
L’étude a été commanditée par SailPoint, une firme qui vend des logiciels de gestion d’accès aux systèmes informatiques d’une entreprise. L’enquête a porté sur un échantillon de 1000 individus sélectionnés dans des entreprises de plus 1000 employés. Les entreprises concernées sont, d’après l’enquête, localisées dans six pays : Australie, France, Allemagne, Pays-Bas, Royaume-Uni et États-Unis.
En tête des pays qui comptent le plus d’employés susceptibles de vendre leurs codes d’accès se trouvent les États-Unis avec 27 %. Viennent ensuite l’Allemagne avec 20 %, suivie de la France et du Royaume-Uni qui sont à égalité avec 16 %, et enfin les Pays-Bas et l’Australie avec 12 %. Globalement, on a 20 % d’employés susceptibles de vendre leurs codes d’accès, soit un employé sur cinq. Un chiffre qui, d’après l’enquête, représente une augmentation de 6 % par rapport à celui de l’année précédente.
En tête des pays où le plus d’employés sont susceptibles de divulguer leurs codes d’accès pour moins de 1000 $, on a le Royaume-Uni avec 56 %. Viennent ensuite la France (50 %), l’Allemagne (45 %), l’Australie (42 %), les États-Unis (40 %) et les Pays-Bas (33 %). Globalement, on a 44 % d’employés susceptibles de divulguer leurs codes d’accès pour moins de 1000 $. Un chiffre qui, d’après l’enquête, représente une augmentation de 2 % par rapport à celui de l’année précédente.
L’enquête révèle également que les employés des entreprises IT arrivent en seconde position du classement de ceux qui sont susceptibles de vendre leurs codes d’accès avec 20 %. D’après l’étude, les employés pouvant adhérer à ces pratiques se répartissent dans d’autres domaines comme la finance (26 %), la fabrication (18%), le commerce (15 %), la santé (9 %), les énergies (7 %).
Sources : Enquête, BI
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