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Faut-il pister les smartphones des gens pour s'assurer qu'ils s'isolent pendant cette pandémie globale ? La méthode a déjà cours dans certains pays
Et la France envisage de faire pareil via Orange

Le , par Patrick Ruiz

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7  0 
Le suivi et la limitation des mouvements des voyageurs et des personnes soupçonnées d'être porteuses du coronavirus (COVID-19) se sont révélés être des outils essentiels pour contrôler la pandémie. C’est en tout cas ce que suggère l’exemple de pays comme Singapour.

Depuis que Singapour a confirmé son premier patient le 23 janvier, le pays a eu 385 cas de COVID-19 et 131 se sont complètement rétablis. Singapour a fait état de deux décès au cours du week-end dernier. Les personnes susceptibles d'avoir été exposées au nouveau coronavirus (en particulier celles qui revenaient de l'étranger) ont été soumises à des périodes d'isolement à domicile de 14 jours. Les patients confirmés pour leur part ont été hospitalisés. Pour faire respecter les périodes d'isolement à domicile, les fonctionnaires demandaient aux citoyens d'activer les services de géolocalisation sur leurs smartphones et de cliquer de façon périodique sur un lien envoyé par SMS.

Ce lien signalait leur position, confirmant qu'ils restaient effectivement chez eux. Ces derniers devaient répondre aux messages dans un court laps de temps pour empêcher que des tiers ne trichent en laissant leurs téléphones pendant qu’ils s’aventurent à l’extérieur. En sus, les autorités ont procédé à des descentes sur le terrain pour confirmer la localisation des personnes placées en quarantaine. La dernière innovation technologique des autorités de Singapour pour le suivi des mouvements est l’introduction d’une application dénommée TraceTogether. Elle utilise la technologie Bluetooth pour noter les contacts étroits des citoyens – les personnes dont ils se sont approchés à moins de 2 mètres et avec lesquelles ils ont passé au moins 30 minutes. L’application de ces mesures de suivi combinées à d’autres recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) permet aujourd’hui au pays de 5,7 millions d’habitants d’être parmi ceux qui contrôlent le mieux la propagation de l’infection. À ce jour, Singapour a l’un des taux d’infection les plus lents.


En Israël, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a, la semaine dernière, autorisé l'agence de sécurité intérieure du pays à puiser dans une vaste banque de données de téléphones portables (GPS), jusqu'alors non divulguée, pour retracer les mouvements des personnes qui ont contracté le coronavirus et identifier d'autres personnes qui devraient être mises en quarantaine parce que leurs chemins se sont croisés. L'idée est de passer au crible les données de géolocalisation collectées de façon régulière par les fournisseurs de téléphonie mobile israéliens sur des millions de leurs clients en Israël, de trouver les personnes qui ont été en contact étroit avec des porteurs de virus connus et de leur envoyer des SMS leur enjoignant de s'isoler immédiatement.

La décision sans précédent d'utiliser des données recueillies de façon secrète pour lutter contre le terrorisme à des fins de santé publique a fait l'objet de débats pendant des heures dimanche dernier par le cabinet du Premier ministre israélien. L’une des résolutions au sortir des travaux est que l’approche, en principe réservée aux cas de lutte contre le terrorisme, va continuer à être appliquée au combat contre le coronavirus avec une autorisation spéciale du procureur général. Ces mesures d’urgence prennent effet sous peu, ce, pour une période de 30 jours.

En parallèle, le ministère israélien de la Santé met à la disposition des populations l’application The Shield. L’objectif poursuivi au travers de cette dernière est le même qu’avec le dispositif antiterroriste (collecte de données GPS et SSID). Toutefois, la différence est que The Shield s’appuie sur des données de géolocalisation constituées à partir de déclarations de patients.

L’application The Shield


En Europe, certains opérateurs de téléphonie mobile d’Italie, d’Allemagne et d’Autriche partagent les données de localisation avec les autorités sanitaires depuis peu. En France, l’approche serait en étude. Dans le cadre d’un partenariat avec l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), Orange entend utiliser les données de géolocalisation pour modéliser et gérer la propagation de la pandémie.

Le difficile équilibre entre droits individuels et intérêt général

Depuis le début du mois dernier, Taïwan a bloqué l’accès à son territoire aux citoyens chinois, puis a mis en place un système de quarantaine ciblant ceux et celles qui s’étaient rendus dans les provinces chinoises touchées. À Taïwan, les porteurs potentiels du virus sont dotés d'un smartphone équipé d'un GPS et d’une application de pistage. Ces dispositifs font office de « ;barrière électronique ;» et permettent de garantir que les personnes en quarantaine restent chez elles en prévenant les forces de l’ordre si ces dernières sortent de quarantaine, s’éloignent de leur domicile ou éteignent leur téléphone. La police locale appelle jusqu’à deux fois par jour pour s’assurer que les personnes en isolement se trouvent là où ils devraient être.

