
La vision derrière Neon a été applaudie par la presse spécialisée, tout comme son frère Opéra, il se base sur le moteur de rendu de Chromium, à savoir Blink. Le navigateur a surtout impressionné par sa légèreté et son interface totalement différente et bien distincte des autres navigateurs maison ou concurrents. Le navigateur emprunte le fond d’écran du bureau comme page de démarrage. La fenêtre s’affiche alors en transparence sur le bureau, un peu comme un calque légèrement grisé, ce qui donne un rendu visuel plutôt réussi. En outre, la navigation est constamment animée grâce à des effets qui suivent certaines actions.
Neon a été rendu disponible pour Mac et Windows, mais pas pour Linux, pour cette raison, plusieurs linuxiens se sont dirigés vers Twitter pour demander à Opera si l’éditeur comptait sortir une version pour supporter l’OS libre. Contrairement à leur attente, la réponse a été négative statuant que Neon ne va pas supporter Linux. Mais avant de déterrer la hache de guerre, il faudrait au préalable entendre la raison pour laquelle l’éditeur a pris cette décision.
Opera a informé que Neon constitue un projet seulement, et non pas un produit à proprement parler. En effet, les développeurs ont travaillé sur le navigateur juste pour le plaisir, et il ne sera pas développé davantage. Les nouveautés incluses dans Neon seront néanmoins implémentées dans le navigateur vedette de l’éditeur, ce qui veut dire que les utilisateurs de Linux pourraient y profiter durant les prochaines semaines. En attendant, les utilisateurs de Linux peuvent profiter d’un large éventail de navigateurs performants autres que les navigateurs majeurs comme Opera, Chrome/ium et Firefox. On parle de Vivaldi (développé par Vivaldi Technologies, une entreprise fondée par le cocréateur historique et ex-PDG d'Opera Jon Stephenson von Tetzchner), Epiphany (GNOME Web), Midori, Qupzilla, Min, Rekonq…
Source : Twitter
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