
Sans parler de la démonétisation massive des vidéos, car les raisons de démonétisation de ces dites vidéos n'étant pas forcément toutes claires, la plateforme impose désormais des conditions assez inquiétantes. Elle met davantage en avant les annonceurs, quitte à saper indirectement la qualité du contenu produit par le vidéaste pour qu'il se plie aux exigences des annonceurs.

Seront donc démonétisées :
- en dehors des scènes de sexe explicites (où la sanction est en quelque sorte légitime), les vidéos comportant de l'humour à caractère sexuel ;
- les vidéos comportant un langage vulgaire. (Notez que le contexte ne semble pas être un facteur prépondérant pour juger de la gravité et donc de la rémunération ou non des termes employés) ;
- et enfin je cite :

Qu'en est-il à l'échelle de la chaîne du vidéaste ?
Là encore, YouTube se réserve le droit de démonétiser une chaîne dans son intégralité (et donc l'intégralité du contenu posté sur cette dernière), si le propriétaire de celle-ci refuse de se plier à ces nouvelles règles.
Conclusion
Le sujet fait polémique, mais, jusqu'ici, ces conditions n'ont été imposées qu'aux vidéastes qui dépendent directement des revenus reversés par la plateforme, et ne figure pas réellement comme de la censure. (Comme on peut le lire un peu partout sur la toile.)
On remarque toutefois que les annonceurs semblent gagner peu à peu du terrain, en niant le fait qu'ils existent grâce au média et aux auteurs du contenu de ce dernier. Espérons cependant que ces conditions ne s'appliqueront pas également aux vidéos non monétisées. À surveiller, donc !
Source: Règlement et règles de sécurité du Programme Partenaire
Et vous ?
