus) que les compétences techniques de base requises pour un emploi. »

Il y a cependant quelques nuances entre ce dont les petites entreprises se soucient le plus et ce dont les grandes entreprises se soucient. Par exemple, les petites entreprises recherchent plus de compétences sur des frameworks de la part des candidats que les moyennes et grandes entreprises.

La différence peut exister, car avoir la bonne connaissance des frameworks est plus important pour les startups, car elles ont besoin de lancer du code rapidement, et les frameworks aident les développeurs à pousser le code plus rapidement.


Même si JavaScript est le langage le plus demandé en entreprise, Python est le numéro un dans le cœur des développeurs.

« Python est connu pour sa simplicité, sa lisibilité et ses vastes possibilités de bibliothèques scientifiques. Il est également en croissance dans le cadre des cours d'introduction à l'informatique.

« Il existe une tendance générationnelle inhabituelle parmi les langages plus récents : les développeurs plus jeunes n'aiment pas les langages plus récents (comme Go, Kotlin et Scala) autant que les développeurs plus âgés. En fait, Go crée l'un des plus grands fossés. Les développeurs âgés de 18 à 24 ans ne s'en soucient pas, mais les 45-54 ans le considèrent comme l'un de leurs langages préférés. L'inverse est vrai à propos de JavaScript. »


Il a également été question de savoir les difficultés rencontrées lorsqu’il fallait engager un développeur. En France, 66,1 % du panel a expliqué que l’étape la plus difficile est d’évaluer les compétences d’un candidat. Il a également été question des entretiens qui prennent trop de temps ou du fait qu’il n’y a pas assez de candidats divers.


Source : HackerRank

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À quel âge avez-vous écrit vos premières lignes de code ?
Avez-vous également été autodidacte (partiellement ou complètement) ?

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Avatar de GilOldMan
Membre à l'essai https://www.developpez.com
Le 02/02/2018 à 17:45
J'ai 78 ans, et il a fallu attendre qu'il y ait des machines pour commencer à progammer (pardon ! : 'à développer'). Ce fut en autodidacte sur IBM 1130 de l'université de Provence.
En fortran, avec des cartes perforées. Il n'y avait pas de formations à l'époque, sinon plus ou moins informelles. Je suis heureux de constater que le mode autodidacte soit encore d'actualité.
(je développe encore (Java) des applications dans le cadre recherche-université. Je suis biologiste de formation)
9  0 
Avatar de GLDavid
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 26/01/2018 à 10:27
Bonjour

Je suis né en 1977.
J'ai commence mes premières lignes de BASIC à 8 ans sur un Atari 800XL Ahh, que de bons vieux souvenirs !!!
L'Atari 800XL, merveilleuse machine, était livré avec une notice très bien conçue et quelques programmes en BASIC pour se former. J'ai démarré sur ces programmes bien que j'étais frustré de ne pas comprendre les instructions en anglais (et oui, l'anglais n'était pas enseigné en primaire à mon époque).
C'est à partir de mes programmes en BASIC sur Amstrad CPC 6128 que j'ai réellement commencé à 'créer' mes propres lignes de codes, comprenant mieux les instructions.

Et qui se souvient pour les gens de ma génération du plan IPT (Informatique Pour Tous)? On nous enseignait le logo et un peu de BASIC sur un Thomson TO7, fallait bien relancer Thomson. Ou plutôt, on enseignait à l'institutrice le BASIC

Bring me back to the 80ies!!!
6  0 
Avatar de Grogro
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 26/01/2018 à 13:12
Citation Envoyé par GLDavid Voir le message
Je suis né en 1977.
J'ai commence mes premières lignes de BASIC à 8 ans sur un Atari 800XL Ahh, que de bons vieux souvenirs !!!
L'Atari 800XL, merveilleuse machine, était livré avec une notice très bien conçue et quelques programmes en BASIC pour se former. J'ai démarré sur ces programmes bien que j'étais frustré de ne pas comprendre les instructions en anglais (et oui, l'anglais n'était pas enseigné en primaire à mon époque).
C'est à partir de mes programmes en BASIC sur Amstrad CPC 6128 que j'ai réellement commencé à 'créer' mes propres lignes de codes, comprenant mieux les instructions.