À Hong Kong, les citoyens de retour au pays sont accueillis par des fonctionnaires de police qui leur posent des bracelets électroniques au poignet. Ces derniers sont liés à une application que les concernés téléchargent avant d’entrer en quarantaine pendant 14 jours. Ainsi, les autorités ont en temps réel la maîtrise de leur situation géographique.

Ce sont des exemples pour illustrer le dilemme auquel l’humanité fait face. Nous avons une urgence terrifiante sur les bras. Il existe une technologie qui pourrait être vraiment utile pour mesurer en temps réel l'efficacité (ou non) des politiques publiques. Mais elle est si intrusive qu'en temps normal, nous hésiterions beaucoup à l'adopter. Toutefois, les temps actuels ne sont pas normaux, ce qui fait qu’elle va continuer de faire l’objet d’adoption, ce, pour la durée de la période de crise. C’est l’après qu’il faudra ensuite envisager. Avec les événements du 11 septembre, les USA sont passés par une situation (d’urgence) similaire. Cette urgence a conduit le pays, pris de panique, à mettre en place l'État de surveillance qu'Edward Snowden a fini par exposer en 2013. Une fois qu'un gouvernement s'engage dans ce genre de choses, il semble qu'il n'y ait pas de retour en arrière.

Sources : scmp, NYT, LeFigaro, AFP

Et vous ?

Êtes-vous pour l’adoption des technologies de pistage des individus dans le cadre de la lutte contre le coronavirus ?
Droits individuels vs intérêt général : lequel de ces aspects devrait avoir la primeur dans les décisions des gouvernements en cette période de pandémie mondiale ?
Est-il selon vous possible de trouver un équilibre entre les deux ?

Voir aussi :

Pour l'Iran, la réponse à l'épidémie du coronavirus est de couper l'Internet, une initiative du gouvernement pour garder la mainmise sur le récit de l'épidémie

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Avatar de escartefigue
Modérateur https://www.developpez.com
Le 05/08/2021 à 10:42
Citation Envoyé par setni Voir le message
Toute l'administration Française est une usine à gaz, donc rien de nouveau sous le soleil
J'ai le sentiment pour avoir passé toute ma carrière dans le privé, que les grandes entreprises privées n'ont rien à envier à l'administration sur ce chapitre.
Plutôt que tomber dans le stéréotype public/privé, je crois que c'est surtout la taille des organisations qui provoque les lourdeurs, les lenteurs et la complexité.
17  0 
Avatar de Matthieu Vergne
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 26/07/2021 à 21:01
Citation Envoyé par imperio Voir le message
Ça ressemble quand même fortement à un discours anti-vax tout ça...
Si tu lis mon analyse, ne serais-ce que sa conclusion pour ne prendre qu'une minute, tu te contrediras tout seul : il y a de très bonnes raisons de se faire vacciner. Juste que ces raisons ne sont pas absolues. Une réponse à géométrie variable est encore nécessaire, et je ne cautionne pas l'absolutisme prôné par nos dirigeants qui ne voient que tout noir (non vacciné = ) ou tout blanc (vacciné = ). Pour rappel, être vacciné ne fait que, a priori, diminuer la probabilité de contaminer ou de développer des formes graves du COVID. Pour autant, il y a des effets secondaires connus, et pour l'instant on n'a qu'un recul de moins d'un an en phase de pharmacovigilance (phase finale où on applique à la population tout en vérifiant les observations de laboratoire).

Citation Envoyé par imperio Voir le message
Vaccine-toi, protège les tiens et les autres et ta liberté ne sera pas grignotée.
C'est précisément le discours absolutiste que je condamne. Certes les vaccins COVID ont montré des avantages, mais aussi des inconvénients. Et dans tous les cas, on ne peut pas se prononcer sur les effets à long terme de par le nouveau type de vaccin dont il est question. Préserver mes libertés à condition que je fasse confiance à des vaccins prônés par un gouvernement qui a démontré son incompétence en terme de gestion de crise et vendu par des grosses boîtes qui se protègent de toute responsabilité quant aux effets secondaires... désolé mais si c'est si fantastique je ne vois pas pourquoi ces grosses boites, qui ont pourtant les reins solides, ne prennent pas ces responsabilités. Dans un tel contexte de doute, je suis en prônant le doute, et donc pas de vaccination pour ceux qui n'ont pas besoin de prendre des risques.

