IdentifiantMot de passe
Loading...
Mot de passe oublié ?Je m'inscris ! (gratuit)

Vous êtes nouveau sur Developpez.com ? Créez votre compte ou connectez-vous afin de pouvoir participer !

Vous devez avoir un compte Developpez.com et être connecté pour pouvoir participer aux discussions.

Vous n'avez pas encore de compte Developpez.com ? Créez-en un en quelques instants, c'est entièrement gratuit !

Si vous disposez déjà d'un compte et qu'il est bien activé, connectez-vous à l'aide du formulaire ci-dessous.

Identifiez-vous
Identifiant
Mot de passe
Mot de passe oublié ?
Créer un compte

L'inscription est gratuite et ne vous prendra que quelques instants !

Je m'inscris !

Cloud : quelles sont les tendances et comment les développeurs choisissent-ils leurs fournisseurs ?
Un sondage de VisionMobile

Le , par Michael Guilloux

147PARTAGES

1  0 
Quel fournisseur de Cloud préférez-vous ? Jusitifiez votre choix dans les commentaires
Digital Ocean
29 %
Autre (A préciser dans les commentaires)
14 %
Je suis indifférent
14 %
Heroku
14 %
Amazon Web Services
14 %
Microsoft Azure
14 %
Google Cloud Platform
0 %
Voter 7 votants
La firme d’analyse et de stratégie de marché VisionMobile a publié les résultats d’un sondage dans lequel plus de 13.000 développeurs de 149 pays ont été interrogés. Entre autres points évoqués dans son rapport, la société met en exergue les tendances du marché du Cloud et les facteurs qui motivent le choix d’un développeur pour un fournisseur de service cloud particulier.

Le premier résultat de l’enquête relativement au Cloud Computing est que ce marché est le meilleur générateur de revenu pour les développeurs, parmi les domaines couverts par l’enquête. En effet, 57% des développeurs de services cloud interrogés dans les différents pays gagnent au moins 500$ par mois. Ce taux est de 41% pour les développeurs de l’internet des objets (IdO), 49% pour les développeurs mobiles et 51% pour les développeurs d’applications de bureau.

On note aussi que 28% des développeurs de services cloud touchent plus de 10.000$ par mois. Chez les développeurs IdO, les développeurs mobiles et les développeurs d’applications de bureau, on compte respectivement 16%, 21% et 24% qui gagent ce même salaire mensuel.


Si le cloud laisse plus d’un sceptique, une bonne partie de ceux qui l’ont déjà adopté ont encore une préférence pour le cloud privé. L’enquête révèle en fait que 44% des développeurs interrogés « sont heureux de garder leur Cloud en toute sécurité à la maison », a écrit VisionMobile dans son rapport. Amazon Web Services, le leader mondial du marché de cloud public est la plateforme d’hébergement primaire pour seulement 16% des développeurs de logiciels. Microsoft Azure vient ensuite avec 13%, suivi par Google Cloud Platform (8%), Digital Ocean (4%) et Heroku (2%).

Ce n’est pas que les développeurs évitent le Cloud public, mais les entreprises ont des inquiétudes quant à l’emplacement de leurs données ainsi que les droits qui s’y appliquent. L’enquête révèle aussi que « dans de nombreux cas, le confort de l'auto-hébergement emporte toujours sur les avantages du cloud public ».

En ce qui concerne les raisons qui motivent le choix d’un fournisseur de services de Cloud particulier, le rapport montre qu’il s’agit de considérations allant bien au-delà du prix et des relations antérieures avec le fournisseur.

L’un des déterminants du choix d’une plateforme de cloud computing est le langage supporté. Tous les services de Cloud populaires prennent en charge un large éventail de langages, toutefois en fonction des langages pratiqués, les développeurs sont orientés vers des plateformes spécifiques. En effet, si les langages pris en charge sont pratiquement les mêmes d’une plateforme à l’autre, les API disponibles via ces langages diffèrent entre les fournisseurs, et les fonctionnalités disponibles sur un cloud peuvent faire appel aux utilisateurs d’un langage spécifique.

Ainsi, les services Cloud de Microsoft attirent plus les développeurs de Microsoft. On note en effet que 54% des développeurs Azure préfèrent C#. Les développeurs en langages de script tels que Ruby et JavaScript dominent la plateforme d’Heroku, cela s’explique par le fait qu’elle offre des services adaptés à ces langages. Heroku a aussi bénéficié de l’arrivée du concepteur en chef du langage de programmation Ruby au sein de la société en tant que chef de l’architecte. Cela a apporté une énorme quantité de connaissances Ruby aux plus hauts niveaux de l'entreprise, de sorte que les développeurs Ruby sont aujourd’hui les plus nombreux chez le fournisseur.