Et qui se souvient pour les gens de ma génération du plan IPT (Informatique Pour Tous)? On nous enseignait le logo et un peu de BASIC sur un Thomson TO7, fallait bien relancer Thomson. Ou plutôt, on enseignait à l'institutrice le BASIC

Bring me back to the 80ies!!!
Je crois que votre génération a eu plus de chance que la notre (né en 1985). Le fameux plan "informatique pour tous" avait disparu de la circulation lorsque nous sommes entrés au collège, et aucune trace d'un enseignement de l'informatique jusqu'au bac. Avec de la chance, il y avait peut-être un PC en cours de techno, dont la prof ne savait pas se servir. Et une vague option d'informatique en seconde qui était du gardiennage devant la préhistoire de l'internet. C'était la mauvaise période : https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoi...ique_en_France

Pour ma part, découverte de la programmation à l'entrée en seconde, avec une calculatrice programmable Casio Graph 65. Avec pour seule ressource le manuel de la calculatrice. Ah la bonne époque des goto partout et des variables à une lettre.
6  0 
Avatar de fredoche
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 26/01/2018 à 17:22
Il parait que c'est comme ça: les vieilles générations voient toujours celles qui les suivent avec dédain, voir mépris.

Quel rapport me direz-vous? Internet a tout simplement tuer l'envie de créer, la curiosité, etc...
C'est tout le contraire. Je vois mes gamins et ce qu'ils peuvent apprendre à leur age grâce à cette source de savoir universel et quasi infinie, sur tout type de médium (vidéo, son, écrit). Toutes ces formes de partage, c'est juste génial. Et ils le font, ils cherchent, découvrent, explorent, apprennent
A leurs ages, et ma dernière n'a pas 10 ans, j'étais un sacré ignorant comparé à eux.

Et pour ma part, j'ai jamais aussi bien cuisiné que depuis Internet
5  0 
Avatar de patquoi
Nouveau membre du Club https://www.developpez.com
Le 03/02/2018 à 21:40
Né en 1969.
J'ai commencé à coder en Basic 1.0 Amstrad avant même d'en avoir un (j'allais chez un copain de l'école qui en avait un) et que finalement mes parents ont pu m'offrir (sûrement en 85).
Je pense qu'au départ quand on apprend par soi-même, on est curieux de ce que peut nous donner un langage avec le peu de moyens : un bon manuel de référence (celui de l'Amstrad était super !) et des exemples dans les magazines comme à l'époque Science & Vie mais c'était déjà trop court mais pas mal par rapport au sujet traité dans le mensuel... Avant qu'ils finissent par sortir SVM.

Ensuite, il faut surtout être créatif et avoir des idées de programmer et assez naturellement, on fait des petits jeux et des graphiques très rudimentaires (comme redéfinir les polices de caractères en mode texte, trop marrant).
L'Amstrad avait un avantage à l'époque : le langage Basic était câblé et sans aucun bug ! Mais il ne fallait pas oublier d'enregistrer sur la disquette 3"
Ensuite j'ai attaqué le langage machine : c'était excitant de se rapprocher d'aussi prêt du processeur ! Pas mal y sont passés je remarque.

Puis après sur PC, Borland est arrivé avec son Turbo Pascal, son Turbo Debugger de la mort, son Borland C++ et enfin Delphi/C++ Builder mais il fallait attendre le deuxième cycle pour vraiment faire de l'informatique et je pense que c'est ce qui est problématique actuellement : on a un besoin urgent de développeurs partout (pas qu'en France) et il y a tout juste une spécialité informatique possible en 1ère/Terminale S... Alors que l'on a musique dès la 6ème depuis très longtemps...

Dans mon travail, je développe sur un logiciel propriétaire mais la notoriété ou le succès d'un langage n'est pas important, c'est la richesse de ce que l'on peut produire avec pour ce que l'on a à faire qui compte. Ou alors on a pas le choix.
Et quand on a commencé à coder avec peu de moyens alors on est pas bloqué, on a de l'imagination .

Quand je vois les classements de langages, ça ne veut pas forcément dire grand chose à part ce qui a l'air d'être demandé mais pour chacun d'entre nous, on a nos préférences par expérience (jusqu'à tomber sur un nouveau truc qui nous botte). Il y a des langages que je trouve intéressants mais que j'utiliserais pas pour faire des applications.
Ce qui est marrant c'est que j'ai aussi bien développé en Delphi qu'en C++ Builder, même EDI, langages différents mais je choisissais en fonction des avantages du langage. Et même convertissais de l'un à l'autre.