Citation Envoyé par imperio Voir le message
Tu cites le vaccin contre la grippe, cependant je n'ai littéralement rien vu comme problème sur le long terme dans aucune publication scientifique à ce jour.
Sur le vaccin contre la grippe ? Moi non plus, et ça tombe bien je ne critique pas le vaccin contre la grippe. Juste que la COVID est en de nombreux points comparable à la grippe, mais qu'on la traite presque comme si c'était le tétanos.

Citation Envoyé par imperio Voir le message
Je suppose que la communication du gouvernement absolument désastreuse a joué pour beaucoup dans ce désastre... Cette peur contre les vaccins n'a aucun sens... Ils ont permis d'éradiquer des fléaux et je pense que les gens ont trop tendance à oublier ça.
Et encore une fois, je n'ai rien contre les vaccins de manière général. Quand je suis allé au Japon je me suis fait vacciner sans y réfléchir à deux fois : il s'agit de vaccins bien connus qui ont fait leurs preuves, je n'ai pas plus de raison d'en douter que de ce que je mange tous les midi. Il s'agit là de parler des vaccins propres à la COVID, qui sont d'un tout autre genre. Les données montrant une quasi absence d'effets à long terme des vaccins déjà connus ne peut pas être utilisé comme argument pour motiver un nouveau type de vaccin.

Merci donc de ne pas appliquer un filtre aussi binaire "pro-vaccin vs anti-vaccin". Le sujet n'est pas aussi trivial et doit être nuancé.
25  9 
Avatar de Cpt Anderson
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 27/07/2021 à 9:51
Je pense qu'il n'y a aucune surprise par rapport à l'adoption de cette loi, dans le sens ou les parlementaires et les sénateurs sont totalement déconnectés de la réalité, corrompus et ne sont préoccupés que par leur réélection. Ces gens qui doivent être les représentants du peuple, nous pissent dessus, encore une fois.
Et que dire de la méthode ? qu'on fasse voter des lois pareils a 6h du mat' à la va-vite...viens me parler de démocratie après !

La prochaine étape, c'est la validation par le conseil constitutionnel et là aussi, aucun souci, ces types qui sont censés nous protéger des politiques n' y verront aucun problème.

En résumé, notre système est pire que la dictature du pire pays du monde car il te fait croire à la liberté et à la démocratie alors que c'est pas du tout le cas. C'est la pire forme de totalitarisme.
23  7 
Avatar de onilink_
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 24/03/2020 à 10:08
Yep, n'importe quoi, en plus d'être liberticide sur le principe, ça n'a aucun intérêt pratique, car il suffit de ne pas prendre son smartphone pour éviter le pistage... ou en avoir deux et basta.
Bref, totalement stupide, je comprend même pas qu'on ose débattre de ça en France, la réponse devrait pourtant être évidente.

Sur le même principe, pourquoi pas mettre les gens sur écoute hein? Ça pourrait aider aussi a luter contre le virus
16  2 
Avatar de Cpt Anderson
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 24/06/2020 à 8:41
Il y a au moins une chose qui reste certaine en ce bas monde : la France est nulle en terme d'anticipation mais reste championne du monde pour ce qui est des dépenses inutiles.
15  1 
Avatar de DannyK
Inactif https://www.developpez.com
Le 06/07/2022 à 23:46
Citation Envoyé par Madmac Voir le message
La vérité pourrait vous surprendre. Premièrement le virus a été créé de toute pièce. Et on ne peut plus parler du grand reset comme une simple conspiration.
Tellement vrai ... pendant que je garais ma soucoupe volante hier, les illuminatis me l'ont confirmés
19  5 
Avatar de jacjac
Membre actif https://www.developpez.com
Le 27/07/2021 à 10:33
C'est dingue comment l'administration Française peut être rapide quand elle veut absolument faire passer quelque chose
On pourrait en profiter pour faire une refonte de notre système judiciaire dans la foulée, ça serait efficace vu comment ils sont bouillants nos dictateurs nos élus démocrates.
16  3 
Avatar de Fagus
Membre expert https://www.developpez.com
Le 27/07/2021 à 14:26
Citation Envoyé par 23JFK Voir le message
Ce que vous décrivez est surtout le signe d'un système hospitalier inadapté tant en capacités qu'en fonctionnalités. Rien d'anormal quand la politique sanitaire consiste en des coupes budgétaires systématiques en fermant des lits, en tablant sur la fourniture de consommables en flux tendus, en limitants fortement la formation de personnel compétent.
Ce n'est que partiellement vrai.
Je suis le 1er à dénoncer cet autre problème, mais on peut faire une comparaison.

Quand il neige beaucoup dans un pays tempéré ou chaud, c'est la catastrophe : plus rien ne marche. La même chose au Canada est juste la normale saisonnière et ça se passe très bien.