Les développeurs sont aussi attirés par l’accompagnement des fournisseurs pour une meilleure utilisation de leurs services. L’offre PaaS de Google, Google App Engine, ne supporte que Java, Python, PHP et Go, avec la machine virtuelle Java qui supporte les derniers frameworks. Mais Google propose en plus de nombreux tutoriels montrant comment tirer le meilleur parti de l'App Engine avec Java, cela contribue à attirer les développeurs Java vers le fournisseur de Mountain View.

Chez le leader du marché de cloud public, les différents langages supportés sont plus ou moins équitablement représentés. « Les clouds d’Amazon parlent le langage de tous », indique le rapport.


Source : Developer Economics

Et vous ?

Qu’en pensez-vous ? Quel fournisseur de Cloud préférez-vous et qu’est-ce qui motiverait votre choix ?

Une erreur dans cette actualité ? Signalez-nous-la !

Avatar de Vitofe
Membre régulier https://www.developpez.com
Le 17/08/2015 à 11:10
Citation Envoyé par Kropernic Voir le message

Finalement, le cloud, ce n'est jamais rien de plus qu'une disque dur sur le réseau non ?
Pas forcément, il y a le stockage Mais aussi la puissance de calcul qui peut être "en cloud", il y a la notion de redondance, que ce soit des données et de la puissance de calcul (c'est à dire en théorie une fiabilité maximale inatteignable juste avec un NAS) et surtout la montée en charge invisible (sauf sur la facture ) avec la ram et les procos ajoutées à la minute en cas de besoin.

Le principe de redondance permet aussi, dans le cadre de site web ou de web service, de maximiser les performances en fonction de la position du client (Des serveurs sur tous les continents, le client se connecte au plus proche, contrairement à ton NAS ou le mec en amérique du sud aura 1200 de ping quelque soit ta connexion montante)

Les problématiques de confidentialités sont réelles et ne doivent pas être négligées, mais les avantages non plus ne doivent pas être négligés.

Pour du cloud personnel, le NAS suffit bien, je suis d'accord. Pour les PME peut être qu'ils sont déjà limités... Quand 2 personnes essayent d’accéder à un Film full HD sur mon NAS en Local, ça marche mal. Je ne sais pas trop ce qui est limitant (disque ? Proco du NAS? ram du NAS? Congestion réseau?). J'ai du mal à voir comment ça peut être fluide pour 10 personnes dans un contexte professionnel.

Pour moi le cloud est idéal pour des produits "publics" (sites webs, support de web service etc...) et effectivement pour les besoins entreprise je suis plus à l'aise au niveau confidentialité avec une baie de serveurs locale à l'entreprise et une sauvegarde chez un prestataire local.
2  0 
Avatar de Kropernic
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 17/08/2015 à 11:26
C'est vrai que je n'avais pas envisagé le cloud sous la forme de puissance de calcul.

Maintenant comme tu dis, pour les contenus publics, ça peut être bien.

Pour le reste par contre...

Bref, mon coup de gueule aura au moins servi à me clarifier les choses
0  0 
Avatar de RyzenOC
Inactif https://www.developpez.com
Le 16/08/2015 à 8:57
Je fais partie de ceux qui préfère le cloud privée, qui appartient a la boite ou je travail (pour mon boulot) ou bien qui m'appartient pour mes trucs personnelles (j'ai un NAS chez moi).

Car un cloud public ne pourra jamais s'améliorer en terme de droit, au mieux on peut choisir le pays ou sont stokée les données, mais dans tous les cas les données ne nous appartienne plus, et pire encore, si il y'a un probleme (panne, piratage...), l'entreprise ne peut en aucun cas être tenu pour responsable...et blabla jurique.

Enfin j'ajouterais que je pense que le cloud privée pourrais dans l'avenir prendre de l'importance, surtout dans le grand public (Mr Tous le monde n'a pas les même besoin qu'une entreprise) ou les mini-serveurs ne sont pas trop cher et consomme très peu d'électricité, on peu prendre par exemple le raspberry et en fin avec la fibre optique qui procure des débits montant largement suffisant.
0  2 
Avatar de Kropernic
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 17/08/2015 à 9:15
Cloud par-ci, cloud par-là.

Finalement, le cloud, ce n'est jamais rien de plus qu'une disque dur sur le réseau non ?

Qu'on parle de cloud quand c'est stocké "en ligne" via le net, je veux encore bien vu qu'on ne sait pas trop où c'est. Mais à part ça. J'ai un disque dur en réseau à la maison, c'est pas pour ça que je dis que j'ai un cloud privé. Non, j'ai un disque dur que je peux accéder depuis n'importe quelle machine connecté à mon réseau privé.

Voilà, c'était mon p'tit coup d'gueule du jour. Sorry.
0  2