Dans mes loisirs, j'ai créé des apps sur iOS et Android depuis 2010 (une vingtaine) mais je ne connais pas de "vieux" développeurs qui le font, je peux comprendre : on a pas l'impression d'avoir beaucoup de puissance, de liberté et il y a plus en plus de contraintes, de paramètres à la publication. Et dès que tu veux mettre à jour une app, tu es confronté aux évolutions de chaque OS, ça va trop vite et ça décourage...
Alors je suis revenu sur les ordinateurs, reporter des applications Windows sous Linux, nouveau dada...
5  0 
Avatar de fredoche
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 26/01/2018 à 12:24
Normalement les gens nés dans les années 70 ont passé la limite d'age pour ce job en FRANCE non ?

Né en 1971, premier ordi un hector (en 1983 je crois) transformé 2 ans plus tard en hector HRX, doté d'un interpréteur FORTH intégré, grandiose !
Club microtel au fait, avec plein de matos à dispo (oric, commodore, ZX, TRS, Goupil, programmateur EEPROM...). Certains de ces clubs subsistent encore.

Programmation basic, assembleur, et FORTH, début à 12 ans donc
4  0 
Avatar de chrtophe
Responsable Systèmes https://www.developpez.com
Le 01/02/2018 à 21:39
Mes parents on vu la construction des mainframes
Gamin, j'ai vu la construction du monde de la micro
Jeune adulte, j'ai vu la "construction" d'Internet
Mes enfants verront les ordinateurs quantiques.
4  0 
Avatar de wolinn
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 26/01/2018 à 10:00
Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message

...
L’étude note que parmi tous les développeurs qui ont commencé à coder après l'âge de 26 ans, 36% sont maintenant des développeurs seniors ou même de niveau supérieur, qui se développent rapidement dans leur carrière.

« Contrairement aux générations suivantes, si les enfants des années 70 voulaient voir une technologie innovante, ils devaient la construire eux-mêmes - ils n'avaient pas d'autre choix. Il n'y avait pas de ressources généralisées pour leur apprendre à développer un logiciel. Près de la moitié des développeurs (47%) âgés de 45 à 54 ans ont commencé à coder avant l'âge de 16 ans. Pendant ce temps, les développeurs entre 18 et 24 aujourd'hui sont les moins susceptibles d'avoir commencé à coder avant 16 (seulement 20%).

« Les développeurs âgés de 45 à 54 ans ont été parmi les premiers à mettre la main sur des PC relativement puissants, comme les Acorn Archimedes, TRS-80, Commodore 64 et Apple II. Avec un accès limité ou inexistant à l'éducation formelle, les jeunes de la Révolution PC ont eu une volonté inhabituellement forte d'apprendre à coder par eux-mêmes.»
...

Vous retrouvez-vous dans ces statistiques ?
À quel âge avez-vous écrit vos premières lignes de code ?
Avez-vous également été autodidacte (partiellement ou complètement) ?
Je suis né en 1967, et j'ai commencé à programmer vers 14 ans.
Calculatrice TI-59, TRS-80, Logabax.
L'information et les logiciels étaient assez rares à l'époque : quelques revues et livres. Par exemple, j'ai appris l'assembleur Z-80 dans un gros bouquin de 600 pages en anglais, et comme je n'avais pas de logiciel assembleur, je compilais "à la main" au début, en traduisant les mnémoniques en codes hexadécimaux...
Vers 1985, j'ai même écrit un petit interpréteur/compilateur FORTH comme ça, qui tournait sur mon TRS-80.

Mais pour ce qui est de devoir construire soi-même, je pense que cela existe toujours, à un autre niveau. Quelque soit le domaine (web, IA, etc.), il y en a qui ont mis les mains dans le cambouis avant qu'il y ait eu des outils de haut niveau et que l'information soit facilement accessible.
3  0 
Avatar de Aztharos
Membre à l'essai https://www.developpez.com
Le 26/01/2018 à 17:08
Citation Envoyé par Anselme45 Voir le message
Il y a un point que l'étude oublie: Les "développeurs" nés dans les années 70 n'avaient pas internet!

Quel rapport me direz-vous? Internet a tout simplement tuer l'envie de créer, la curiosité, etc...