En temps normaux, la réanimation est à flux tendu. Parfois il manque des places en effet et c'est un peu juste. Parfois elle est sous utilisée.
Si on a une croissance exponentielle des patients ayant besoin de réanimation à cause du covid, que fait-on ?
Si on en a 2x plus, 4x plus. On arrête toute l'activité chirurgicale (dont les patients finissent parfois en réanimation) et on demande à tous les anesthésistes de prendre un costume de réanimateur et on surcharge de travail tout le monde notamment les infirmières, infirmiers spécialisés et on met dans les soins intensifs de neurologie, cardiologie, etc, des gens qui normalement seraient en réa (et donc auront une prise en charge un peu juste)
Si on en a 5x plus, on fait du tri +++
Si on en a 10x plus, le système explose et les gens meurent dans les couloirs.

On ne peut même pas demander à d'autres médecins de suppléer aux réanimateurs car suite au tri, les patients qui restent en réanimation sont d'une gravité exceptionnelle par rapport à la normale et nécessitent donc des spécialistes;

Lors de la 1ère vague, le système n'a pas explosé à quelques jours près, car le confinement général a permis d'arrêter l'épidémie et de pouvoir transférer des effectifs et des patients entre les régions.

Tous ça pour dire, qu'on ne peut pas dimensionner a priori face à une épidémie exceptionnelle. On pourrait multiplier par 3 la taille des réanimations, à grand coût, , que face à une épidémie, ça ne tiendrait pas non plus sans mesures de santé publique.
Historiquement, seules les mesures de santé publiques peuvent affecter la santé de populations entières. Les médecins soignent des gens ; pour un échantillon énorme de la taille d'une population, il faut de la médecine préventive (ici des vaccins.)

Bien cordialement.
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Avatar de grunk
Modérateur https://www.developpez.com
Le 27/07/2021 à 16:59
Citation Envoyé par AoCannaille Voir le message
Les vaccins à base d'ARNm existent au mieux depuis 10 ans, et encore, si on compte ceux qui n'ont jamais atteint la phase 3, sinon depuis 1 an.

La phase 4 n'a JAMAIS été atteinte avec cette techno, encore moins validée. On n'a dont aucun retour à moyen et long terme sur les vaccins à base d'ARNm.
Le pfizer à ARNm est apparu dans les année 90 avec premiers essais clinique en 2002-2003. Ce qui manquait principalement au développement de ces vaccins c'était la moulagua, qui tout d'un coup, c'est mise à tomber du ciel.

L'ARNm qu'on t'injectes à complètement disparu en quelques jours (demi vie de l'ordre de qlq heures) , il sert juste à entrainer tes globules blanc à reconnaitre la protéine du virus ... Tu comprendras donc bien facilement que les effets à long terme sur ce genre de vaccins c'est plus la protection contre le virus que de te transformer en robots asservi au parti politique de ton choix.

Concernant la phase IV je t'invite à consulter les documents du ministère de la santé israelien qui fait le bilan sur 650K injection. (spoiler alerte : 0.1% des répondants ont ressentie des effets secondaire de type inconfort , fiève, faiblesse , etc ...).
--

Ce qui me dérange avec le pass sanitaire c'est son calendrier d'application. J'ai pris rdv pour me vacciner le premier jour ou j'avais le droit de le faire , on m'a donner mes 2 dates de vaccinations. je viens seulement aujourd'hui de valider mon pass. Ce qui veux dire que c'est quasi mission impossible pour tout le monde d'avoir un pass valide même si il le souhaite et ca c'est pas normal.
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Avatar de Fagus
Membre expert https://www.developpez.com
Le 08/07/2022 à 13:44
Citation Envoyé par Steinvikel Voir le message

au final on se retrouve avec un développement qui pond une appli obscure, qui ne semble pas se limiter strictement à ce pour quoi elle est conçu, elle n'est pas obligatoire, elle ne profitera à personne d'autre dans le futur (le code est secret).
le code est secret ? Le dépôt ne serait pas là par hasard ? https://gitlab.inria.fr/stopcovid19/accueil

Il faut se souvenir que la plupart des pays ont délégué à Google et Apple le soin de créer ce service. Pour une fois que la France décide de ne pas confier la santé aux GAFAM, ET de mettre le code sur gitlab, je trouve ça cher payé de leur faire un procès d'intentions.

Le principal échec de cette application est que les gens ne l'ont pas installée, plus à mon humble avis pour des questions d'ordre sociologiques qu'informatiques. Il faut quand même se rappeler qu'à part ici, au moins 99% des gens ne s'est jamais posé la question d’auditer le code source de tous anti covid...
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