Les nouvelles générations sont passives, l'oeil viré sur leur écran à échanger des "banalités" sur les réseaux sociaux. Ce n'est que lorsque apparaît le besoin de trouver son futur dans le monde de l'emploi que les nouvelles générations commencent à s'intéresser à la programmation.

La génération des années 70 se sont intéressés à l'informatique par envie, ils ont bricolé du code après avoir jouer aux briques Lego plus jeunes... C'était avant tout un hobby qui s'est transformé par la suite en... métier!
Merci pour la généralité, mais lisez ma réponse plus haut s'il vous plait

Je ne crois pas non plus qu'on puisse affirmer que internet est l'assassin de la création. internet a apporté du contenu et du divertissement. Certes, ça a détourné l'attention (je suis d'accord, au même titre que les programmes jeunesses à la TV) mais non. L'envie de créer, soit on l'a, soit on l'a pas. Alors en 70 (merci de faire preuve de recul, je connais des "jeunes passif" qui en ont plus ) , il n'y avait pas grand choses -> c'était plus propice pour rendre les gens bosseurs. Mais aujourd'hui on a énormément de domaine, trop, et je suis même certain que je vais être amené à faire un métier qui n'existe pas encore. Alors l’embarrât du choix est présent, la frustration de ne pas pouvoir être partout à la fois (Python c'est l'avenir, JavaScript c'est un atout en or, C# c'est la polyvalence, PHP c'est super utile partout, Rust c'est le futur etc...) est aussi présent ...
Mais stop faire des remarques absurdes svp. Avant il fallait rentrer un code processeur pour gérer le défilement de l'écran avec des jeux programmables en Cobol... Aujourd'hui avec C# on peut faire une connexion à une base de donnée et un display des champ en 2 lignes de codes, alors prenez bien en compte que le contexte diffère même si le domaine reste le même.

On ne peut pas tout prendre et tout mettre dans le même sac comme ça, quand je lis ça, j'ai l'impression de voir quelqu'un qui n'a justement absolument rien compris à la philosophie de l'informatique et qui a juste envie de cracher sur les jeunes pour X raisons. Je connais des "jeunes" qui créer des générateurs/simulateurs de galaxie juste pour s'amuser et améliorer leurs bonnes pratiques, alors dequoi parlez-vous ??? feriez mieux de vous concentrer sur ce que vous ne maîtrisez pas vous même avant d'aller dire que les autres sont passifs. C'est clair que la majorité voudra toujours en faire le moins possible, et c'est bête, c'est la base même de notre métier, on a créer tellement de concept pour facilité l'apprentissage, et derrière on se plein que les jeunes apprennent via des béquilles ou n'apprennent pas. J'aurai aimé voir les jeunes de 1970 comme vous en train de buter sur des problèmes algorithmiques actuel, pendant que des experts de 50 ans vous crache dessus en vous disant que vous êtes passif

plus de généralité merci ><
3  0 
Avatar de TomHardcore_
Nouveau membre du Club https://www.developpez.com
Le 27/01/2018 à 11:32
Dans 20 ans, il faudrait qu'ils refassent cette étude pour voir comment les choses évoluent ! Je suis né en 1997 et j'ai commencé à coder en C++ à l'âge de 12 ans, j'ai arrêté puis repris le Python à 15 ans et naturellement je fais actuellement des études en maths et en info. Ce qui m'avait fait arrêter c'est le manque de documentation/ressource et peut-être aussi le fait qu'on avait un ordinateur pour cinq enfants et c'était un peu "le plus fort prend le pc" haha !

Mais les enfants nés après 2000 ont, grâce à internet, un accès à une énorme quantité de tuto et cours gratuit et pour tout niveau. Mon petit cousin à commencé la programmation web à 9 ans, et beaucoup d'autre petit de son âge font du Scratch, du LUA ou du Python. Alors oui, c'est nettement moins impressionant que de commencé par de l'Assembleur ou du Basic comme nos aînés mais je pense que cette facilité pour démarrer de nos jours va engendrer une génération de codeurs intéressants. Non pas que tout le monde sera bon codeur, mais que la grande majorité aura une culture de base en programmation et ça pourrait être quelque chose de très intéressant. Sans compter ceux qui resteront totalement passionés et qui arriveront sur le marché du travail avec autant d'années de pratique derrière eux. Franchement, la nouvelle génération n'a rien à envier à l'ancienne
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